vendredi 31 août 2007

Vends le vent si tu l'entends...

Briser l’image, annihiler cliché si belle sa figurine, infirmer définitivement l’imagine, crier haut et immensément fort, encore une fois, une dernière fois ce que tu imagines pouvoir t’appartenir et que tu t’appropries hors pudicité, marques sans vergogne, enregistres réalité et si bien vite propriété, l’air éther ton inventé…

Une philosophie ne se vole pas mais se découvre à partager, s’emmêle belles les vies, et des uns, et des autres, se construit doucement, petit à petit, sans contrainte, naturellement et se pose non pas habit emprunté et hâtivement ajusté le temps cet instant en seule l’idée mais regards à contempler sans honte ni regrets, le passé, l’avant en devenir présent. Née d’expériences, de souvenirs,  elle tend l’être soi en ses intimes valeurs, par ses propres acquis, en son âme probité… Elle est empreinte l’inconscience et tout simplement se vit sans en naître uniques magnifiés écrits !

Tout comme un auteur ne peut se dire avoir été lu seulement pour en avoir parcouru quelques extraits phrasés, astucieusement résumés et entoilés le net ! Un livre respire, expire, soupire l’air pour se créer une atmosphère toute particulière, unique, magique, féérique et sans jamais s’attacher la critique à tendre le groupé, à se dire l’érudit qui sait… La lecture tout comme l’écriture ne peuvent jamais s’obliger, contraindre à bien se plaire ou s’offrir astreintes à mieux plaire… Elles sont cadeau tout beau !!

Et les mots sont libres ce droit l’à moi, nous sont donnés à mélanger afin d’exprimer nos pensées, de dire le sens, à s’essayer d’exhaler nos ressentis ou encore d’inventer belle une histoire. Ils ne sont pas notre propriété, ils s’éparpillent, s’envolent, se posent, se déposent, sourient ou se pleurent. Ils sont mouvement constant, aller et retour, don et dons… ils se donnent mais jamais ne se prennent car l’essence alors s’en égare, se perd à jamais et fausse la perception, la trouble profondément mais ne change pas notre propre destin… et s’ouvre alors réel le dessein !

L’entre ligne est la subtilité, l’aube cette éternelle Infini…T et ça, jamais tu ne pourras t’en accorder !

L’aube en naît début sans fin l’éternelle d’une, pour, en l'infinie poussière de vie… je suis ce minuscule rien et rien jamais ne se perd...

J’avoue avoir pensé m’en aller, partir, ici ne plus écrire… taire ce bleu tant ce texte m’a bousculée, m’a montré à quel point tout et rien peuvent être utilisés, usés en l'âme et la vraie conscience d’un but tellement infâme…

Et puis, j’ai renoncé après une nuit pourtant très agitée, trop perturbée mais à décrocher tout aéré mon esprit, à l’apaiser… m’offrir encore ce plaisir à dire, sourire ou parler dans le vide et deçà un peu vivre !

Alors, je t'en prie, prends... vends ce vent si tu l'entends...

dimanche 26 août 2007

Chiffrement dément, ne nie ou ne ment...

Sept l’irraisonné naît écho résonné ce gri-gri mon intime ami, à ciel l’azuré bleuté pour s’illuminer là-haut, oh , oh, si oh… douce ma folie… il se parfait nombre, né, déjà à bien alléger en tendre déliée nuée cette nébuleuse nuageuse non orageuse... Rien que par son origine datée et pour, tant ici ou là, s’être fait croisé…

Alors comment éclairer logique mon affectée avouée composée le chiffre qui assemble, somme malgré tout et juste ce trois ?

Ces tiers croqués un… un et d’uns ibidem l’idem, d’eux s’initie belle magie en trois pas, foulées éthérées à balade la destinée en l’évidence vibrance portée d’uns…

Un, mon singulier si particulier, lui prolongé magie unique dito autres… ces ils. Concept, l’un et l’un à l’être autre et qui font naturellement, réellement, rationnellement deux. Un duo deux, d’eux uni, fleuri si belle finalité, "le" cadeau d’une vie !

Et primes ces deux encore ajoutés au juste et si étrange "jememoi" premier s’en forment gentille tierce non perverse…

La triade unicité par son équivalence à s’épanouir toujours piquante et chatoyante différence l’identifiée, en une même, quasi identique et profonde importance…

Mêlée à faire ter… l’alliance fusionnée l’en vers qui se génère l’endroit ce toi ou parfois, tout en contraires, les paires, est le composite magnifique d’une suite infinie et infiniment arrondie, cet ardent carburant à esquisser si rond la vie…

Entier singulier, qui s’il est divisé, partagé et séparé naturel et donc, pleinement plénier, ébauche invariablement le formé d’un complet un, en devenir unique ensemble dissemblance, l’exception exceptionnelle sans elle…

À s’indiquer tout aussi, belle folie à se gager mathématique : sans plus combiner décimales chiffrées l’à droite courbée l’élégante virgule, ces deux premiers ( 1 et 1 ), casés pourtant seconds, caudataires ce dénaire l’ô zéro si fin son neuf… et qui, transposés garant seul double, copiés et non nullités, convertis simplifié "bi-naire", n’errent plus mais naissent forcément trois notre système acquis élémentaire !

Les un et un l’en bi s’égalent trois ce dé ! Sachant dû "naire" à leur derrière, vous aurez tout compris !

Cet "un" à être premier - classé haute cartésienne unité, second - est l’aîné d’un seul et unique présent immensément grand. Présent à se grandir itinérant à s’arrêter le temps, à le figer pour tout le temps, à jamais comme qui dirait…

Premier second toujours et invariablement lié, intimement associé à son suivant second, tout autant premier… Cet "un" là - également à s’ordonner deuxième la belle conformité - si différent et pourtant profondément signifiant, l’entité mon puîné… Ils sont simplement alliés l’égalité, merveilleusement attachés et véritablement porteurs du vrai bonheur, le précurseur et le coauteur, compléments et interdépendants, emmêlés magnifique pluralité !

Remarquables mêmement mes biens nommés, mes tant aimés, unicités à s’offrir vie au nous ter l’arrondi… deux précieux et indissociables uns… d’eux, le un "je" naît vraiment mien !

L'étrange d'un tri sans angles à tournures la brisure... assises fondées sans être figées ou bien déterminées mais interférées, balancées trilatérales nées originale l'âme noyau collatéral, lignée portée essence le coeur...

L’absolu démesuré, là, ter, notre ter… à s’ouvrir ma dégagée l’affranchi à aimer, à sourire vérité intime d’une réelle philosophie, appliquée  et en devenir à jamais, aube d’une éternelle Infini…T

L'héritage sans âge généré naturellement par notre bel alliage... ma richesse partage sans abnégation le sacrifice, non plus composée chiffrage biaisé biscornue l'expectance mais faite principalement d'intentions, de belles dispositions... l'air à se sentir, l'air à s'expirer, l'air à s'inspirer, l'air à s'insuffler simplement vie... par eux et maintenant, force en eux, le juste ce qu'il faut pour qu'ils soient vraiment heureux !

vendredi 24 août 2007

jeudi 23 août 2007

mercredi 22 août 2007

Ice, l'exquise ma banquise...

Prémices mon coeur, ce cor…

Et s’en vient, douceur l’aurore,

Infini défini à prétendre déjà, son délice…

Et s’en vit, bonheur l’encore,

Accompli précis à tendre béa ses blandices…

Préfixe en l’heure, mon corps…

Et je rêve…

L’arrondi exhalé si boules à se crémer senteur…

Diaprées à l’en croquer pour l’une, ce pers,

et pour l’autre, divins brins ce brun l'amer…

L’alibi justifié ma goule à se sucrer saveur…

J’y songe à tendre cette pause… en déposer ma langue rose en bleu l’ose et en son bout, l’initier seules effleurées caresses à doucement retenir, contenir frissonnée la pleine lèche…

Et j’imagine belle crémée la glace, boule mêlée paire, à s’ajouter autorisée l’autre… et enroulée vert l’embrun pistache, et cernée brun l’amer chocolat, abandonnées passagères délicates ce creux cor croustillante gaufrette…

Je rêve ce régal plaisir, ya plus qu'à l'accomplir !

dimanche 19 août 2007

Notation à mention !

Davina et Jonathan...

déjà, un an !

samedi 18 août 2007

Épître l'hors prose...

Notre relation n'a toujours été qu'épistolaire…

Sans vraiment en dégager causalité, ce terme épistolaire m’ouvre à en discerner bruit tout différent. M’attachant, sans doute, à sa racine l’origine déposée quelque part en cette matière ma non grise, elle, par trop anémiée en ce bleu l’azurée… Ou mieux, m'accrochant à l’exquise détournée son, curieusement là, émise tonalité, cette expression à résonner sans en avoir l’air pour s’éparpiller en mon esprit très, hum, hum... moeurs ventilées…

Malicieuse petite encéphale à s’en oublier le "t" à pourtant devoir être (bien), langage même tu, prononcé !

Et se jouer d’elle, comme souvent, s’arrêtant, autorisant son œil, ses yeux, un seul instant à voir et donc à lire bien trop rapidement. Ainsi, pourtant, préservant le sens, celui dit non dit, qui toujours, se dépose subtil l’entre-ligne !

Pour en déduire  automatique, terminale "dique" et en revanche, l’en dédire dernière à plaire "laire"... et toujours, sans l’air d’en avoir l’air…

S’en préserver, simplement gommer "l’épisolaire" à rayonner bien entendu, mot non répandu car jamais entendu, sorte d'invendu mais absolument défendu et donc plus encore tenté prétendu être trop vite lu…

Cependant, et précisément, s’arrêter "l’épiso-dique" accordé pourtant trop l’ivresse d’hic- si triste la détresse à s’éloigner - mais à ne pas leurrer le ton, harmonisant juste pensée et sonorité...

Pour intelligence, se garder et m’offrir l’ensemble traduit et décortiqué, né résumé à dire : épisodique. L'épisode d'une série à se détourner pour abandonner son caractère secondaire, défini accessoire et sans importance…

Mais quel est donc ce battage verbiage à éluder mon manque évident d’érudition ?

Simplement, j'essaie par là, d’exprimer une vérité. Que mieux vaut se fier au son, au bruit qui naît, vient et en devient finalement instinct. Car ici,  si j’examine la phrase en son entier, apparaît clairement le "ne que" qui signifie rien que, seulement que et attache fort et grand, l’importance donnée à l’épistolière et ses écrits très l’air de rien…

L'exemple qui parle et appuie l'évidence à débrouiller l'idée : le sentiment à ne t'aimer que bien...

Croyez bien en folie, ma mie si bien là, définie et qui malgré bon mon gré, infiniment vous sourie !

vendredi 17 août 2007

Serment mon engagement...

La promesse à me tenir, à maintenant étaler fort et juste, tout blanc ce bleu ; je-vœu ! ; l’hors fausse vérité pour vraiment, réellement, profondément m’y accrocher.

Le décompte s’en compte jours à s’envoler et il me faut là, tricher, sur ou sous le colorer, ou bien mieux le déguiser belle l’avancée, ou plus encore le masquer douce la retardée afin que personne, absolument personne ne puisse me faire emprunter le détour d’un tout autre chemin ou s’en sentir intime l'engagée chagrin…

Et ce matin, je me suis levée tout comme chacun – peut-être, un rien plus tôt ou une coudée bien plus tard - en cette sensation d’être tout simplement bien, là, par cette seconde non fractionnée, arrêtée... pour comme toujours, l’étirer et me mêler longueur à, absolu, la préserver… L’instant souvenir présent d’un bon dormir pourtant à conjuguer déjà partir et m’en voir naturellement tirer bon gré, sourires et tendre vers ce banal à jaillir la belle, assurée qui ne ment sa journée magie s’en découvrir… mon ferme vouloir-désir !

Doucement, subtile l’exquise s’est fixée idée en sa petit découverte à s’expliquer bien plus facilement nombreux faits… balancée de ce train, train quotidien, qui pose l’éveil en sommeil sans lourdement et vraiment dormir, la tendre somnolence à griser belle délivrance… laissant se caresser pensées souvent frôlées, l’effleurée glissée oubli parce que je vis…

J’ai toujours été retenue contenus, réservée l’affecté, « introbleuie », non exposée mais libre en elle, se préservant et ne jugeant (ben oui) non nécessaire, comme à côté mon importance. Taire et observer, bruisser sans effort et si fort sens l’empathie pour me sentir en vie, exister en dedans pour magnifier l’au-dehors… et sourire, et écouter, percevoir et offrir en retour, ce recevoir…

Construire, bâtir inconsciemment une bulle, un monde, un lieu, en endroit qui exhale ce moi bien à moi. Pour m’y sentir bien, pour, tout aussi, révéler partages à s’expirer air, dans l’air douceurs à l’autre, aux autres, mes intimes, mes exclusivités, mes miens... ces êtres qui battent leur cœur et dessinent mes ressentis si vrais.

En ça j’expose l’actrice à s’exprimer, deçà, j’ose l’esquisse révélés… je suis alors complète… j’être enfin l’elle qui rit, sourit ou qui s’élance bêtises et justes affirmées tombées simplement du ciel et trop souvent avérées altitude exactitudes…

Encore j’écoute, toujours j’entends et tends naturellement vers ma perception à se jouer ego, à savoir l’imaginée bien être  d’eux… Préserver et les protéger.

Aussi, je m’envole d’ailleurs, je rejoins lune à m’éclairer, à me poser, me reposer ces secoués trop, bien trop vibrés…

Là, je suis et là, je vis…

Et puis le net s’est découvert tout vert pour découvrir seul bleu à me laisser dire, à écrire et à m’emmêler le virtuel du réel… En somme à recommencer confuse réalité, latence potentiel beau le virtuel, ce que je m’étais promis de fuir et à m’emmener bien loin d’un délai que je m’étais fixé !

Alors s’arrête ce maintenant. Alors se finit faussée la vie.

...

Mon aîné est passé. Mon à moi, le mien, les miens… Mon premier ces deux nés à ce pouvoir immensément aimer. Mon fils m’a tout simplement par ailleurs, envolée !

Je reviendrai canapé, l'amuse bouche (à s'en taper), m'allonger...

...

L’accroche immensité pas si Net la toile, l’arantèle si belle à lentement me déchirer l’espérance, la confiance mienne, tellement fragile, à s’éparpiller car présent non fondée et initiée sans fondations pour en devenir finalité brisée à jamais et m’égarer pour toujours belle croyance l’en dedans, cette foi en moi, la force tendre…

I believed I can fly…

Et s’en naître, naturel le réel, insidieuse et profonde addiction, composée si précises attentions… attendre, soupirer, espérer, aspirer à ce quelque chose qui s’ouvrirait ce que j’imagine être la vie…

L’imaginaire est deçà l'extraordinaire !

Et j’y ai cru, réveillant le rêve ce possible d’autres à rencontrer sans l’idée bien arrêtée pour malgré, en présumer mon intensité en cette normalité !

J’ai écouté, suivi ce qui m’avait été dit… en valoir la peine, mériter l’attention, être une belle personne, penser à moi, etceteri et etcetera…

Ranimer l’ego, vivre ce moi plus égoïstement, me prendre le sérieux d’un pouvoir à plaire, à satisfaire, aussi, mes supposés projets…

J’ai échoué lamentablement pour maintenant, chuter inexorablement…

Ne plus vouloir ou plutôt, ne plus pouvoir par manque d’appartenance, par l’absence d’un vrai regard à croiser le mien…

Voir autrement, ma vision portée à tendre égards n’est pas une philosophie de vie, elle est simplement porte ouverte à ce que je suis… ce pendant n’en valant pas la peine, non plus méritant l’attention simplement car ce in en dedans n’est pas l’être belle personne…

L’idée matière  seulement restera pour qu’elle poussière naturellement s’abandonne…

Rien n’est jamais perdu en ce réel la vie, l'addition de toutes nos réalités !

mercredi 15 août 2007

Affinité céleste azurée...

Si le ciel m’était lié par sa douceur étirée ou sa douleur brouillée, se dessinerait forte l’empreinte attributs belle candeur ou fiel aigreur à mes humeurs. Je ne serais plus elle à lune s’égarer, cette elle à tant panser bonheur. Je naîtrais l’autre, l’une à s’imager K la rime à autrement se nommer !

Car le ciel nous accorde face notre vérité, détient pile, miroir l’harmonie à se garder, jamais à s’illusionner…

Je ne suis ni belle et pas même exceptionnelle seulement accomplissant simplement cette disposée propre à ma nature pour la concéder bêtement sans concessions… depuis toujours, même lorsque j’étais enfant.

Déjà se dessinait le sourire face à l’autre chose, déjà s’en cachait belle la moquerie de ne pas être conformée juste conformité pour s’en devenir toujours équitable concupiscence et s’en partir irréprochable indifférence… Mais on l’aimait bien ce drôle d’ange. On l’affectionnait pour ce qu’il donnait. On appréciait sa candeur jamais accompagnée de pleurs…

Si bonne et tellement bête. L’admise à s’offrir talonnée concis l’impartis vrais et faux sourires et à encore maintenant bon gré m’étirer vrai bonheur, sourire né d’un seul cœur….

Et sans toutefois m’être améliorée, je tends à bien voir à un moment pour cependant m’en moquer éperdument !

Je me fiche d’être utilisée, et de naître seulement désirs d’instants, ou de servir à boucher un trou pour combler le vide si vide, ou encore à n’être que l’oreille qui écoute et jamais voix l’entendue, de sembler par seuls vos regards, l’être à manipuler…

Je me moque d’être aimée, je n’aspire pas ce sens car ce qui compte et m’importe est le pouvoir d’aimer ! Aimer tout mais pas n’importe quoi…

Le ciel nous est associé par ce que nous lui offrons à regarder, en l’être soi miroité…

lundi 13 août 2007

Temps précieux à se garder...

Quand on aime quelqu'un, on a toujours quelque chose à lui dire ou à lui écrire... jusqu'à la fin des temps.

Christian Bobin

Et le temps toujours se pose de ces quelques petites choses pour qu'élans enfin s'osent !

Alors prends simplement la pause, ami magnifié né ma gnose... bande cet effort instant infini et si petit. Coule, découle le symbiose... la peine minute close, son juste l'ajusté dose pressant à ce pouvoir te rendre ce rêve bleu à toucher sa rose...

Et que ce don opère belle la métamorphose, qu'elle m'envole bien loin de toutes humeurs moroses et tend plus encore étrange l'alanguie ma psychose pour clôturer en beauté et avec élégance, douce fin l'apothéose !

Car comme dit Friedrich, tous ceux que nous avons longtemps fait attendre dans l'antichambre de notre faveur finissent par fermenter et succomber à l'aigreur.

Et l'aigre n'emportera pas mon coeur dans l'attente de ta faveur !

samedi 11 août 2007

Si belle la vie !

Et l’aléa ma chance aujourd'hui, hasardée si curieuses occurrences à s’emmener fondée et joyeuse circonstance…

L’Ange qui toujours veille !

Au détour d'une trouvaille décelée à noter beauté. Un texte ou plutôt un questionnaire à se jouer, cité ici, bien évidemment, l’orangé… Et voyelles, et consommes d’elles emmêlées pour s’en former mots en devenir lexies composés cependant sans complexité si astucieuse la tromperie par trop souvent bien aisément visible d’un patent désaccordé et qui repousse instinctivement la simplicité de mon infinie quête à la vérité… une non investigation qui découvre nu l’auteur à poser si belles ses questions !

Et j’y ai répondu, et je me suis surprise à apprécier lumineuse la tournure, d’un contenu clair d’où pourtant s’échappait inconscient, le sens inaltéré, s’éparpillant pour s’offrir sonorité et enluminer tout bleu l'à l’entour éther, son bruissé dans l’air…

Car si lecture se veut harmonieuse et coulée à l’intime inné pour être vraiment appréciée, son primaire irréfléchi se doit d’offrir sensations plus subtiles, imperceptibles et à naître immanquablement, à toujours être présentes…

Et des mots sans contre sens ni se leurrant d’autres à s’en cacher. Des phrases découlées la norme, construites comme il se doit sans qu’elles me semblent trop composées ou contre la nature de celui qui les a formées, ou encore copiées pour tout autre s’en formater. Une réelle belle écriture déposant, m’offrant extrêmement remarquable cette rencontre spirituelle sans que ne s’emmêle le terre à terre si nivelé l’en dessous ceinturé !

Ne sachant pas me taire, j’ai commenté mes réponses restreintes par un oui ou un non de quelques lignes à dire, à essayer de décrire mon candide émerveillement.

Une réponse s’est aussitôt envolée, courtois écho de cet homme pour encore m’emporter maintenant d’un ailleurs à lire des textes de sa composition. Le premier est celui qui est, qui m’est personnellement extraordinaire !

Une histoire, celle d’une simple rencontre devenue de nos jours, banale. Le condensé de l’attente première virtuelle qui doucement se métamorphose en réalité visuelle. Pausée alors d’un lieu d’où découlent pensées liées par cette unique et si particulière suspension mais aussi générées par l’endroit à proximité d’un théâtre où se jouait un spectacle lyrique, La flûte enchantée de Mozart…

Alors que ce matin même, j’écrivais à Pierre quelques mots à sceller encore toute réelle mon imaginée belle notre amitié virtuelle mais également en ces termes bien présents en ma pensée, déliés sagesse, force et beauté…

S’en suit l'énoncé de l’arrivée de la dame et sa description très étonnante ! En voici, un extrait : « Vous aviez des cheveux courts de couleur sombres, un visage radieux au sourire doux, des sourcils fins comme des ogives sur un regard profond aux yeux bruns entourés d’ellipses de cils finement redessinés par un maquillage discret »…

Le drôle est que je m’y retrouve tout aussi ! Non pas dans la rectitude juste exactitude mais plutôt en son esquisse ambrée  l'imagine.

Sans être en recherche brève l’amourette ou en désir infini conte l’amour, je souhaiterais plutôt... mais là n'est pas le propos !

Tout cet inutile verbiage pour démontrer étrange ma vie mais sans vouloir blesser personne. Simplement montrer sa beauté quoi qu’il puisse arriver. Que son accord vrai, couleur harmonie sans l’once fardée lourde tricherie, embrume le regard d’une tendre poussière d’Ange et nous offre à voir autrement, bien au-delà et curieusement en dedans…

vendredi 10 août 2007

Vendredi, part à dits...

Voici donc vendredi en sa soirée accordée - renouveau - trop bien aimée !

Une veille à bibus, ce plein l’émotion si belle imagination, la vêprée autorisée rêves tout éveillés… durée brièveté à tant m’attacher, qui me sourit si belle la vie, qui m’ouvre à toucher l’univers et m’inonde l’enivré à se pétiller d’étoiles l’atmosphère…

Je suis heureuse, je suis ravie en cet instant sans trop savoir, non plus en chercher, rechercher profonde la raison. Elle déjà gentiment allégée plume soufflée par l’or ce temps et gommée ivresse l’hors toute pensée par trop rationnelle, à savoir, ces demain tout semblables en ce banal leur matin…

Et même si méridional lointain bruisse silence à aimer déconcerté couleur l’orangé son miroir sans tain différemment magnifié sens maintenant sien…

Ou l’autre sud accolé plus proche concise belgitude dénigrée (à tort) froidure le nord, tout aussi à s’éloigner tendre l’horizon ma lune pour se conforter et tendre Pluton en se gardant, bien sûr, Marie, l’une…

Comme ces pauses forcées imaginées seules intimes expectatives ou encore ces lectures à me sidérer ce trop, vraiment trop glorifié tempo démesures l’ego…

Ou simplement la dialectique déduite juste logique à révéler mon être seul,  ( oh ! ) l'isolé décrié non normé... j’enchante pourtant l’aise ce pressant aux anges !

L’être bête est deçà !

Non pas noir sombré le demeuré à contrer absolument blanc apuré l’intelligent mais esquissé l’estimée établie irréfléchie à se contenter de peu, ce "peut"... à vibrer le tort ou pourquoi pas, le travers... à s’envoler d’un tout rien sans pas valeur à se marchander, l’enchère à s’exhausser ciel en sa superbe précellence pour se reprendre trop et si peu le sérieux qui en définitive évade l’autre regard et le réalise réalité seulement à encore se courber, plus à se voiler, à jamais, se briser…

Alors, je célèbre exalté l’immensité profonde qu’est mon indubitable stupidité affichée ici, haut et clair,  en ce particulier instant, qui, je l’avoue dure, perdure souvent ou depuis un très très long moment, l’augure en somme... mais que je partage facilités à s’éparpiller d’un curieux sourire, conformé, conforté et à vous porter, étranges, tout beaux, pour tendrement vous en élargir…

A trop toucher mots m’en retouche Infini…T, l’être sot !

mardi 7 août 2007

Elle dit...

Delta l’espace infini à cercler façon portée le cœur l’autre ami… posé main, caresse la touche ce choisi par un rite atavique préétabli, celé son codé franc précis et composé pourtant l’audace présent à rebondis…

L’équerre dérivée carré la terre non chafouine en sa lune belle l’imagine, disposée cœurs triangulés au centré pointé seul fascinant élan d’un compas ouvert degré universalité à se conjuguer unique unicité… Déterminé l’axe orienté ter, l’à trois luminescence, trois l’assise sa véhémence essence…

 

 

Elle dit… Infini...T
z’avez compris ! ?

dimanche 5 août 2007

Pendule l'heure juste...

 

Ce droit la réponse, sa liberté d’être… sans pourtant me précipiter belle polémique à tendre tendresse la chamaille pour  encore sucrer plus loin idéale l'idylle à s’en laisser croire retour la flamme !

samedi 4 août 2007

Faussée, l'accordance...

Faussée l'accordance...

Si belle correspondance, éveillée seul bruit, trop souvent mouillé ton, ennui…

Qui t’est tard, l’arc boutant en tous ces soirs, à l’égard bel né pour temps, son, désespoir…

Tenté pluri-elles, ton espoir !

Ou tellement tôt balbutiées agonie tes nuits,  itinérant nomade le cœur mais asticoté seul le fruit…

Élan corps, pansé essence ciel à ton cœur, en sa chaleur ardeur à naître pourtant petit asticot si laid à manger goulu, ce fruit !

Et tu n’as rien compris et as très lourdement… menti !

Il est des jours, comme aujourd’hui, où je voudrais, je souhaiterais profondément ne t’avoir jamais croisé… Mais tel est le destin, la destinée à m’exposer le monde bien moins beau que tentations si belles à mon imagination… Livre à l'histoire d’elle, à elle, et toujours magnifié l’ombrée cet Ange à me veiller…

Car ton éphémère essence ne barbouillera pas mouillé d’une larme mon regard, ni ne l’assombrira tel seul le tien à ce savoir tant confirmé…

Tu seras leçon l’incarné par si haute l’exégèse tienne, l’exposé précepte d’un réel existé sans pourtant jamais l’adjoindre à ma réalité… l’admonition à combler ma si pauvre éducation… sorte de culture à se générer générale mais ce pendant seul, ton unicité !

Sois, et ainsi en soit il, car toujours en sera soie l'être Infini…T