dimanche 28 janvier 2007

Rien magie le Tout...

Il n

Il n'y a rien qui dure toute une vie.

Elle souffre, elle délivre doucement sa peine, si lentement… me sentir tellement inutile, tant à côté, délires le lire et ne pas tout comprendre, savoir trop profond l'écart ma distance…

Vous dire…

J'ai aimé si fort et tellement grand et j'aime pourtant encore naturellement… sans l'habituel juste milieu, sans suivre ce qui est dit, ce qui se devrait, vraiment naturellement en ne plus me liant, me détachant volontaire le monde pour me donner belle l'imagine à ne pas à offrir une quelconque peine… valeur mienne si vaine, à ne pas en valoir la peine...

Mon plus grand bonheur est ce pouvoir d'amour, ce don de soi, l'à moi sans pourtant être la sainte à ni pas je touche… je sais, je sais ma faculté à vibrer l'aimé et le vœu de ne pas attendre ou ne plus attendre le retour qui grise la mine à l'instant de sa singulière dépose pensée…

Bien sûr, je ne suis pas "en amour", amoureuse d'une seule et même personne et suis donc à plaindre dans ce monde à normaliser cet élan si grand. Je serais cet être incomplète à qui se manque une bonne et belle moitié !

Bien sûr, je ne suis pas liée d'amitié si forte comme ailleurs elle est si bien à suivre l'indiquée et suis tout aussi à prendre en pitié par ce monde normalisé qui dit sa valeur unique par le nombre et l'écrit. Je suis donc cet être l'incomplète à qui manque un cœur tout chaud et tout grand…

Le seul mien est si petit et tellement l'asséché aride d'un désert empli, ce vide si plein, comblé l'étrange et que peu ou d'aucuns ne peuvent admettre, se référant à l'unique le leur qui tend plus et trop ressemblance l'imaginé voisin…

Je n'ai jamais su, je n'ai jamais pu calculer sens la sensation, établir comptes comptés, escomptés, complexes et compliqués à projeter le demain pour garder à moi un quelqu'un… mon vrai plaisir si égoïste et qui m'emporte lune cette terre, est sentir profondément le bonheur des autres, celui à  s'abandonner vérité autour, tout autour et qui se ressent naturel, ondes subtiles et pourtant tangibles de  gestes, de mots dits ou non dits, mais non spécifiques, ni spécialement beaux la rime, non plus bels écrits à trop souvent l'être transposes d'autres si malignes… je magnifie l'entre ligne, le juste qui toujours se devine...

En me gardant sens mien, l'émoi mien, l'entier d'elle sans pas une concession fausse largesse à m'offrir simplement car ce renoncement compromission esquisse l'aube sens le vrai, pose évidence l'ego d'aimer aimer être aimé et s'efface la vibrance simple d'aimer…

L'école d'une vie, toute une vie qui mouvement tourne en l'unique sa ronde à se dessiner d'un goûte ma goûte la seconde… l'apprentissage sans l'enseignement, sans pas une belle référence à m'étendre instinct tout simplement.

Je nous sais l'être tout différent, jamais l'idem, beaux par, en ces précieuses dissemblances, accordés hors respect l'acquis notre belle humanité mais par l'inné notre commune animalité… singuliers à toujours se compléter et pourtant portés à croire l'être beau en sa supériorité maintenant d'aimer…

Je voudrais Vous dire, tout en sachant ce souffle infiniment petit face au bruit qui s'éclate l'ici ou là, partout… vous dire l'amour en Vous, celui qui vous, sans pas l'erreur le leurre, découvre enfin cette si belle personne, est celui qui importe, qui porte seul vraie et véritable la réalité, est l'essence qui ouvrira grand votre ciel, est l'essentiel, un rien qui construit le Tout…

Ce rien qui dure toute la vie….