dimanche 28 janvier 2007

Rien magie le Tout...

Il n

Il n'y a rien qui dure toute une vie.

Elle souffre, elle délivre doucement sa peine, si lentement… me sentir tellement inutile, tant à côté, délires le lire et ne pas tout comprendre, savoir trop profond l'écart ma distance…

Vous dire…

J'ai aimé si fort et tellement grand et j'aime pourtant encore naturellement… sans l'habituel juste milieu, sans suivre ce qui est dit, ce qui se devrait, vraiment naturellement en ne plus me liant, me détachant volontaire le monde pour me donner belle l'imagine à ne pas à offrir une quelconque peine… valeur mienne si vaine, à ne pas en valoir la peine...

Mon plus grand bonheur est ce pouvoir d'amour, ce don de soi, l'à moi sans pourtant être la sainte à ni pas je touche… je sais, je sais ma faculté à vibrer l'aimé et le vœu de ne pas attendre ou ne plus attendre le retour qui grise la mine à l'instant de sa singulière dépose pensée…

Bien sûr, je ne suis pas "en amour", amoureuse d'une seule et même personne et suis donc à plaindre dans ce monde à normaliser cet élan si grand. Je serais cet être incomplète à qui se manque une bonne et belle moitié !

Bien sûr, je ne suis pas liée d'amitié si forte comme ailleurs elle est si bien à suivre l'indiquée et suis tout aussi à prendre en pitié par ce monde normalisé qui dit sa valeur unique par le nombre et l'écrit. Je suis donc cet être l'incomplète à qui manque un cœur tout chaud et tout grand…

Le seul mien est si petit et tellement l'asséché aride d'un désert empli, ce vide si plein, comblé l'étrange et que peu ou d'aucuns ne peuvent admettre, se référant à l'unique le leur qui tend plus et trop ressemblance l'imaginé voisin…

Je n'ai jamais su, je n'ai jamais pu calculer sens la sensation, établir comptes comptés, escomptés, complexes et compliqués à projeter le demain pour garder à moi un quelqu'un… mon vrai plaisir si égoïste et qui m'emporte lune cette terre, est sentir profondément le bonheur des autres, celui à  s'abandonner vérité autour, tout autour et qui se ressent naturel, ondes subtiles et pourtant tangibles de  gestes, de mots dits ou non dits, mais non spécifiques, ni spécialement beaux la rime, non plus bels écrits à trop souvent l'être transposes d'autres si malignes… je magnifie l'entre ligne, le juste qui toujours se devine...

En me gardant sens mien, l'émoi mien, l'entier d'elle sans pas une concession fausse largesse à m'offrir simplement car ce renoncement compromission esquisse l'aube sens le vrai, pose évidence l'ego d'aimer aimer être aimé et s'efface la vibrance simple d'aimer…

L'école d'une vie, toute une vie qui mouvement tourne en l'unique sa ronde à se dessiner d'un goûte ma goûte la seconde… l'apprentissage sans l'enseignement, sans pas une belle référence à m'étendre instinct tout simplement.

Je nous sais l'être tout différent, jamais l'idem, beaux par, en ces précieuses dissemblances, accordés hors respect l'acquis notre belle humanité mais par l'inné notre commune animalité… singuliers à toujours se compléter et pourtant portés à croire l'être beau en sa supériorité maintenant d'aimer…

Je voudrais Vous dire, tout en sachant ce souffle infiniment petit face au bruit qui s'éclate l'ici ou là, partout… vous dire l'amour en Vous, celui qui vous, sans pas l'erreur le leurre, découvre enfin cette si belle personne, est celui qui importe, qui porte seul vraie et véritable la réalité, est l'essence qui ouvrira grand votre ciel, est l'essentiel, un rien qui construit le Tout…

Ce rien qui dure toute la vie….

mardi 23 janvier 2007

Si belle lune...

Si belle lune...

Écrire et dire, mais quoi dire, quoi d'autre que, sinon que, quoique… poser son monde, uniquement le sien, magnifié l'unique mais comblé pensées uniques le commun magnifique... aussi découvrir l'autre de cette envie, si belles enivrantes, le bien dit à faire à en devenir l'envié… questionner d'aucuns astucieusement, tellement subtilement… découvrir là, questions contenues l'évidente détenue réponse ou avancer précieux commenté l'avis neutron, neutre le dit "on", tendance camps mon si précieux parti, ce pris le soi épris et toujours hors ton prix… et pleurer douleur vaine ses larmes le non compris ce tu non émis…

Il n'y a plus rien à dire et tant à savoir dire, plus rien à vouloir dire si ce n'est que ce pouvoir à naître écho l'actuelle actualité, informer ombré l'énoncé visuel belle télé, reproduire, re-dire, reconduire ou taire et renoncer maux... et se voir pourtant cœur si secoué mais bien à l'abri, à rester bien loin du mal loti… mon coeur compati et le tien gémi ! Duo à se battre l'idem d'une différence le balancement...

Ou encore, peut-être à se leurrer…

Il n'y a plus qu'à dire pour se créer brillé l'être et s'en croire profondément, à l'aube si profonde humanité, mon âme est belle, je l'écris si belle…

Et le temps... mais quel temps ?

Et j'ai rêvé… la force tendre cette terre lovée en son toit ciel l'immense si bleu... l'unique leur contenu, deux à se compléter… étendue, détendue leur eux, ils m'offriraient à m'envoler, souffle à dessiner plumes mes ailes...

Je serais leur être harmonie en cette bulle rond la vie…

Et j'ai rêvé écrire, m'exprimer, simplement dire… me retenant pourtant de ces effleurées le jugement… l'errance fragrance, d'ici, de là, toile gigantesque me laisse ce manque le regard vide trop à côté l'en dedans…

Et j'ai rêvé d'une particulière connivence, d'une si singulière nos balances, le dire vérité, sans pas chercher ou quémander une quelconque pitié, ou d'afficher une plainte à se secouer… un dire à se dire pensée, refaire le monde en positivant son aperçu d'instants, mélanger, s'emmêler point milliers ces vues, un regard authentique, hors soi, loin de l'habituel miroir à se retourner ego l'émoi…

Et j'ai rêvé la rencontre, fusionner nos différentes planètes, la merveilleuse secouée découverte d'un seul être qui d'être affirmerait l'étrange elle est… qui m'oserait venir, revenir au monde, qui m'autoriserait à exister nôtre…

J'ai rêvé si grand… yeux bruns devenus si bleus… voir, sentir, apercevoir, ressentir… savoir et naître déjà usé ce vain désir…

Attendre faim et sens le mot, éclairer mon âme nébuleuse tant fabuleuses ses lumières… et me dire… ce non possible… avouer, poser le regard, doucement m'en aller, me taire ou encore dire à chuchoter, murs murés… sentir me perdre… l'innocence… me vaincre du nombre et de ce drôle l'ici, déposé leurre équilibre… m'esseuler, m'isoler et ne plus rêver…

J'aime à sourire jeu le hasard, à me dire si aujourd'hui ou ça, ou ci, alors, oui; alors, oui ! … Souhaiter conscient à tendre l'inconscient d'un mouvement, un quelque chose qui m'existerait, qui m'oserait encore à le croire… mais le jour n'est ni clos ni lui murmuré déjà muré… et s'en suivra si belle lune sa tendre nuit…

samedi 20 janvier 2007

Pardonner...

Pardonner

Est toujours s'oublier, perdre le souvenir de la blessure ouverte, oser la dépose ce baume à rapidité… cicatriser et magie s'en voir disparaître la marque, la trace… poser un autre pas, s'offrir belle conscience d'un plus encore, ce beau, si beau soi, label soie…

Mais le pardon est-il vrai, réel, profond ou là, ne sont ce que des mots à apaiser la conscience, l'instinct à se conserver comme il nous plaît à nous imaginer et à nous montrer, garder en l'état la supposée son intégrité…

Je ne suis pas belle, n'ai rien à garder, à faire briller, non plus à prouver… je n'ai jamais pardonné une blessure conséquente ou légère, ouverte personnelle, à mon encontre car dans cet instant de réflexion, je sais n'en avoir aucune, pas une sans doute assez profonde et qui pourrait, par cette grandeur d'âme, gommer définitif, la cicatrice qui s'en serait soulignée…

La blessure est tout autre, ni plus intense, ni plus importante, non plus extraordinaire mais étrange… son empreinte ma plaie est l'être entier à ne pouvoir effacer que par un départ, un retrait, une régression impossible, un éloignement définitif, un autre état…

Être là est un non pardon, exister serait hors le sens, n'est pas la clémence qui s'abandonnerait enfin liberté cette peine pour le monde…

Être là est prouver le mal qui s'est fait malgré le sourire qui s'en est doucement esquissé tout mouillé, né depuis si longtemps trop douce mélancolie…

Être là en est l'état preuve d'un toujours à jamais du mal qui s'est fait et pousse si fort, si juste mon choix, m'en offre tellement belle l'excuse, ouvre beau le geste, offrira simplement mon intime, profond et authentique pardon…

samedi 13 janvier 2007

À Toi, et Toi...

A toi, et toi... qui comptent, que j'aime présent vie, étiré infinité l'instant… ce rien tellement grand, en l'espace et pour l'éternité son temps…

A toi, et toi... à qui j'ai tout donné, sans l'écrire ici ardoise à décompter beau le compte, pour reprendre et énumérer chacune l'affectée mes secondes, pour prouver mes dires parce que tu sais… un tout si rien, ce tout tellement petit et qui me fait, une vie qui me compose étrange et ne permet pas à la terre de la comprendre…

A toi, et toi… déjà hommes, toujours précieux humains... un être là qui deçà me fait l'être bien…

La dimension d'ici pousse, oblige, me force à libérer, à dénouer ce lien, par trop vu l'obligé devoir même si jamais, au grand jamais, l'intention mienne s'est destinée retours à venir… mon seul projet n'a été que de t'aimer, de vous aimer… t'aimer pour me donner cet immense plaisir, ce bonheur très particulier de vibrer en dedans rien qu'en découvrant vos regards pétillants, tous vos sourires éclatants…

N'avoir que suivi l'instinct, l'être mien, l'élan qui naturellement vient, se pose et dépose vers l'autre l'espéré sien, son bonheur singulier, intime… né sens, sensation, ressentis qui ont toujours accompagné ma vie… une sorte de savoir logique à observer, à prendre la place, à me confondre, à m'oublier pour vivre fort, pour exister le beau de l'autre… l'imaginer, le composer sans même réfléchir et tomber pur hasard en ce juste qui fait plaisir… la réalité empathie mêlé l'incontestable d'un intérêt, une attention, oui, l'immense d'une attention…

A ton égard, envers vous… tendre vers toi, vivre en fonction de tes besoins, couler belle couleur tous tes matins, être là pour apaiser le sommeil de tes nuits, penser et panser ta vie, te faire plaisir, voir naître doucement, si grand, ton épanouissement… te protéger aussi, prendre, absorber le moindre mal pour que tu puisses encore grandir, t'ouvrir si beau au monde qui l'est tout autant…

Et le temps est venu simplement car je ne peux plus, parce que je ne veux plus… je m'égare par trop, en ce savoir t'avoir appris à prendre et me perds plus encore en ce constat profits la vie qui m'ôtent tout le petit plaisir, le seul sens, si véritable de toute ma vie...

Toi, et toi, ne me ressembler pas et cette différence est importante pour naître tout beau votre devenir, elle m'enchante déjà normé votre rassurant avenir...

La vraie force est là et non pas d'ailleurs...

Te dire tout aussi... Toi, et Toi, qui m'importent, le sens d'un non sens, ce non besoin de présence, de ta présence… je te sais là, je te sais bien en dedans et je sais que ton demain ne sera pas vain… déjà présent composé grand et ajouté vie qu'ensemble nous avons construit… pas à pas, doucement, tendrement… un pas à la fois… avance cette foi en toi qu'elle en délivre belles ondes au monde et j'en percevrai au-delà, ton être bien, au-delà…

Je ne veux pas être un poids, devenir un devoir et que tu puisses penser, même esquisser l'idée qu'il te faudrait pour équilibrer, composer, négocier tes élans et agir envers, contre ta spontanéité… le compte est parfait, juste et bien balancé… toutes ces années m'ont donné plus qu'immense le bonheur, m'ont offert à trembler si fort mon cœur… vous m'avez simplement, ouvert le possible, le seul à être existé, le seul qui m'a faite vie exister…

Ton geste, hier, est cadeau… ouvre et me libère, me présente beau choix le chemin sans plus l'imagine d'un mal, d'un chagrin avenir, le tien, le vôtre…

Toujours et à jamais… tu verras, tu sentiras, tu percevras… et même encore lorsque tu seras si vieux, ton regard éperdu, à nu d'une vie si bien remplie, abandonné instant l'éloignée bleu le ciel, doucement se brouillera présence présent toujours de mon amour pour toi, pour vous deux…

dimanche 7 janvier 2007

Dernier noté...

Un dernier mes notés très l'air volatile aéré, en cette nouvelle année, période étirée posée congés… ce temps à prendre, ce temps à tendre, ce temps à donner… écrire, dire toujours plus ou moins idem la, les choses, tracer le mouvement rond, l'arrondi vie… délivrer mon être, l'envoler hors ses pensées, nées pures si douce folie mais force étriquée seule ma vérité…

Je n'ai accompli en rien ce que je m'étais promis me laissant simplement l'aller bien, s'ouvrir fort l'être bien… sans devoirs ni à plaire encore moins à me complaire… tendre l'enfin, détendre l'en fin… latente ma faim…

Et demain commencera ses fins, la toute nouvelle, vue si belle... celle à noter huit, quatre ajouté son idem ou encore cinq majoré le deux ou tout autre nébuleuse à féerie le compté… une huitième année débutera sa visée, et précédée si juste, celles sept, boucle bien fermée contenue l'aube engagée cet autre sept d'un passé janvier…

Aujourd'hui est un anniversaire, un jour à fêter pour ne pas oublier la vie belle malgré son aperçu parfois sombré, grisé couleur pourtant lune tonalité bleutée…

Du huit se dessine l'infini, numérologiquement esquissé néant… le rien enfin tout grand !

Je ne sais… comme personne, nobody knows… l'aquarelle que sera cette année nouvelle…

Je sais le chiffre, je sais ma vie, ma singulière joie d'elle et tout aussi, mon vœu d'en choisir son happy end…

Je sais ce demain, ce premier à recommencer, ce jour et ceux suivis le près, l'après et qui par le complet définira ces deux premières semaines, couleur mon destin…

Et je sais que demain ne sera pas vain, que déjà, il se composera tout beau, tout comme il faut, immensément en dedans, pétillé contenu tout chaud, au creux de son cœur à elle... l'exhalé vouloir, savoir et pouvoir tout vanillé… et que ce bien à elle sera écho pour moi, me donnera le la - vie belle - qui égrainera le do, né vouloir, s'en oubliera le mi, cet à moitié, pour ré - ajuster bien mieux, bien plus élevé le pouvoir, sa faculté l'être elle !

samedi 6 janvier 2007

Affecté si haut le coeur...

Le cœur s'enrichit de ce qu'il donne, dixit un grand homme !

Si l'amour est toujours élan, crépite éclat spontané l'émoi, le moi, l'intime et intimé soi… soie divine et parfois, oui, très malicieuse coquine, l'enveloppé seul - ce cœur à battre, à se battre à jamais dégagé… l'affection est particulières attentions… toutes petites choses, petits riens pensés, trop souvent imaginés ne servir à rien alors qu'ils explosent si fort le cœur, celui invoqué, l'autre, celui visé, atteint irrémédiable la bouffée tellement démesurée et si délicate née tendresse…

Souvent si légers, élancés réservés voulue la discrète, sans glorieux bravos éternelle la quête… cette vigilance au plaisir de l'autre, ce soin au bonheur d'autrui, s'abandonne véritable joie et s'éclaire l'étincelle qui toujours pétille l'âme, qui la brille pure et en vérité…

Déjà la pensée vibre ondes bénéfiques en dedans, en ces singuliers instants à s'étendre belle l'évoque… l'idée bienveillance, cet arrêt prévenance crée simplement l'imagine sourire, ouvre à l'espoir ce petit rien, et se dessine alors ébauche l'autre être bien… et s'emmêle propre plaisir, intime allégresse d'un prochain avenir… si près, tout près, prêt à s'offrir, sans compte à définir…

Être là, seulement là, s'effacer pour se fleurir tendre bonheur l'autre, pour qu'il puisse exister son être entier…

Donner simplement, s'éparpiller le bleu tout heureux… toucher caresses hors le geste, en l'attention précise d'une véritable affection…

Un peu s'oublier mais déjà se penser, imaginer le plaisir de l'autre et immensément là, s'en réjouir…

Comme écrire un message composé belles les voyelles et qui sonne, je résonne par ces obligées consonnes… le délivrer colorié simplement tout bleu… dire et lire magie, l'entre ligne, l'estime exhalée vocables à se deviner, détournées bénignes…

Et ne pouvoir que rétorquer hors l'usage bonne société, sans édulcoré le velours à s'égarer... emplie, débordée, envahie l'ivresse, inclinaison tendresse l'émotion : Merci !

vendredi 5 janvier 2007

L'éclat libéré...

L'éclat libéré

J'attends patiemment que la couleur prenne, qu'elle donne l'aéré uniforme, et beau, et si chaud, chocolat énoncé et tellement bon à manger, un faussé au soulevé par trop remarquable ma chevelure…

Non pas que je veuille, absolu, camoufler, cacher tous ces gris mais plutôt que je déteste le laisser aller, le pas net, le pas soigné… ces gris qui ne le sont pas réellement puisque depuis si longtemps, mes cheveux se purifient lentement tout blancs sans plus maintenant savoir où exactement !

Un commencé conseillé par une dame du métier… vantant, louant, chantant magie ces nouveaux produits la chimie qui autre féerie, toute seule se gommerait, naturellement s'estomperait… et je me suis laissée entraînée et je suis désormais en devoir toujours recommencer…

La solution serait de tout raser… alors que je décrie tant l'apparence, je m'autorise normalisée la mienne… ne pas déroger mon principe valeur à jeter, à publier immaculée ma poubelle… simplement ne pas oser d'un savoir le regard, non pas dans sa contemplation le drôle si comique d'une laideur mais en l'assurance d'une autre mise en valeur… ne plus frôler l'inaperçu, remarquer l'être ma personne en ce monde cruel et sans contours détour la norme…

Je lis, bien sûr, d'autres billets l'intime de notes et une évidence se pose encore infini mon évanescence… ce livret mes "bonnes" notes serait-il, ici, bien catégorisé, à sa place en somme ?

Sans doute, non ou peut être, oui…

Je pense, expose, délivre fouillis idées, résonance mon sens, échos d'autres mots… ne journalise pas quotidien, pas à pas ma vie… non plus dévoile artiste mon vœu supposé caché, auteur voué belle littérature, générateur belle l'écriture…

Je matérialise simplement ma pensée, la fait se déposer "bleu" à travers mon clavier, pour ma seule sérénité et non ombrée ma volonté quelconque nuisance envers autrui… je l'abandonne et me découvre à lire, me lire…

Ce monde intime infos informelles, bouge, se change, se perd, se retrouve… d'anciens s'en vont, de tout nouveaux s'en viennent, un mouvement étonnant… j'aime lire, et le spontané, et des petits bouts de vie… sourire tout aussi, m'envoler liberté unique au creux de mes pensées…

J'y découvre, fascinante, la vie et j'y vis, ou ci gît, vibrance, la mienne… deçà, l'imagine se dessine, par ça, j'imagine exister…

M'émerveiller affection à chuchoter vibré l'air vanillé… m'arrêter l'être souriant l'instant d'une simple voyelle autrement prononcée… me poser douceur mots tendresse non babillé le cœur… m'éblouir d'un véritable amour, né juste l'ange et d'autres amitiés ou d'encore nouveau son terme l'affecté… m'irradier spontané d'une toute belle génétique… voyager souvenirs d'un décès à venir… et souffrir d'autres ires, croiser tout aussi, de beaux mensonges couleur l'orangé, le bel arrangé pour m'en retourner… et me lier d'une réelle belle personne, profondément le sens, sans pourtant le geste à m'en mêler… un être qui sans le savoir m'ouvre différent une destinée…

Elle est l'aube Infini…T

jeudi 4 janvier 2007

Mon jour, la nuit...

Mon jour la nuit

J'aime la nuit et ses matins qui s'allongent, qui la prolongent l'hors normé, sans devoirs, en dehors du temps, son espace non imposé… pourtant, détourner autre son rythme n'est pas l'idéal et dénonce la théorie qui gommerait étrange le mal, qui poserait normal, créerait sans doute, tonique hygiénique et bonne la santé et peut-être plus concret et tangible, mon sens la vie...

Dérouler la traîne douceur d'un autre temps, sans ne pas m'accomplir les tâches à poser beau et tout propre mon intérieur ni agir, m'agiter d'éternelles choses à faire, à défaire et à refaire… vêtue chic, le beau pyjama, lui accompagné de grosses chaussettes, mes bluettes qui toujours me plaisent, se roulent affectueuse tiédeur et glissent, s'enroulent sans attaches, sans le temps surveillé la cravache…

Me plaire et moquer le déplaire… ne plus rien en avoir à faire…

Et manque l'envie, malgré la proposition seulement réalisée en mon esprit, dans la grandeur d'un moment, une folie passagère de tendre, me leurrer d'autres instants, me dire qu'il faudrait essayer pour un mieux…

Imaginer me balader tous ces jours, suivre consciemment l'air qui court… voir des gens, un peu voler tous leurs sourires, cet éternel à toujours me ravir… si peu s'étirent de ces petits bonheurs, si peu…

S'occuper de choses et d'autres à pouvoir offrir à raconter, à relater cette étendue qui se doit, se devrait d'être employée, usée d'extra l'ordinaire…

Rencontrer des personnes, parler, sourire et rire… partager caresse le geste, suivre élan le regard… d'une tendresse, le laisser s'écarquiller, s'étonner ou de mille rides se plisser... et même, si loin s'égarer, bien au-delà, s'envoler... ou même s'humecter, émoi se mouiller… oui, ne plus m'en garder…

Visiter, voir, découvrir… respirer, m'inspirer saveurs dénichées… goûter, boire ou manger… m'accorder d'autres, cet offrande si bonne chair petit ventre… et marcher, mes pas d'ici, delà, un à la fois... cheminer... j'aimais, passé, promener aéré mes pensées...

Parfois, j'oublie la date, celle que je me suis fixée, déposée l'avenir très certain, presque demain…

Et revient, ce bel usage l'acquis profondément ancré, celui non pas conscient l'espérance mais instinctif la persistance à survivre belle la réalité…

Et se vient, l'immédiat lié, la pensée qui a égaré le comment mais également le pourquoi pour ne garder que force, le savoir d'un non pouvoir faire et se faire…

Et devient l'issue tellement belle…

J'aime la nuit... sa tombée les angles tout arrondis, le semblé toujours gentil, le paré mille feux si chaleureux, les lumières qui étincellent si beaux tous les regards qui alors intensité, infinité l'étoilée brillent... j'aime profondément la nuit...

mercredi 3 janvier 2007

Évanescence...

Convalescence est aussi l'équivalent rétablissement, se rétablir, guérir, vivre bien mais surtout bien exister… non pas cogner battements isolés son cœur principe à s'oxygéner mais le vibrer son, bruissée l'écho… ping exhalerait-il pour se voir réplique pong l'immédiat s'en fleurir, ping-pong serait la tonalité harmonieuse balancée juste et pluralité enfin unifiée… un savoir être, être là, rien que là, seulement là… d'exister quelque chose, un rien, pour quelque chose, ce deux fois rien…

L'évanescence mienne à sembler rattraper, m'accrocher ardeur à mes propres repères égarés, comme éparpillés, mes intimes valeurs qui finalisent l'interprété leurre, y croire dur comme fer et m'y perdre intimé ce chemin…

Je ne guérirai jamais, je ne guérirai pas...

Quelques mots composés texto, envoyés à un ange, un homme réel, qui est, existe, se vit l'étrange d'une vie, m'ont encore montré, dévoilé si fort, le point d'un non échange, l'impossible même petits, d'un partage importance, d'une profonde vibrance en la facilité, la faculté tellement humaine face à la pensée si belle absence…

Et un rêve abandonné l'inconscient cette démesure sommeil, ravi fin de la matinée, étiré son début l'après midi, consommé juste l'égale ma mesure nécessité, hors la nuit… le rêve était normalité, avec des bonshommes, des gens, des personnes, une situation, un évènement, un être pensé grand… et une fleur laissée en place de mots, posée sur mon cœur rêvé endormi, latente attente... déposée si belle excuse à ne pas oser dire…

Un rêve…

Le rêve était beau, beau en dedans, beau tout autour, beau de ce qu’est la vie… et s'en garde, tout aussi, belle leçon…

Pourquoi se préserver l'imagine si beau, pourquoi prémunir beau le souvenir… peut-être, sans doute l'évoque n'est bleue qu'en mon seul et si étroit petit esprit…

J'imaginais un partage, j'imaginais ce beau nuage embrumé, né par nos âmes…

Dans quelques jours, le huit janvier sera l’anniversaire d’une rencontre, celle qui m’a fait découvrir un autre monde, m'a offert une vie sociale, un nouveau boulot, un travail génial et qui doucement m'a ouvert à mieux connaître des personnes de cœur…

L’aube d’un renouveau personnel, le début d’une toute nouvelle expérience qui déjà, s’esquissait fantastique et qui m’a apporté au jour le jour, chaque jour un petit bonheur…

Petits riens qui maintenant se posent, se déposent souvenir d’une immensité très particulière, si belle, tellement précieuse, riche simplement car augmentée de toute leur inestimable individualité et singulièrement abondée de valeurs estimées et multiculturelles.

Un quelque chose de grand, un quelque chose de fort, m’offrant, là, tout au long de ces sept années, le véritable plaisir de vraiment apprécier mes collègues mais aussi le bonheur de pouvoir m’accomplir…

Malgré qu'une ombre y soit passée, m'ait influencée quelque peu dans son autre perception si loin le bleu ma sensation… sans pourtant vouloir définir absolu la bonne raison…

Sept années se clôtureront finalité ce sept janvier pour commencer l’esprit heureux cette année terminée sept déjà, par eux, bien accompagnée…

Magie chiffrée d'un sept ma destinée !

mardi 2 janvier 2007

L'étrange virtualité...

L'étrange virtualité

Le hasard toujours sa chance !

Découvrant une sorte d'ennui, si juste présage en ce premier jour l'année toute nouvelle, je me suis amusée chimère, à recréer un profil dans ce site tant décrié et tellement crié magnifiées les rencontres, affublé coloris l'orange qui, d'expérience, la seule mienne… se bannit tout seul et tout faux par ce qu'elle dit, me dit et médit…

Curiosité là à me tenter et visiter le poli courtoisies profilé cet ami, ce figuré écrit beaux mots abandonné, laissé depuis un certain temps… ne pas réellement m'étonner de l'indication date qui y note son retour figurant en ces lieux, ni le voyant tout vert qui non pas clignote mais ouvre l'invite au possible bien mieux…

Y lire qu'une étrange virtualité l'avait quelque peu et quelques temps de ce site féerique éloigné, comme retenu... et détourné bien entendu !

Si étrange je suis, tellement l'à côté... douce folie ou peut-être définitivement folle mais pas complètement hors la réalité… un seul pied, et léger, non appuyé, encore le laps mon temps, posé la terre, sa dure et froide rondeur bien trop carrée pour plaire mon imaginaire…

Et je l'ai lue, Elle revenue, Elle dont la peine me peine plus et tant… une rechute, la récidive légère, née l'avancée vouloir, esquissée retenue pour accompagner, panser et penser l'autre… toujours s'oublier pour se retrouver larmes à tant couler, à tant se délivrer de cette impression prison l'être, seul au monde en cet unique droit à l'effacer, à se gommer pour rassurer bon, bien l'humanité…

Sa peine a pourtant le droit d'exister, et bien plus encore en ce véritable sens… est pourtant sa vraie réalité, l'authentique d'un être qui se perd, se cherche, s'effleure, se trouve, s'égare, qui oui, souffre immensément, si intensément… non ce chagrin qui tellement convient, soutient faussé l'ego pour un autre qui en a terminé sa vie, dont l'âme s'est délivrée sérénité et comble pur, l'amour l'Autour…

Je veux son mieux… je veux son être bien, pour elle mais aussi pour apporter nourriture à mon rêve, à ce possible, à ce si beau possible…