vendredi 17 août 2007

Serment mon engagement...

La promesse à me tenir, à maintenant étaler fort et juste, tout blanc ce bleu ; je-vœu ! ; l’hors fausse vérité pour vraiment, réellement, profondément m’y accrocher.

Le décompte s’en compte jours à s’envoler et il me faut là, tricher, sur ou sous le colorer, ou bien mieux le déguiser belle l’avancée, ou plus encore le masquer douce la retardée afin que personne, absolument personne ne puisse me faire emprunter le détour d’un tout autre chemin ou s’en sentir intime l'engagée chagrin…

Et ce matin, je me suis levée tout comme chacun – peut-être, un rien plus tôt ou une coudée bien plus tard - en cette sensation d’être tout simplement bien, là, par cette seconde non fractionnée, arrêtée... pour comme toujours, l’étirer et me mêler longueur à, absolu, la préserver… L’instant souvenir présent d’un bon dormir pourtant à conjuguer déjà partir et m’en voir naturellement tirer bon gré, sourires et tendre vers ce banal à jaillir la belle, assurée qui ne ment sa journée magie s’en découvrir… mon ferme vouloir-désir !

Doucement, subtile l’exquise s’est fixée idée en sa petit découverte à s’expliquer bien plus facilement nombreux faits… balancée de ce train, train quotidien, qui pose l’éveil en sommeil sans lourdement et vraiment dormir, la tendre somnolence à griser belle délivrance… laissant se caresser pensées souvent frôlées, l’effleurée glissée oubli parce que je vis…

J’ai toujours été retenue contenus, réservée l’affecté, « introbleuie », non exposée mais libre en elle, se préservant et ne jugeant (ben oui) non nécessaire, comme à côté mon importance. Taire et observer, bruisser sans effort et si fort sens l’empathie pour me sentir en vie, exister en dedans pour magnifier l’au-dehors… et sourire, et écouter, percevoir et offrir en retour, ce recevoir…

Construire, bâtir inconsciemment une bulle, un monde, un lieu, en endroit qui exhale ce moi bien à moi. Pour m’y sentir bien, pour, tout aussi, révéler partages à s’expirer air, dans l’air douceurs à l’autre, aux autres, mes intimes, mes exclusivités, mes miens... ces êtres qui battent leur cœur et dessinent mes ressentis si vrais.

En ça j’expose l’actrice à s’exprimer, deçà, j’ose l’esquisse révélés… je suis alors complète… j’être enfin l’elle qui rit, sourit ou qui s’élance bêtises et justes affirmées tombées simplement du ciel et trop souvent avérées altitude exactitudes…

Encore j’écoute, toujours j’entends et tends naturellement vers ma perception à se jouer ego, à savoir l’imaginée bien être  d’eux… Préserver et les protéger.

Aussi, je m’envole d’ailleurs, je rejoins lune à m’éclairer, à me poser, me reposer ces secoués trop, bien trop vibrés…

Là, je suis et là, je vis…

Et puis le net s’est découvert tout vert pour découvrir seul bleu à me laisser dire, à écrire et à m’emmêler le virtuel du réel… En somme à recommencer confuse réalité, latence potentiel beau le virtuel, ce que je m’étais promis de fuir et à m’emmener bien loin d’un délai que je m’étais fixé !

Alors s’arrête ce maintenant. Alors se finit faussée la vie.

...

Mon aîné est passé. Mon à moi, le mien, les miens… Mon premier ces deux nés à ce pouvoir immensément aimer. Mon fils m’a tout simplement par ailleurs, envolée !

Je reviendrai canapé, l'amuse bouche (à s'en taper), m'allonger...

...

L’accroche immensité pas si Net la toile, l’arantèle si belle à lentement me déchirer l’espérance, la confiance mienne, tellement fragile, à s’éparpiller car présent non fondée et initiée sans fondations pour en devenir finalité brisée à jamais et m’égarer pour toujours belle croyance l’en dedans, cette foi en moi, la force tendre…

I believed I can fly…

Et s’en naître, naturel le réel, insidieuse et profonde addiction, composée si précises attentions… attendre, soupirer, espérer, aspirer à ce quelque chose qui s’ouvrirait ce que j’imagine être la vie…

L’imaginaire est deçà l'extraordinaire !

Et j’y ai cru, réveillant le rêve ce possible d’autres à rencontrer sans l’idée bien arrêtée pour malgré, en présumer mon intensité en cette normalité !

J’ai écouté, suivi ce qui m’avait été dit… en valoir la peine, mériter l’attention, être une belle personne, penser à moi, etceteri et etcetera…

Ranimer l’ego, vivre ce moi plus égoïstement, me prendre le sérieux d’un pouvoir à plaire, à satisfaire, aussi, mes supposés projets…

J’ai échoué lamentablement pour maintenant, chuter inexorablement…

Ne plus vouloir ou plutôt, ne plus pouvoir par manque d’appartenance, par l’absence d’un vrai regard à croiser le mien…

Voir autrement, ma vision portée à tendre égards n’est pas une philosophie de vie, elle est simplement porte ouverte à ce que je suis… ce pendant n’en valant pas la peine, non plus méritant l’attention simplement car ce in en dedans n’est pas l’être belle personne…

L’idée matière  seulement restera pour qu’elle poussière naturellement s’abandonne…

Rien n’est jamais perdu en ce réel la vie, l'addition de toutes nos réalités !