Convalescence est aussi
l'équivalent rétablissement, se rétablir, guérir, vivre bien mais surtout bien exister…
non pas cogner battements isolés son cœur principe à s'oxygéner mais le vibrer
son, bruissée l'écho… ping exhalerait-il pour se voir réplique pong l'immédiat
s'en fleurir, ping-pong serait la tonalité harmonieuse balancée juste et
pluralité enfin unifiée… un savoir être, être là, rien que là, seulement là…
d'exister quelque chose, un rien, pour quelque chose, ce deux fois rien…
L'évanescence mienne à sembler rattraper, m'accrocher ardeur à mes propres repères égarés, comme éparpillés, mes intimes valeurs qui finalisent l'interprété leurre, y croire dur comme fer et m'y perdre intimé ce chemin…
Je ne guérirai jamais, je ne guérirai pas...
Quelques mots composés texto, envoyés à un ange, un homme réel, qui est, existe, se vit l'étrange d'une vie, m'ont encore montré, dévoilé si fort, le point d'un non échange, l'impossible même petits, d'un partage importance, d'une profonde vibrance en la facilité, la faculté tellement humaine face à la pensée si belle absence…
Et un rêve abandonné l'inconscient cette démesure sommeil, ravi fin de la matinée, étiré son début l'après midi, consommé juste l'égale ma mesure nécessité, hors la nuit… le rêve était normalité, avec des bonshommes, des gens, des personnes, une situation, un évènement, un être pensé grand… et une fleur laissée en place de mots, posée sur mon cœur rêvé endormi, latente attente... déposée si belle excuse à ne pas oser dire…
Un rêve…
Le rêve était beau, beau en dedans, beau tout autour, beau de ce qu’est la vie… et s'en garde, tout aussi, belle leçon…
Pourquoi se préserver l'imagine si beau, pourquoi prémunir beau le souvenir… peut-être, sans doute l'évoque n'est bleue qu'en mon seul et si étroit petit esprit…
J'imaginais un partage, j'imaginais ce beau nuage embrumé, né par nos âmes…
Dans quelques jours, le huit janvier sera l’anniversaire d’une rencontre, celle qui m’a fait découvrir un autre monde, m'a offert une vie sociale, un nouveau boulot, un travail génial et qui doucement m'a ouvert à mieux connaître des personnes de cœur…
L’aube d’un renouveau personnel, le début d’une toute nouvelle expérience qui déjà, s’esquissait fantastique et qui m’a apporté au jour le jour, chaque jour un petit bonheur…
Petits riens qui maintenant se posent, se déposent souvenir d’une immensité très particulière, si belle, tellement précieuse, riche simplement car augmentée de toute leur inestimable individualité et singulièrement abondée de valeurs estimées et multiculturelles.
Un quelque chose de grand, un quelque chose de fort, m’offrant, là, tout au long de ces sept années, le véritable plaisir de vraiment apprécier mes collègues mais aussi le bonheur de pouvoir m’accomplir…
Malgré qu'une ombre y soit passée, m'ait influencée quelque peu dans son autre perception si loin le bleu ma sensation… sans pourtant vouloir définir absolu la bonne raison…
Sept années se clôtureront finalité ce sept janvier pour commencer l’esprit heureux cette année terminée sept déjà, par eux, bien accompagnée…
Magie chiffrée d'un sept ma destinée !