Si
belle correspondance, éveillée seul bruit, trop souvent mouillé ton, ennui…
Qui t’est tard, l’arc boutant en tous ces soirs, à l’égard bel né pour temps, son, désespoir…
Tenté pluri-elles, ton espoir !
Ou tellement tôt balbutiées agonie tes nuits, itinérant nomade le cœur mais asticoté seul le fruit…
Élan corps, pansé essence ciel à ton cœur, en sa chaleur ardeur à naître pourtant petit asticot si laid à manger goulu, ce fruit !
Et tu n’as rien compris et as très lourdement… menti !
Il est des jours, comme aujourd’hui, où je voudrais, je souhaiterais profondément ne t’avoir jamais croisé… Mais tel est le destin, la destinée à m’exposer le monde bien moins beau que tentations si belles à mon imagination… Livre à l'histoire d’elle, à elle, et toujours magnifié l’ombrée cet Ange à me veiller…
Car ton éphémère essence ne barbouillera pas mouillé d’une larme mon regard, ni ne l’assombrira tel seul le tien à ce savoir tant confirmé…
Tu seras leçon l’incarné par si haute l’exégèse tienne, l’exposé précepte d’un réel existé sans pourtant jamais l’adjoindre à ma réalité… l’admonition à combler ma si pauvre éducation… sorte de culture à se générer générale mais ce pendant seul, ton unicité !
Sois, et ainsi en soit il, car toujours en sera soie l'être Infini…T