
La
promesse à me tenir, à maintenant étaler fort et juste, tout blanc ce bleu ; je-vœu !
; l’hors fausse vérité pour vraiment, réellement, profondément m’y
accrocher.
Le
décompte s’en compte jours à s’envoler et il me faut là, tricher, sur ou sous le
colorer, ou bien mieux le déguiser belle l’avancée, ou plus encore le masquer
douce la retardée afin que personne, absolument personne ne puisse me faire
emprunter le détour d’un tout autre chemin ou s’en sentir intime l'engagée chagrin…
Et ce
matin, je me suis levée tout comme chacun – peut-être, un rien plus tôt ou une
coudée bien plus tard - en cette sensation d’être tout simplement bien, là, par cette
seconde non fractionnée, arrêtée... pour comme toujours, l’étirer et me mêler longueur à,
absolu, la préserver…
L’instant souvenir présent d’un bon dormir pourtant à conjuguer déjà partir et
m’en voir naturellement tirer bon gré, sourires et tendre vers ce banal à
jaillir la belle, assurée qui ne ment sa journée magie s’en découvrir… mon ferme vouloir-désir !
Doucement, subtile l’exquise s’est fixée idée en sa petit découverte à
s’expliquer bien plus facilement nombreux faits… balancée de ce train, train
quotidien, qui pose l’éveil en sommeil sans lourdement et vraiment dormir, la tendre
somnolence à griser belle délivrance… laissant se caresser pensées souvent
frôlées, l’effleurée glissée oubli parce que je vis…
J’ai
toujours été retenue contenus, réservée l’affecté, « introbleuie », non exposée
mais
libre en elle, se préservant et ne jugeant (ben oui) non nécessaire, comme à
côté mon importance. Taire et observer, bruisser sans effort et si fort sens
l’empathie pour me sentir en vie, exister en dedans pour magnifier l’au-dehors…
et sourire, et écouter, percevoir et offrir en retour, ce recevoir…
Construire, bâtir inconsciemment une bulle, un monde, un lieu, en endroit qui
exhale ce moi bien à moi. Pour m’y sentir bien, pour, tout aussi, révéler
partages à s’expirer air, dans l’air douceurs à l’autre, aux autres, mes
intimes, mes exclusivités, mes miens... ces êtres qui battent leur cœur et dessinent mes
ressentis si vrais.
En ça
j’expose l’actrice à s’exprimer, deçà, j’ose l’esquisse révélés… je suis alors
complète… j’être enfin l’elle qui rit, sourit ou qui s’élance bêtises et justes
affirmées tombées simplement du ciel et trop souvent avérées altitude
exactitudes…
Encore j’écoute, toujours j’entends et tends naturellement vers ma
perception à se jouer ego, à savoir l’imaginée bien être d’eux… Préserver
et les protéger.
Aussi, je m’envole d’ailleurs,
je rejoins lune à m’éclairer, à me poser, me reposer ces secoués trop, bien trop vibrés…
Là,
je suis et là, je vis…
Et
puis le net s’est découvert tout vert pour découvrir seul bleu à me laisser dire, à écrire et à
m’emmêler le virtuel du réel… En somme à recommencer confuse réalité, latence
potentiel beau le virtuel, ce que je m’étais promis de
fuir et à m’emmener bien loin d’un délai que je m’étais fixé !
Alors
s’arrête ce maintenant. Alors se finit faussée la vie.
...
Mon
aîné est passé. Mon à moi, le mien, les miens… Mon premier ces deux nés à ce
pouvoir immensément aimer. Mon fils m’a tout simplement par ailleurs, envolée !
Je
reviendrai canapé, l'amuse bouche (à s'en taper), m'allonger...
...
L’accroche immensité pas si Net la toile, l’arantèle si belle à lentement me
déchirer l’espérance, la confiance mienne, tellement fragile, à s’éparpiller car
présent non fondée et initiée sans fondations pour en devenir finalité brisée à
jamais et m’égarer pour toujours belle croyance l’en dedans, cette foi en moi,
la force tendre…
I believed I can fly…
Et
s’en naître, naturel le réel, insidieuse et profonde addiction, composée si
précises attentions… attendre, soupirer, espérer, aspirer à ce quelque chose qui
s’ouvrirait ce que j’imagine être la vie…
L’imaginaire est deçà l'extraordinaire !
Et j’y
ai cru, réveillant le rêve ce possible d’autres à rencontrer sans l’idée bien
arrêtée pour malgré, en présumer mon intensité en cette normalité !
J’ai
écouté, suivi ce qui m’avait été dit… en valoir la peine, mériter l’attention,
être une belle personne, penser à moi, etceteri et etcetera…
Ranimer l’ego, vivre ce moi plus égoïstement, me prendre le sérieux d’un pouvoir
à plaire, à satisfaire, aussi, mes supposés projets…
J’ai
échoué lamentablement pour maintenant, chuter inexorablement…
Ne
plus vouloir ou plutôt, ne plus pouvoir par manque d’appartenance, par l’absence
d’un vrai regard à croiser le mien…
Voir
autrement, ma vision portée à tendre égards n’est pas une philosophie de vie,
elle
est simplement porte ouverte à ce que je suis… ce pendant n’en valant pas la
peine, non plus méritant l’attention simplement car ce in en dedans n’est pas
l’être belle personne…
L’idée
matière seulement restera pour qu’elle poussière naturellement s’abandonne…
Rien
n’est jamais perdu en ce réel la vie, l'addition de toutes nos réalités !