Briser l’image, annihiler cliché si belle sa figurine, infirmer définitivement l’imagine, crier haut et immensément fort, encore une fois, une dernière fois ce que tu imagines pouvoir t’appartenir et que tu t’appropries hors pudicité, marques sans vergogne, enregistres réalité et si bien vite propriété, l’air éther ton inventé…
Une philosophie ne se vole pas mais se découvre à partager, s’emmêle belles les vies, et des uns, et des autres, se construit doucement, petit à petit, sans contrainte, naturellement et se pose non pas habit emprunté et hâtivement ajusté le temps cet instant en seule l’idée mais regards à contempler sans honte ni regrets, le passé, l’avant en devenir présent. Née d’expériences, de souvenirs, elle tend l’être soi en ses intimes valeurs, par ses propres acquis, en son âme probité… Elle est empreinte l’inconscience et tout simplement se vit sans en naître uniques magnifiés écrits !
Tout comme un auteur ne peut se dire avoir été lu seulement pour en avoir parcouru quelques extraits phrasés, astucieusement résumés et entoilés le net ! Un livre respire, expire, soupire l’air pour se créer une atmosphère toute particulière, unique, magique, féérique et sans jamais s’attacher la critique à tendre le groupé, à se dire l’érudit qui sait… La lecture tout comme l’écriture ne peuvent jamais s’obliger, contraindre à bien se plaire ou s’offrir astreintes à mieux plaire… Elles sont cadeau tout beau !!
Et les mots sont libres ce droit l’à moi, nous sont donnés à mélanger afin d’exprimer nos pensées, de dire le sens, à s’essayer d’exhaler nos ressentis ou encore d’inventer belle une histoire. Ils ne sont pas notre propriété, ils s’éparpillent, s’envolent, se posent, se déposent, sourient ou se pleurent. Ils sont mouvement constant, aller et retour, don et dons… ils se donnent mais jamais ne se prennent car l’essence alors s’en égare, se perd à jamais et fausse la perception, la trouble profondément mais ne change pas notre propre destin… et s’ouvre alors réel le dessein !
L’entre ligne est la subtilité, l’aube cette éternelle Infini…T et ça, jamais tu ne pourras t’en accorder !
L’aube en naît début sans fin l’éternelle d’une, pour, en l'infinie poussière de vie… je suis ce minuscule rien et rien jamais ne se perd...
J’avoue avoir pensé m’en aller, partir, ici ne plus écrire… taire ce bleu tant ce texte m’a bousculée, m’a montré à quel point tout et rien peuvent être utilisés, usés en l'âme et la vraie conscience d’un but tellement infâme…
Et puis, j’ai renoncé après une nuit pourtant très agitée, trop perturbée mais à décrocher tout aéré mon esprit, à l’apaiser… m’offrir encore ce plaisir à dire, sourire ou parler dans le vide et deçà un peu vivre !
Alors, je t'en prie, prends... vends ce vent si tu l'entends...