Quand on aime quelqu'un, on a toujours quelque chose à lui dire ou à lui écrire... jusqu'à la fin des temps.
Christian Bobin
Et le temps toujours se pose de ces quelques petites choses pour qu'élans enfin s'osent !
Alors prends simplement la pause, ami magnifié né ma gnose... bande cet effort instant infini et si petit. Coule, découle le symbiose... la peine minute close, son juste l'ajusté dose pressant à ce pouvoir te rendre ce rêve bleu à toucher sa rose...
Et que ce don opère belle la métamorphose, qu'elle m'envole bien loin de toutes humeurs moroses et tend plus encore étrange l'alanguie ma psychose pour clôturer en beauté et avec élégance, douce fin l'apothéose !
Car comme dit Friedrich, tous ceux que nous avons longtemps fait attendre dans l'antichambre de notre faveur finissent par fermenter et succomber à l'aigreur.
Et l'aigre n'emportera pas mon coeur dans l'attente de ta faveur !