Sept l’irraisonné naît écho résonné ce gri-gri mon intime ami, à ciel l’azuré bleuté pour s’illuminer là-haut, oh , oh, si oh… douce ma folie… il se parfait nombre, né, déjà à bien alléger en tendre déliée nuée cette nébuleuse nuageuse non orageuse... Rien que par son origine datée et pour, tant ici ou là, s’être fait croisé…
Alors comment éclairer logique mon affectée avouée composée le chiffre qui assemble, somme malgré tout et juste ce trois ?
Ces tiers croqués un… un et d’uns ibidem l’idem, d’eux s’initie belle magie en trois
pas, foulées éthérées à balade la destinée en l’évidence vibrance portée d’uns…
Un, mon singulier si particulier, lui prolongé magie unique dito autres… ces ils. Concept, l’un et l’un à l’être autre et qui font naturellement, réellement, rationnellement deux. Un duo deux, d’eux uni, fleuri si belle finalité, "le" cadeau d’une vie !
Et primes ces deux encore ajoutés au juste et si étrange "jememoi" premier s’en forment gentille tierce non perverse…
La triade unicité par son équivalence à s’épanouir toujours piquante et chatoyante différence l’identifiée, en une même, quasi identique et profonde importance…
Mêlée à faire ter… l’alliance fusionnée l’en vers qui se génère l’endroit ce toi ou parfois, tout en contraires, les paires, est le composite magnifique d’une suite infinie et infiniment arrondie, cet ardent carburant à esquisser si rond la vie…
Entier singulier, qui s’il est divisé, partagé et séparé naturel et donc,
pleinement plénier, ébauche invariablement le formé d’un complet un, en devenir
unique ensemble dissemblance, l’exception exceptionnelle sans elle…
À s’indiquer tout aussi, belle folie à se gager mathématique : sans plus combiner décimales chiffrées l’à droite courbée l’élégante virgule, ces deux premiers ( 1 et 1 ), casés pourtant seconds, caudataires ce dénaire l’ô zéro si fin son neuf… et qui, transposés garant seul double, copiés et non nullités, convertis simplifié "bi-naire", n’errent plus mais naissent forcément trois notre système acquis élémentaire !
Les un et un l’en bi s’égalent trois ce dé ! Sachant dû "naire" à leur derrière, vous aurez tout compris !
Cet "un" à être premier - classé haute cartésienne unité, second - est l’aîné d’un seul et unique présent immensément grand. Présent à se grandir itinérant à s’arrêter le temps, à le figer pour tout le temps, à jamais comme qui dirait…
Premier second toujours et invariablement lié, intimement associé à son suivant second, tout autant premier… Cet "un" là - également à s’ordonner deuxième la belle conformité - si différent et pourtant profondément signifiant, l’entité mon puîné… Ils sont simplement alliés l’égalité, merveilleusement attachés et véritablement porteurs du vrai bonheur, le précurseur et le coauteur, compléments et interdépendants, emmêlés magnifique pluralité !
Remarquables mêmement mes biens nommés, mes tant aimés, unicités à s’offrir vie
au nous ter l’arrondi… deux précieux et indissociables uns… d’eux, le un "je"
naît vraiment mien !
L'étrange d'un tri sans angles à tournures la brisure... assises fondées sans être figées ou bien déterminées mais interférées, balancées trilatérales nées originale l'âme noyau collatéral, lignée portée essence le coeur...
L’absolu démesuré, là, ter, notre ter… à s’ouvrir ma dégagée l’affranchi à aimer, à sourire vérité intime d’une réelle philosophie, appliquée et en devenir à jamais, aube d’une éternelle Infini…T
L'héritage sans âge généré naturellement par notre bel alliage... ma richesse partage sans abnégation le sacrifice, non plus composée chiffrage biaisé biscornue l'expectance mais faite principalement d'intentions, de belles dispositions... l'air à se sentir, l'air à s'expirer, l'air à s'inspirer, l'air à s'insuffler simplement vie... par eux et maintenant, force en eux, le juste ce qu'il faut pour qu'ils soient vraiment heureux !