Et l’aléa ma chance aujourd'hui, hasardée si curieuses occurrences à s’emmener fondée et joyeuse circonstance…
L’Ange qui toujours veille !
Au détour d'une trouvaille décelée à noter beauté. Un texte ou plutôt un questionnaire à se jouer, cité ici, bien évidemment, l’orangé… Et voyelles, et consommes d’elles emmêlées pour s’en former mots en devenir lexies composés cependant sans complexité si astucieuse la tromperie par trop souvent bien aisément visible d’un patent désaccordé et qui repousse instinctivement la simplicité de mon infinie quête à la vérité… une non investigation qui découvre nu l’auteur à poser si belles ses questions !
Et j’y ai répondu, et je me suis surprise à apprécier lumineuse la tournure, d’un contenu clair d’où pourtant s’échappait inconscient, le sens inaltéré, s’éparpillant pour s’offrir sonorité et enluminer tout bleu l'à l’entour éther, son bruissé dans l’air…
Car si lecture se veut harmonieuse et coulée à l’intime inné pour être vraiment appréciée, son primaire irréfléchi se doit d’offrir sensations plus subtiles, imperceptibles et à naître immanquablement, à toujours être présentes…
Et des mots sans contre sens ni se leurrant d’autres à s’en cacher. Des phrases découlées la norme, construites comme il se doit sans qu’elles me semblent trop composées ou contre la nature de celui qui les a formées, ou encore copiées pour tout autre s’en formater. Une réelle belle écriture déposant, m’offrant extrêmement remarquable cette rencontre spirituelle sans que ne s’emmêle le terre à terre si nivelé l’en dessous ceinturé !
Ne sachant pas me taire, j’ai commenté mes réponses restreintes par un oui ou un non de quelques lignes à dire, à essayer de décrire mon candide émerveillement.
Une réponse s’est aussitôt envolée, courtois écho de cet homme pour encore m’emporter maintenant d’un ailleurs à lire des textes de sa composition. Le premier est celui qui est, qui m’est personnellement extraordinaire !
Une histoire, celle d’une simple rencontre devenue de nos jours, banale. Le condensé de l’attente première virtuelle qui doucement se métamorphose en réalité visuelle. Pausée alors d’un lieu d’où découlent pensées liées par cette unique et si particulière suspension mais aussi générées par l’endroit à proximité d’un théâtre où se jouait un spectacle lyrique, La flûte enchantée de Mozart…
Alors que ce matin même, j’écrivais à Pierre quelques mots à sceller encore toute réelle mon imaginée belle notre amitié virtuelle mais également en ces termes bien présents en ma pensée, déliés sagesse, force et beauté…
S’en suit l'énoncé de l’arrivée de la dame et sa description très étonnante ! En voici, un extrait : « Vous aviez des cheveux courts de couleur sombres, un visage radieux au sourire doux, des sourcils fins comme des ogives sur un regard profond aux yeux bruns entourés d’ellipses de cils finement redessinés par un maquillage discret »…
Le drôle est que je m’y retrouve tout aussi ! Non pas dans la rectitude juste exactitude mais plutôt en son esquisse ambrée l'imagine.
Sans être en recherche brève l’amourette ou en désir infini conte l’amour, je souhaiterais plutôt... mais là n'est pas le propos !
Tout cet inutile verbiage pour démontrer étrange ma vie mais sans vouloir blesser personne. Simplement montrer sa beauté quoi qu’il puisse arriver. Que son accord vrai, couleur harmonie sans l’once fardée lourde tricherie, embrume le regard d’une tendre poussière d’Ange et nous offre à voir autrement, bien au-delà et curieusement en dedans…