samedi 18 août 2007

Épître l'hors prose...

Notre relation n'a toujours été qu'épistolaire…

Sans vraiment en dégager causalité, ce terme épistolaire m’ouvre à en discerner bruit tout différent. M’attachant, sans doute, à sa racine l’origine déposée quelque part en cette matière ma non grise, elle, par trop anémiée en ce bleu l’azurée… Ou mieux, m'accrochant à l’exquise détournée son, curieusement là, émise tonalité, cette expression à résonner sans en avoir l’air pour s’éparpiller en mon esprit très, hum, hum... moeurs ventilées…

Malicieuse petite encéphale à s’en oublier le "t" à pourtant devoir être (bien), langage même tu, prononcé !

Et se jouer d’elle, comme souvent, s’arrêtant, autorisant son œil, ses yeux, un seul instant à voir et donc à lire bien trop rapidement. Ainsi, pourtant, préservant le sens, celui dit non dit, qui toujours, se dépose subtil l’entre-ligne !

Pour en déduire  automatique, terminale "dique" et en revanche, l’en dédire dernière à plaire "laire"... et toujours, sans l’air d’en avoir l’air…

S’en préserver, simplement gommer "l’épisolaire" à rayonner bien entendu, mot non répandu car jamais entendu, sorte d'invendu mais absolument défendu et donc plus encore tenté prétendu être trop vite lu…

Cependant, et précisément, s’arrêter "l’épiso-dique" accordé pourtant trop l’ivresse d’hic- si triste la détresse à s’éloigner - mais à ne pas leurrer le ton, harmonisant juste pensée et sonorité...

Pour intelligence, se garder et m’offrir l’ensemble traduit et décortiqué, né résumé à dire : épisodique. L'épisode d'une série à se détourner pour abandonner son caractère secondaire, défini accessoire et sans importance…

Mais quel est donc ce battage verbiage à éluder mon manque évident d’érudition ?

Simplement, j'essaie par là, d’exprimer une vérité. Que mieux vaut se fier au son, au bruit qui naît, vient et en devient finalement instinct. Car ici,  si j’examine la phrase en son entier, apparaît clairement le "ne que" qui signifie rien que, seulement que et attache fort et grand, l’importance donnée à l’épistolière et ses écrits très l’air de rien…

L'exemple qui parle et appuie l'évidence à débrouiller l'idée : le sentiment à ne t'aimer que bien...

Croyez bien en folie, ma mie si bien là, définie et qui malgré bon mon gré, infiniment vous sourie !