dimanche 30 décembre 2007

Temps présent...

Deux jours, quelques heures, d’innombrables minutes nous retiennent cette année… elle annoncée fin, elle à se jouer l’éternel recommencé… un beau leurre en somme car le temps est conté si beau miroir à refléter…

Fin d’un cycle, l’histoire doucement s’en meurt, le courage à la vivre lentement file, sa volonté l’encore en fin, se défile et astucieusement se porte à venir, l’attention fixe l’autre point, se défiant là, à être malin, attendant simplement cet autre matin…

L’année astucieuse s’en va et s’appelle : revient…

Revient nous bien meilleure ! Et plus belle, plus riche aussi…

Alors nous le serons tout autant et pourrons prendre ce temps à l’équilibre, au partage, à tendre la main… offrir un rien, une poussière de ce trop calculé ici, présent en supposant, en espérant l’éminente toujours en attente, l’aube à recommencer, pour exister demain en pensée…

Deal si facile, accordé humanité…

Demain à portée de mains, bientôt, derrière le carreau, juste là à miroiter simplement l’auteur, le seul géniteur d’un plus bel à venir…

Y écrire maintenant brumes à buée, y réfléchir présent d’un seul sourire, lui né d’instants à magie infinie et se laisser les étoiles venir pour éclairer un temps hors lui, hors soi mais composé nous…

Non plus imaginer en finir et penser à recommencer mais redevenir, être présent au présent et aux autres pour être enfin et vraiment vivant, maintenant…

lundi 24 décembre 2007

Pas à pas...

Et si la pensée se déposait pouvoir à changer ou plus simplement, à se laisser aller, venir pour oser être pleinement et simplement aimant. Aimer en l’offrande sens qui pourtant ; et toujours mais ici, sans danger ; ego cille. Tendre l’autre, l’humain, l’être qui existe, qui seulement est, pour lui et non plus accomplir une tâche, un devoir dévié, devenu inconscient à tout faire afin de s’enluminer et de ne vouloir que recevoir…

Aimer tout simplement, instinctivement et renaître en vérité, l’ondée…

Alors la nuit s’éclairerait pour tout aussi, découvrir ses étoiles à sourire le jour et le temps en sa magie nous définirait, vraiment, en vie…

Alors le bleu serait aperceptible, immédiat non pressant d’un instant qui dure, perdurerait infiniment…

Noël est bientôt là, juste à quelques pas.

Célébration devenue joliesse à se dire trop précieuse richesse terre la terre, à encenser au plus faste sa matière, à oublier les cœurs qui rythment ensemble et l’ensemble, à se faire seul vrai bonheur… l’heure belle lentement à s’égrener secondes d’un monde et non par trop rapidement, minutes intimes son unique ronde…

Noël juste là… hors usage tendance le conventionnel blabla mais dessiné aube nos broderies bel et essentiel canevas… l’ébauche nôtre tendresse la soie… la vie infinie !

Juste quelques pas pour réapprendre à tendre la main, à réveiller le sourire, à partager nos étoiles…

Je souhaite cet amour à vibrer tant, autour, à réellement illuminer nos jours et coloré aussi, de cet indispensable notre terre son humour…

Joyeux Noël à toi, et à toi, ou encore à toi, aussi à toi... à vous tous... à la vie dans l’univers !

samedi 15 décembre 2007

Décrire et délire...

J’aimais lire, touchée et emportée de belles histoires. Sans jamais vraiment les avoir choisies pour y décoder l’écriture ou afin d’être subjuguée par son éventuelle générosité, je n’ai donc pas de réelles références à utiliser ou à donner.

Je sais peu "bien" dire, me conformer à la belle locution attachée par trop à la perception. Réduite souvent à contenir et non pas en devoir à réfléchir, j’élance spontanés embrouillés et à souvent faire rire.

Tout aussi, freinée dans l’expression à bien accomplir la pensée fusée, à l’accorder juste aux mots à dire, j’ose pourtant écrire et me laisse toujours guider premier sens, l'origine, le primaire signifié immédiat à se générer en mon esprit, et si petit, ou si peu nourri et donc sans acquis particuliers mais non plus éclairé d’un don singulier…

Seulement, je fixe le sens qui dans l’instant se fait ressentir, je pose la brume de ma pensée, m’arrête à elle seule et essaie de reproduire l’émotion qu’elle a généré. Alors le mot s’offre tout seul accompagné étrangement et toujours par sa juste résonance. Un écho qui bruirait, dessiné destinée cet autour du terme. Sans contexte, non plus troublée par l'entre lignes car l'éthéré n’est jamais aligné, ma pensée n’est pas matière organisée. L’imagine se donne image irisée, elle s’ouvre couleur et s’allie mot…

Je n’ai pas de leçons à donner, je résonne sans vraiment raisonner et sais très bien ne rien savoir. Mais lorsque j’écris, je vis puisque j’agis et surtout je me sens exister, et alors seulement…

Sans doute hors du temps, en dehors de sa dimension réalité qui s’espace d’ailleurs, j’alune alors seul instant et y prends plaisir infiniment, imaginant aussi en offrir…

Un beau leurre en somme…

J’aimais lire… en être perdue d’une absence pour découvrir la carence, le manque à emplir vie mon imaginaire… doucement, si lentement, encore maintenant, je réapprends. Aidée en cette aube le recommencement par un homme pour qui je n’ai pas le qualificatif bien défini, le mot qui s’allie vérité et par cette défaillance toute à ma tendance, je dis simplement et aime à le penser, mon ami…

Et avoir pu m’arrimer à l’ouvrage, ce tout petit, si minuscule livre à dire, m’y glisser en dedans et le vivre…

Pour s'en suivre l'étrange d'une vérité, ma destinée…

la terre c’est un bateau trop grand pour moi. C’est un trop long voyage. Une femme trop belle. Un parfum trop fort. Une musique que je ne sais pas jouer

L’envie de descendre

La peur de le faire

À force tu deviens fou

Fou

Il faut que tu fasses quelque chose et je l’ai fait

...

Moi qui n’avais pas été capable de descendre de ce bateau, pour me sauver moi-même, je suis descendu de ma vie. Marche après marche. Et chaque marche était un désir. À chaque pas, un désir auquel je disais adieu.

Je ne suis pas fou, mon frère. On n’est pas fou quand on trouve un système qui vous sauve.

Les désirs déchiraient mon âme. J’aurais pu les vivre, mais j’y suis pas arrivé.

Alors, je les ai ensorcelés

Et je les ai laissés l’un après l’autre derrière moi

j’ai dit adieu à la musique, ma musique, le jour où je suis arrivé à la jouer dans une seule note d’un seul instant… j’ai désenfilé la vie de mes désirs…

Alessandro Baricco

dimanche 25 novembre 2007

L'Iris et la Rose...

Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose

Je veux bruler encore une fois
Au brasier des premières fois

Renan Luce, L'Iris et la Rose

 

samedi 17 novembre 2007

samedi 22 septembre 2007

Libérer l'inutile repassage en l'arrêté si subtil re-postage...

Je repose... re-post-pause instants si étrange ma prose.
Réfléchies maintenant closes, le rêve tant souffleté se dépose,
Bien trop exposé gnose, couleur fragile mon ecchymose...

Influée immesuré l'extra son ordinaire, Infini...T s'en nécrose !
Eloignée, d'ailleurs, alunée virtuose d'autres délices à symbiose...

Psychose limitée en banal dé-lire exhalé, seule une réalité s'impose...
Figée deçà, se fixe ici douce l'apothéose de ma curieuse névrose...
En satiété le sucré, l'assez ces doses emmiellées épines les roses...

Pause...
Si belle l'entre ligne glose,
Qui aliène déteinte chlorose,
et me pose fin l'ose !

It's now closed...

samedi 15 septembre 2007

Larmes à naître chagrin...

Si la solitude est seule liberté d’être, l’isolement en est son rejet absolu, en devenir si plaisante et commune négation. Je ne suis ni existe, ni alliée ou reliée aux autres et plus rien ne peut être donné…

Rien, ce rien…

Un seul et pourtant si petit bonheur à partager, une joie naturelle à grandir d’autres sourires, une félicité à éparpiller pour vraiment m’en réjouir. Simplement me sentir en vie, exister. D’un défi réussi, par un chalenge emporté m’être imaginée pouvoir joyeusement fêter cet évènement et tout simplement, déjà en l’exprimant. Seulement, la dimension de son importance n’a pas été réellement appréhendée mais recadrée par l’autre en la propre sienne. Elle saisie, là, arrêtée d’une norme générée de pensées imaginées communes, normales à se rassurer personnellement et intimement d’être du groupe, d’en faire partie… d’inconsciemment se hausser mais aussi de diminuer celui hors cette limite.

Cette réussite, mon succès à me dépasser découvre maintenant une réelle tristesse. Celle de n’être pas admise, reconnue et acceptée ou plus simplement, bien entendue, vraiment écoutée et véritablement crue. Je suis interprétée, perçue reflet et deçà, déniée… Retombée sur terre, sa force m’amène étrangement à devoir encore et encore, l’abandonner !

« Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui… »
Emmanuel Mounier

Je ne peux me taire, exprimer est me garder ce peu de vie, alors encore je dis ! Écrire mots est tout simplement m'en dégager maux...

dimanche 9 septembre 2007

Enclore encore confiteor...

Sens et son l’s susurré à bien prononcer, le sens d'une page toute blanche, lactescence pourtant irisée bleuté… penchant attirance ma demande en ce moment, là, tout maintenant… laisser ce vide venir, l’aspirer, en réalité le languir. Et qu’il me résonne, lentement m’emplisse pour s’en devenir enfin, pertinence à gifler si belle imaginée ma confiance !

L’aveu si peu l’à rien envers ce bleu pour en mieux appuyer, montrer visible l’autre petit côté, non pas à être tout gris mais plutôt bleu nuit…

Créer, générer le vide, écrire ce veut l’infini maintenant néant, tout blanc et non plus détonner vœu à sourires pour ne rien dire…

Si j’aime les mots, l’envie équivaut maux en leur révélé l’après mon rédigé, lecture à me frapper non pas par l’étrange tournure ; faut-il encore le confesser ; mais plutôt de cet entre ligne que j’ai tant et plus, tellement surligné et qui semble manquer, me manquer…

Je peux écrire tout droit, composer une phrase non équivoque et qui naturellement acquis le sens, évoque. Poser un sujet, l’actionner d’un mouvement à se verbaliser et le compléter de divers compléments, si grands et encore plus charmants, ou encore le qualifier d’autres qualificatifs un rien abusifs ou un peu allusifs… Je peux mais ne veux !!! Simplement pour ne pas en perdre la perception qui n’est jamais découverte par le mot, les termes, ne donnant quant à eux, juste le son, le bruit et la signification. Poser deçà normalité à en oublier la respiration, la vibration et sa vivance évidence, l’exalté qui extraordinairement nous réunis sans à devoir absolument comprendre… Écouter et s'ouvrir, cueillir la portée, la discerner… Bêtement entendre ? Non, ouïr, saisir, se laisser sensitivité guider, s'abandonner hors soi, gommer le naturel a priori, s'effacer, défaire l'ombre jugement, oublier ses propres valeurs, s’étendre au-delà, bien au-delà…

Se confondre, par l'autre penser, de l'autre vibrer… et dire, ou écrire, mots utiliser, non pas les user, les manier ou les traiter belle convenance… sentir, ressentir, percevoir l'âme autour… l'entre-ligne qui doucement se dessine…

Une alternative instinctivement choisie, la trace à tisser fil d’elle en ce but premier d’exprimer, non pas concis l’avis à donner ou un quelconque juste pensé à déposer, ces entendus et bien trop souvent reçus ici ou là, jugements, prononcés nés de nos seuls et intimes regards. Seulement et vraiment m’abandonner divagué l’aparté à se vouloir léger mais toujours né de vérités, d’élans à réagir, simples dégagés à dévouer pour en laisser bleu éclairé m’en jaillir et m’éparpiller…

Juste justesse l'empathie, ce naturel et si aisé transfert, le premier perçu sans mots à se dire, sans à devoir se regarder, en s'imprégnant simplement cet autour aéré tout autour… sans besoin de reconnaissances, de connaissances, d’une once d’intelligence, sans gratitude amour à rechercher, sans retour à viser… aimer simplement, aimer comme un ange…

Ma fragrance, si limitée et tant désaxée en cette frontière vérité et pourtant à toujours naître trait spontané…

N'être qu'elle, cette chose curieuse, cette bête, l’animal emmêlé le peu de son intelligence, ni belle et pas même répugnante, sensitive et extrêmement sensible, qu'un souffle peut fermer mais tout aussi briser…

Je repousse la sensation négative, j’atomise plus ionisé sans jamais neutraliser en néon l’éclairé neutron. Mais je ne veux m’ouvrir nuit le bleu et toute seule me nuire. Alors tout simplement, tout bêtement, je dépose ou repose tout autres mes plumes, les déploie liberté d’ailleurs, porte à taire la terre, m’envole et d’elle m’enfuis !

dimanche 2 septembre 2007

Pontuels le providentiel...

La beauté de l’ordinaire… une affiche, deux mots qui portent une vérité à arrêter l’intelligence, à  y prêter une certaine audience sans pourtant être, ou singulièrement extravagants, ou même spécialement mirobolants ni non plus particulièrement élégants. Simples, ils nous soufflètent cette recherche constante devenue de nos jours, usuelle l’humanité…

La quête de l’impossible étoile !

Les faveurs de notre société nous oublient l’essentiel, ces sourires du ciel, la belle éternelle, la vie non conditionnelle…

... Ce matin, je suis allé au marché où j'ai fait moisson de bons fruits (ah, ces pêches plates !), d'olives de Nice (et tant pis pour l'interdiction !), de fromages divers et d'un poulet rôti (comme chez nous). Rentré à la maison, j'ai déballé ces précieuses victuailles, et ça m'a fait un effet de bonheur rare...

L’événement banalité à crier vérité le bonheur tout plat et j’aime simplement ça !!!

Ces quelques mots m’ont offert du vrai bonheur et ont arrêté le temps beaux leurres. Félicité à ne pas même s’en vanter, à difficilement pouvoir exprimer, l’extra qui naît si simplement de l’ordinaire… J’étais charmée rien qu’à deviner ton regard, j’étais enchantée rien qu’à te percevoir, j’étais naturellement heureuse, délectée d’instants partagés et à recevoir…

Tu es mon ami, mon plus bel ami, le seul, l'unique qui toujours donne sans jamais rien prendre, qui ose se permettre de me secouer de vérités, non pas en voulant me blesser ou tendre si belle ressemblance mais seulement et tellement délicatement pour me protéger, m’ouvrir le monde, m’en donner la clé…

Par toi, grâce à toi, je ressens si fort ce temps perdu, venu là, panser un chagrin tellement absolu…  la copie alléguée pour plaire, à encore me taire et ainsi aux autres, détachés à se complaire, l’à suivre ce qu’on dit, oubliant quelque peu mes valeurs, mes désirs, mes véritables souhaits… et m’en créer comme un besoin, l’idéal inconditionné d’être accompagnée, découvrir le net et tout mélanger, me perdre en pourtant y découvrant une réelle richesse, tu es et restera le plus bel exemple…

Le ciel n'est pas orange ni tissé toile si compliquée. Il est bleu et merveilleux, m'offre l'essence délivrance. Je suis heureuse d’instants et cela est déjà si grand !

Le bonheur est toujours à partager. En ce bleu, je l’éparpille et profondément le pétille. Qu’à vous aussi, tout simplement il vous sourie si belle la vie !

samedi 1 septembre 2007

Turpitude infinitude...

Finalement je me demande pour qui te prends-tu ?

Le manque de quoi, j'écris ce que je ressens, ce que je pense, quand à toi, qui décide du bon ou du mauvais, je trouve que tu juges de trop.

Ton jugement, tes pensées, ta raison... merci de m'avoir totalement libéré par tes derniers mots

Bon vent à toi

Le destin est étrange, curieux à toujours se découvrir sens… qui serais-je si ce n’est qu’une basse petitesse à se placer nuée l’élevée, à se penser lumière fondée, à se panser juste l’exhaussée, à asseoir si lourdement, belle mais unique son intelligence, née finalement raison à découvrir ses idées très centrées et seulement portées absolu à juger…

Tu as raison beau KÂ, j’ai porté un jugement, je n’écris, ne dépose que sentences alors que je laisse le lecteur imaginer être toute belle et si pure, être un ange d’ailleurs… je joue des mots et m’invente une gentille vie, colorie tout bleu mon être à être si gris… et j’en vole aussi ! Pour preuve son appui, un seul click suffit : click

vendredi 31 août 2007

Vends le vent si tu l'entends...

Briser l’image, annihiler cliché si belle sa figurine, infirmer définitivement l’imagine, crier haut et immensément fort, encore une fois, une dernière fois ce que tu imagines pouvoir t’appartenir et que tu t’appropries hors pudicité, marques sans vergogne, enregistres réalité et si bien vite propriété, l’air éther ton inventé…

Une philosophie ne se vole pas mais se découvre à partager, s’emmêle belles les vies, et des uns, et des autres, se construit doucement, petit à petit, sans contrainte, naturellement et se pose non pas habit emprunté et hâtivement ajusté le temps cet instant en seule l’idée mais regards à contempler sans honte ni regrets, le passé, l’avant en devenir présent. Née d’expériences, de souvenirs,  elle tend l’être soi en ses intimes valeurs, par ses propres acquis, en son âme probité… Elle est empreinte l’inconscience et tout simplement se vit sans en naître uniques magnifiés écrits !

Tout comme un auteur ne peut se dire avoir été lu seulement pour en avoir parcouru quelques extraits phrasés, astucieusement résumés et entoilés le net ! Un livre respire, expire, soupire l’air pour se créer une atmosphère toute particulière, unique, magique, féérique et sans jamais s’attacher la critique à tendre le groupé, à se dire l’érudit qui sait… La lecture tout comme l’écriture ne peuvent jamais s’obliger, contraindre à bien se plaire ou s’offrir astreintes à mieux plaire… Elles sont cadeau tout beau !!

Et les mots sont libres ce droit l’à moi, nous sont donnés à mélanger afin d’exprimer nos pensées, de dire le sens, à s’essayer d’exhaler nos ressentis ou encore d’inventer belle une histoire. Ils ne sont pas notre propriété, ils s’éparpillent, s’envolent, se posent, se déposent, sourient ou se pleurent. Ils sont mouvement constant, aller et retour, don et dons… ils se donnent mais jamais ne se prennent car l’essence alors s’en égare, se perd à jamais et fausse la perception, la trouble profondément mais ne change pas notre propre destin… et s’ouvre alors réel le dessein !

L’entre ligne est la subtilité, l’aube cette éternelle Infini…T et ça, jamais tu ne pourras t’en accorder !

L’aube en naît début sans fin l’éternelle d’une, pour, en l'infinie poussière de vie… je suis ce minuscule rien et rien jamais ne se perd...

J’avoue avoir pensé m’en aller, partir, ici ne plus écrire… taire ce bleu tant ce texte m’a bousculée, m’a montré à quel point tout et rien peuvent être utilisés, usés en l'âme et la vraie conscience d’un but tellement infâme…

Et puis, j’ai renoncé après une nuit pourtant très agitée, trop perturbée mais à décrocher tout aéré mon esprit, à l’apaiser… m’offrir encore ce plaisir à dire, sourire ou parler dans le vide et deçà un peu vivre !

Alors, je t'en prie, prends... vends ce vent si tu l'entends...

dimanche 26 août 2007

Chiffrement dément, ne nie ou ne ment...

Sept l’irraisonné naît écho résonné ce gri-gri mon intime ami, à ciel l’azuré bleuté pour s’illuminer là-haut, oh , oh, si oh… douce ma folie… il se parfait nombre, né, déjà à bien alléger en tendre déliée nuée cette nébuleuse nuageuse non orageuse... Rien que par son origine datée et pour, tant ici ou là, s’être fait croisé…

Alors comment éclairer logique mon affectée avouée composée le chiffre qui assemble, somme malgré tout et juste ce trois ?

Ces tiers croqués un… un et d’uns ibidem l’idem, d’eux s’initie belle magie en trois pas, foulées éthérées à balade la destinée en l’évidence vibrance portée d’uns…

Un, mon singulier si particulier, lui prolongé magie unique dito autres… ces ils. Concept, l’un et l’un à l’être autre et qui font naturellement, réellement, rationnellement deux. Un duo deux, d’eux uni, fleuri si belle finalité, "le" cadeau d’une vie !

Et primes ces deux encore ajoutés au juste et si étrange "jememoi" premier s’en forment gentille tierce non perverse…

La triade unicité par son équivalence à s’épanouir toujours piquante et chatoyante différence l’identifiée, en une même, quasi identique et profonde importance…

Mêlée à faire ter… l’alliance fusionnée l’en vers qui se génère l’endroit ce toi ou parfois, tout en contraires, les paires, est le composite magnifique d’une suite infinie et infiniment arrondie, cet ardent carburant à esquisser si rond la vie…

Entier singulier, qui s’il est divisé, partagé et séparé naturel et donc, pleinement plénier, ébauche invariablement le formé d’un complet un, en devenir unique ensemble dissemblance, l’exception exceptionnelle sans elle…

À s’indiquer tout aussi, belle folie à se gager mathématique : sans plus combiner décimales chiffrées l’à droite courbée l’élégante virgule, ces deux premiers ( 1 et 1 ), casés pourtant seconds, caudataires ce dénaire l’ô zéro si fin son neuf… et qui, transposés garant seul double, copiés et non nullités, convertis simplifié "bi-naire", n’errent plus mais naissent forcément trois notre système acquis élémentaire !

Les un et un l’en bi s’égalent trois ce dé ! Sachant dû "naire" à leur derrière, vous aurez tout compris !

Cet "un" à être premier - classé haute cartésienne unité, second - est l’aîné d’un seul et unique présent immensément grand. Présent à se grandir itinérant à s’arrêter le temps, à le figer pour tout le temps, à jamais comme qui dirait…

Premier second toujours et invariablement lié, intimement associé à son suivant second, tout autant premier… Cet "un" là - également à s’ordonner deuxième la belle conformité - si différent et pourtant profondément signifiant, l’entité mon puîné… Ils sont simplement alliés l’égalité, merveilleusement attachés et véritablement porteurs du vrai bonheur, le précurseur et le coauteur, compléments et interdépendants, emmêlés magnifique pluralité !

Remarquables mêmement mes biens nommés, mes tant aimés, unicités à s’offrir vie au nous ter l’arrondi… deux précieux et indissociables uns… d’eux, le un "je" naît vraiment mien !

L'étrange d'un tri sans angles à tournures la brisure... assises fondées sans être figées ou bien déterminées mais interférées, balancées trilatérales nées originale l'âme noyau collatéral, lignée portée essence le coeur...

L’absolu démesuré, là, ter, notre ter… à s’ouvrir ma dégagée l’affranchi à aimer, à sourire vérité intime d’une réelle philosophie, appliquée  et en devenir à jamais, aube d’une éternelle Infini…T

L'héritage sans âge généré naturellement par notre bel alliage... ma richesse partage sans abnégation le sacrifice, non plus composée chiffrage biaisé biscornue l'expectance mais faite principalement d'intentions, de belles dispositions... l'air à se sentir, l'air à s'expirer, l'air à s'inspirer, l'air à s'insuffler simplement vie... par eux et maintenant, force en eux, le juste ce qu'il faut pour qu'ils soient vraiment heureux !

vendredi 24 août 2007

jeudi 23 août 2007

mercredi 22 août 2007

Ice, l'exquise ma banquise...

Prémices mon coeur, ce cor…

Et s’en vient, douceur l’aurore,

Infini défini à prétendre déjà, son délice…

Et s’en vit, bonheur l’encore,

Accompli précis à tendre béa ses blandices…

Préfixe en l’heure, mon corps…

Et je rêve…

L’arrondi exhalé si boules à se crémer senteur…

Diaprées à l’en croquer pour l’une, ce pers,

et pour l’autre, divins brins ce brun l'amer…

L’alibi justifié ma goule à se sucrer saveur…

J’y songe à tendre cette pause… en déposer ma langue rose en bleu l’ose et en son bout, l’initier seules effleurées caresses à doucement retenir, contenir frissonnée la pleine lèche…

Et j’imagine belle crémée la glace, boule mêlée paire, à s’ajouter autorisée l’autre… et enroulée vert l’embrun pistache, et cernée brun l’amer chocolat, abandonnées passagères délicates ce creux cor croustillante gaufrette…

Je rêve ce régal plaisir, ya plus qu'à l'accomplir !

dimanche 19 août 2007

Notation à mention !

Davina et Jonathan...

déjà, un an !

samedi 18 août 2007

Épître l'hors prose...

Notre relation n'a toujours été qu'épistolaire…

Sans vraiment en dégager causalité, ce terme épistolaire m’ouvre à en discerner bruit tout différent. M’attachant, sans doute, à sa racine l’origine déposée quelque part en cette matière ma non grise, elle, par trop anémiée en ce bleu l’azurée… Ou mieux, m'accrochant à l’exquise détournée son, curieusement là, émise tonalité, cette expression à résonner sans en avoir l’air pour s’éparpiller en mon esprit très, hum, hum... moeurs ventilées…

Malicieuse petite encéphale à s’en oublier le "t" à pourtant devoir être (bien), langage même tu, prononcé !

Et se jouer d’elle, comme souvent, s’arrêtant, autorisant son œil, ses yeux, un seul instant à voir et donc à lire bien trop rapidement. Ainsi, pourtant, préservant le sens, celui dit non dit, qui toujours, se dépose subtil l’entre-ligne !

Pour en déduire  automatique, terminale "dique" et en revanche, l’en dédire dernière à plaire "laire"... et toujours, sans l’air d’en avoir l’air…

S’en préserver, simplement gommer "l’épisolaire" à rayonner bien entendu, mot non répandu car jamais entendu, sorte d'invendu mais absolument défendu et donc plus encore tenté prétendu être trop vite lu…

Cependant, et précisément, s’arrêter "l’épiso-dique" accordé pourtant trop l’ivresse d’hic- si triste la détresse à s’éloigner - mais à ne pas leurrer le ton, harmonisant juste pensée et sonorité...

Pour intelligence, se garder et m’offrir l’ensemble traduit et décortiqué, né résumé à dire : épisodique. L'épisode d'une série à se détourner pour abandonner son caractère secondaire, défini accessoire et sans importance…

Mais quel est donc ce battage verbiage à éluder mon manque évident d’érudition ?

Simplement, j'essaie par là, d’exprimer une vérité. Que mieux vaut se fier au son, au bruit qui naît, vient et en devient finalement instinct. Car ici,  si j’examine la phrase en son entier, apparaît clairement le "ne que" qui signifie rien que, seulement que et attache fort et grand, l’importance donnée à l’épistolière et ses écrits très l’air de rien…

L'exemple qui parle et appuie l'évidence à débrouiller l'idée : le sentiment à ne t'aimer que bien...

Croyez bien en folie, ma mie si bien là, définie et qui malgré bon mon gré, infiniment vous sourie !

vendredi 17 août 2007

Serment mon engagement...

La promesse à me tenir, à maintenant étaler fort et juste, tout blanc ce bleu ; je-vœu ! ; l’hors fausse vérité pour vraiment, réellement, profondément m’y accrocher.

Le décompte s’en compte jours à s’envoler et il me faut là, tricher, sur ou sous le colorer, ou bien mieux le déguiser belle l’avancée, ou plus encore le masquer douce la retardée afin que personne, absolument personne ne puisse me faire emprunter le détour d’un tout autre chemin ou s’en sentir intime l'engagée chagrin…

Et ce matin, je me suis levée tout comme chacun – peut-être, un rien plus tôt ou une coudée bien plus tard - en cette sensation d’être tout simplement bien, là, par cette seconde non fractionnée, arrêtée... pour comme toujours, l’étirer et me mêler longueur à, absolu, la préserver… L’instant souvenir présent d’un bon dormir pourtant à conjuguer déjà partir et m’en voir naturellement tirer bon gré, sourires et tendre vers ce banal à jaillir la belle, assurée qui ne ment sa journée magie s’en découvrir… mon ferme vouloir-désir !

Doucement, subtile l’exquise s’est fixée idée en sa petit découverte à s’expliquer bien plus facilement nombreux faits… balancée de ce train, train quotidien, qui pose l’éveil en sommeil sans lourdement et vraiment dormir, la tendre somnolence à griser belle délivrance… laissant se caresser pensées souvent frôlées, l’effleurée glissée oubli parce que je vis…

J’ai toujours été retenue contenus, réservée l’affecté, « introbleuie », non exposée mais libre en elle, se préservant et ne jugeant (ben oui) non nécessaire, comme à côté mon importance. Taire et observer, bruisser sans effort et si fort sens l’empathie pour me sentir en vie, exister en dedans pour magnifier l’au-dehors… et sourire, et écouter, percevoir et offrir en retour, ce recevoir…

Construire, bâtir inconsciemment une bulle, un monde, un lieu, en endroit qui exhale ce moi bien à moi. Pour m’y sentir bien, pour, tout aussi, révéler partages à s’expirer air, dans l’air douceurs à l’autre, aux autres, mes intimes, mes exclusivités, mes miens... ces êtres qui battent leur cœur et dessinent mes ressentis si vrais.

En ça j’expose l’actrice à s’exprimer, deçà, j’ose l’esquisse révélés… je suis alors complète… j’être enfin l’elle qui rit, sourit ou qui s’élance bêtises et justes affirmées tombées simplement du ciel et trop souvent avérées altitude exactitudes…

Encore j’écoute, toujours j’entends et tends naturellement vers ma perception à se jouer ego, à savoir l’imaginée bien être  d’eux… Préserver et les protéger.

Aussi, je m’envole d’ailleurs, je rejoins lune à m’éclairer, à me poser, me reposer ces secoués trop, bien trop vibrés…

Là, je suis et là, je vis…

Et puis le net s’est découvert tout vert pour découvrir seul bleu à me laisser dire, à écrire et à m’emmêler le virtuel du réel… En somme à recommencer confuse réalité, latence potentiel beau le virtuel, ce que je m’étais promis de fuir et à m’emmener bien loin d’un délai que je m’étais fixé !

Alors s’arrête ce maintenant. Alors se finit faussée la vie.

...

Mon aîné est passé. Mon à moi, le mien, les miens… Mon premier ces deux nés à ce pouvoir immensément aimer. Mon fils m’a tout simplement par ailleurs, envolée !

Je reviendrai canapé, l'amuse bouche (à s'en taper), m'allonger...

...

L’accroche immensité pas si Net la toile, l’arantèle si belle à lentement me déchirer l’espérance, la confiance mienne, tellement fragile, à s’éparpiller car présent non fondée et initiée sans fondations pour en devenir finalité brisée à jamais et m’égarer pour toujours belle croyance l’en dedans, cette foi en moi, la force tendre…

I believed I can fly…

Et s’en naître, naturel le réel, insidieuse et profonde addiction, composée si précises attentions… attendre, soupirer, espérer, aspirer à ce quelque chose qui s’ouvrirait ce que j’imagine être la vie…

L’imaginaire est deçà l'extraordinaire !

Et j’y ai cru, réveillant le rêve ce possible d’autres à rencontrer sans l’idée bien arrêtée pour malgré, en présumer mon intensité en cette normalité !

J’ai écouté, suivi ce qui m’avait été dit… en valoir la peine, mériter l’attention, être une belle personne, penser à moi, etceteri et etcetera…

Ranimer l’ego, vivre ce moi plus égoïstement, me prendre le sérieux d’un pouvoir à plaire, à satisfaire, aussi, mes supposés projets…

J’ai échoué lamentablement pour maintenant, chuter inexorablement…

Ne plus vouloir ou plutôt, ne plus pouvoir par manque d’appartenance, par l’absence d’un vrai regard à croiser le mien…

Voir autrement, ma vision portée à tendre égards n’est pas une philosophie de vie, elle est simplement porte ouverte à ce que je suis… ce pendant n’en valant pas la peine, non plus méritant l’attention simplement car ce in en dedans n’est pas l’être belle personne…

L’idée matière  seulement restera pour qu’elle poussière naturellement s’abandonne…

Rien n’est jamais perdu en ce réel la vie, l'addition de toutes nos réalités !

mercredi 15 août 2007

Affinité céleste azurée...

Si le ciel m’était lié par sa douceur étirée ou sa douleur brouillée, se dessinerait forte l’empreinte attributs belle candeur ou fiel aigreur à mes humeurs. Je ne serais plus elle à lune s’égarer, cette elle à tant panser bonheur. Je naîtrais l’autre, l’une à s’imager K la rime à autrement se nommer !

Car le ciel nous accorde face notre vérité, détient pile, miroir l’harmonie à se garder, jamais à s’illusionner…

Je ne suis ni belle et pas même exceptionnelle seulement accomplissant simplement cette disposée propre à ma nature pour la concéder bêtement sans concessions… depuis toujours, même lorsque j’étais enfant.

Déjà se dessinait le sourire face à l’autre chose, déjà s’en cachait belle la moquerie de ne pas être conformée juste conformité pour s’en devenir toujours équitable concupiscence et s’en partir irréprochable indifférence… Mais on l’aimait bien ce drôle d’ange. On l’affectionnait pour ce qu’il donnait. On appréciait sa candeur jamais accompagnée de pleurs…

Si bonne et tellement bête. L’admise à s’offrir talonnée concis l’impartis vrais et faux sourires et à encore maintenant bon gré m’étirer vrai bonheur, sourire né d’un seul cœur….

Et sans toutefois m’être améliorée, je tends à bien voir à un moment pour cependant m’en moquer éperdument !

Je me fiche d’être utilisée, et de naître seulement désirs d’instants, ou de servir à boucher un trou pour combler le vide si vide, ou encore à n’être que l’oreille qui écoute et jamais voix l’entendue, de sembler par seuls vos regards, l’être à manipuler…

Je me moque d’être aimée, je n’aspire pas ce sens car ce qui compte et m’importe est le pouvoir d’aimer ! Aimer tout mais pas n’importe quoi…

Le ciel nous est associé par ce que nous lui offrons à regarder, en l’être soi miroité…

lundi 13 août 2007

Temps précieux à se garder...

Quand on aime quelqu'un, on a toujours quelque chose à lui dire ou à lui écrire... jusqu'à la fin des temps.

Christian Bobin

Et le temps toujours se pose de ces quelques petites choses pour qu'élans enfin s'osent !

Alors prends simplement la pause, ami magnifié né ma gnose... bande cet effort instant infini et si petit. Coule, découle le symbiose... la peine minute close, son juste l'ajusté dose pressant à ce pouvoir te rendre ce rêve bleu à toucher sa rose...

Et que ce don opère belle la métamorphose, qu'elle m'envole bien loin de toutes humeurs moroses et tend plus encore étrange l'alanguie ma psychose pour clôturer en beauté et avec élégance, douce fin l'apothéose !

Car comme dit Friedrich, tous ceux que nous avons longtemps fait attendre dans l'antichambre de notre faveur finissent par fermenter et succomber à l'aigreur.

Et l'aigre n'emportera pas mon coeur dans l'attente de ta faveur !

samedi 11 août 2007

Si belle la vie !

Et l’aléa ma chance aujourd'hui, hasardée si curieuses occurrences à s’emmener fondée et joyeuse circonstance…

L’Ange qui toujours veille !

Au détour d'une trouvaille décelée à noter beauté. Un texte ou plutôt un questionnaire à se jouer, cité ici, bien évidemment, l’orangé… Et voyelles, et consommes d’elles emmêlées pour s’en former mots en devenir lexies composés cependant sans complexité si astucieuse la tromperie par trop souvent bien aisément visible d’un patent désaccordé et qui repousse instinctivement la simplicité de mon infinie quête à la vérité… une non investigation qui découvre nu l’auteur à poser si belles ses questions !

Et j’y ai répondu, et je me suis surprise à apprécier lumineuse la tournure, d’un contenu clair d’où pourtant s’échappait inconscient, le sens inaltéré, s’éparpillant pour s’offrir sonorité et enluminer tout bleu l'à l’entour éther, son bruissé dans l’air…

Car si lecture se veut harmonieuse et coulée à l’intime inné pour être vraiment appréciée, son primaire irréfléchi se doit d’offrir sensations plus subtiles, imperceptibles et à naître immanquablement, à toujours être présentes…

Et des mots sans contre sens ni se leurrant d’autres à s’en cacher. Des phrases découlées la norme, construites comme il se doit sans qu’elles me semblent trop composées ou contre la nature de celui qui les a formées, ou encore copiées pour tout autre s’en formater. Une réelle belle écriture déposant, m’offrant extrêmement remarquable cette rencontre spirituelle sans que ne s’emmêle le terre à terre si nivelé l’en dessous ceinturé !

Ne sachant pas me taire, j’ai commenté mes réponses restreintes par un oui ou un non de quelques lignes à dire, à essayer de décrire mon candide émerveillement.

Une réponse s’est aussitôt envolée, courtois écho de cet homme pour encore m’emporter maintenant d’un ailleurs à lire des textes de sa composition. Le premier est celui qui est, qui m’est personnellement extraordinaire !

Une histoire, celle d’une simple rencontre devenue de nos jours, banale. Le condensé de l’attente première virtuelle qui doucement se métamorphose en réalité visuelle. Pausée alors d’un lieu d’où découlent pensées liées par cette unique et si particulière suspension mais aussi générées par l’endroit à proximité d’un théâtre où se jouait un spectacle lyrique, La flûte enchantée de Mozart…

Alors que ce matin même, j’écrivais à Pierre quelques mots à sceller encore toute réelle mon imaginée belle notre amitié virtuelle mais également en ces termes bien présents en ma pensée, déliés sagesse, force et beauté…

S’en suit l'énoncé de l’arrivée de la dame et sa description très étonnante ! En voici, un extrait : « Vous aviez des cheveux courts de couleur sombres, un visage radieux au sourire doux, des sourcils fins comme des ogives sur un regard profond aux yeux bruns entourés d’ellipses de cils finement redessinés par un maquillage discret »…

Le drôle est que je m’y retrouve tout aussi ! Non pas dans la rectitude juste exactitude mais plutôt en son esquisse ambrée  l'imagine.

Sans être en recherche brève l’amourette ou en désir infini conte l’amour, je souhaiterais plutôt... mais là n'est pas le propos !

Tout cet inutile verbiage pour démontrer étrange ma vie mais sans vouloir blesser personne. Simplement montrer sa beauté quoi qu’il puisse arriver. Que son accord vrai, couleur harmonie sans l’once fardée lourde tricherie, embrume le regard d’une tendre poussière d’Ange et nous offre à voir autrement, bien au-delà et curieusement en dedans…

vendredi 10 août 2007

Vendredi, part à dits...

Voici donc vendredi en sa soirée accordée - renouveau - trop bien aimée !

Une veille à bibus, ce plein l’émotion si belle imagination, la vêprée autorisée rêves tout éveillés… durée brièveté à tant m’attacher, qui me sourit si belle la vie, qui m’ouvre à toucher l’univers et m’inonde l’enivré à se pétiller d’étoiles l’atmosphère…

Je suis heureuse, je suis ravie en cet instant sans trop savoir, non plus en chercher, rechercher profonde la raison. Elle déjà gentiment allégée plume soufflée par l’or ce temps et gommée ivresse l’hors toute pensée par trop rationnelle, à savoir, ces demain tout semblables en ce banal leur matin…

Et même si méridional lointain bruisse silence à aimer déconcerté couleur l’orangé son miroir sans tain différemment magnifié sens maintenant sien…

Ou l’autre sud accolé plus proche concise belgitude dénigrée (à tort) froidure le nord, tout aussi à s’éloigner tendre l’horizon ma lune pour se conforter et tendre Pluton en se gardant, bien sûr, Marie, l’une…

Comme ces pauses forcées imaginées seules intimes expectatives ou encore ces lectures à me sidérer ce trop, vraiment trop glorifié tempo démesures l’ego…

Ou simplement la dialectique déduite juste logique à révéler mon être seul,  ( oh ! ) l'isolé décrié non normé... j’enchante pourtant l’aise ce pressant aux anges !

L’être bête est deçà !

Non pas noir sombré le demeuré à contrer absolument blanc apuré l’intelligent mais esquissé l’estimée établie irréfléchie à se contenter de peu, ce "peut"... à vibrer le tort ou pourquoi pas, le travers... à s’envoler d’un tout rien sans pas valeur à se marchander, l’enchère à s’exhausser ciel en sa superbe précellence pour se reprendre trop et si peu le sérieux qui en définitive évade l’autre regard et le réalise réalité seulement à encore se courber, plus à se voiler, à jamais, se briser…

Alors, je célèbre exalté l’immensité profonde qu’est mon indubitable stupidité affichée ici, haut et clair,  en ce particulier instant, qui, je l’avoue dure, perdure souvent ou depuis un très très long moment, l’augure en somme... mais que je partage facilités à s’éparpiller d’un curieux sourire, conformé, conforté et à vous porter, étranges, tout beaux, pour tendrement vous en élargir…

A trop toucher mots m’en retouche Infini…T, l’être sot !

mardi 7 août 2007

Elle dit...

Delta l’espace infini à cercler façon portée le cœur l’autre ami… posé main, caresse la touche ce choisi par un rite atavique préétabli, celé son codé franc précis et composé pourtant l’audace présent à rebondis…

L’équerre dérivée carré la terre non chafouine en sa lune belle l’imagine, disposée cœurs triangulés au centré pointé seul fascinant élan d’un compas ouvert degré universalité à se conjuguer unique unicité… Déterminé l’axe orienté ter, l’à trois luminescence, trois l’assise sa véhémence essence…

 

 

Elle dit… Infini...T
z’avez compris ! ?

dimanche 5 août 2007

Pendule l'heure juste...

 

Ce droit la réponse, sa liberté d’être… sans pourtant me précipiter belle polémique à tendre tendresse la chamaille pour  encore sucrer plus loin idéale l'idylle à s’en laisser croire retour la flamme !

samedi 4 août 2007

Faussée, l'accordance...

Faussée l'accordance...

Si belle correspondance, éveillée seul bruit, trop souvent mouillé ton, ennui…

Qui t’est tard, l’arc boutant en tous ces soirs, à l’égard bel né pour temps, son, désespoir…

Tenté pluri-elles, ton espoir !

Ou tellement tôt balbutiées agonie tes nuits,  itinérant nomade le cœur mais asticoté seul le fruit…

Élan corps, pansé essence ciel à ton cœur, en sa chaleur ardeur à naître pourtant petit asticot si laid à manger goulu, ce fruit !

Et tu n’as rien compris et as très lourdement… menti !

Il est des jours, comme aujourd’hui, où je voudrais, je souhaiterais profondément ne t’avoir jamais croisé… Mais tel est le destin, la destinée à m’exposer le monde bien moins beau que tentations si belles à mon imagination… Livre à l'histoire d’elle, à elle, et toujours magnifié l’ombrée cet Ange à me veiller…

Car ton éphémère essence ne barbouillera pas mouillé d’une larme mon regard, ni ne l’assombrira tel seul le tien à ce savoir tant confirmé…

Tu seras leçon l’incarné par si haute l’exégèse tienne, l’exposé précepte d’un réel existé sans pourtant jamais l’adjoindre à ma réalité… l’admonition à combler ma si pauvre éducation… sorte de culture à se générer générale mais ce pendant seul, ton unicité !

Sois, et ainsi en soit il, car toujours en sera soie l'être Infini…T