vendredi 10 août 2007

Vendredi, part à dits...

Voici donc vendredi en sa soirée accordée - renouveau - trop bien aimée !

Une veille à bibus, ce plein l’émotion si belle imagination, la vêprée autorisée rêves tout éveillés… durée brièveté à tant m’attacher, qui me sourit si belle la vie, qui m’ouvre à toucher l’univers et m’inonde l’enivré à se pétiller d’étoiles l’atmosphère…

Je suis heureuse, je suis ravie en cet instant sans trop savoir, non plus en chercher, rechercher profonde la raison. Elle déjà gentiment allégée plume soufflée par l’or ce temps et gommée ivresse l’hors toute pensée par trop rationnelle, à savoir, ces demain tout semblables en ce banal leur matin…

Et même si méridional lointain bruisse silence à aimer déconcerté couleur l’orangé son miroir sans tain différemment magnifié sens maintenant sien…

Ou l’autre sud accolé plus proche concise belgitude dénigrée (à tort) froidure le nord, tout aussi à s’éloigner tendre l’horizon ma lune pour se conforter et tendre Pluton en se gardant, bien sûr, Marie, l’une…

Comme ces pauses forcées imaginées seules intimes expectatives ou encore ces lectures à me sidérer ce trop, vraiment trop glorifié tempo démesures l’ego…

Ou simplement la dialectique déduite juste logique à révéler mon être seul,  ( oh ! ) l'isolé décrié non normé... j’enchante pourtant l’aise ce pressant aux anges !

L’être bête est deçà !

Non pas noir sombré le demeuré à contrer absolument blanc apuré l’intelligent mais esquissé l’estimée établie irréfléchie à se contenter de peu, ce "peut"... à vibrer le tort ou pourquoi pas, le travers... à s’envoler d’un tout rien sans pas valeur à se marchander, l’enchère à s’exhausser ciel en sa superbe précellence pour se reprendre trop et si peu le sérieux qui en définitive évade l’autre regard et le réalise réalité seulement à encore se courber, plus à se voiler, à jamais, se briser…

Alors, je célèbre exalté l’immensité profonde qu’est mon indubitable stupidité affichée ici, haut et clair,  en ce particulier instant, qui, je l’avoue dure, perdure souvent ou depuis un très très long moment, l’augure en somme... mais que je partage facilités à s’éparpiller d’un curieux sourire, conformé, conforté et à vous porter, étranges, tout beaux, pour tendrement vous en élargir…

A trop toucher mots m’en retouche Infini…T, l’être sot !