mercredi 15 août 2007

Affinité céleste azurée...

Si le ciel m’était lié par sa douceur étirée ou sa douleur brouillée, se dessinerait forte l’empreinte attributs belle candeur ou fiel aigreur à mes humeurs. Je ne serais plus elle à lune s’égarer, cette elle à tant panser bonheur. Je naîtrais l’autre, l’une à s’imager K la rime à autrement se nommer !

Car le ciel nous accorde face notre vérité, détient pile, miroir l’harmonie à se garder, jamais à s’illusionner…

Je ne suis ni belle et pas même exceptionnelle seulement accomplissant simplement cette disposée propre à ma nature pour la concéder bêtement sans concessions… depuis toujours, même lorsque j’étais enfant.

Déjà se dessinait le sourire face à l’autre chose, déjà s’en cachait belle la moquerie de ne pas être conformée juste conformité pour s’en devenir toujours équitable concupiscence et s’en partir irréprochable indifférence… Mais on l’aimait bien ce drôle d’ange. On l’affectionnait pour ce qu’il donnait. On appréciait sa candeur jamais accompagnée de pleurs…

Si bonne et tellement bête. L’admise à s’offrir talonnée concis l’impartis vrais et faux sourires et à encore maintenant bon gré m’étirer vrai bonheur, sourire né d’un seul cœur….

Et sans toutefois m’être améliorée, je tends à bien voir à un moment pour cependant m’en moquer éperdument !

Je me fiche d’être utilisée, et de naître seulement désirs d’instants, ou de servir à boucher un trou pour combler le vide si vide, ou encore à n’être que l’oreille qui écoute et jamais voix l’entendue, de sembler par seuls vos regards, l’être à manipuler…

Je me moque d’être aimée, je n’aspire pas ce sens car ce qui compte et m’importe est le pouvoir d’aimer ! Aimer tout mais pas n’importe quoi…

Le ciel nous est associé par ce que nous lui offrons à regarder, en l’être soi miroité…