Le temps belles détentes se consume maintenant toute proche fin et s’en vient inéluctable péroraison la conclusion…
Rien ne fut ou fut, plutôt leur tendance tendancieuse à bellement traîner ce temps…
Vacances vacantes d’un projet particulier qui à peine né, s’en est tout simplement envolé. Évaporé seul écarté à s’émerger personnel, intime, bien et tellement mien, qui toujours m’emporte l’incompréhension ce compliqué à meubler son existence et à me faire fuir, quitte à m’enfermer, me refermer et plus encore, m’isoler…
Je réprouve le mensonge… le dire, l’écrire, ou même le crier s’avère pourtant n’y rien faire, ne contre pas cette vérité à autres déposes se poser…
Là pourtant, naît subtile fumée, brumes à profondément m’ébranler pour s’en quintessencier plus encore unique, seule ébauche de l’être qui ce sens, s’engoue et s’en joue …
Qu’importe, la vie se comble deçà et je ne présente ni bonnes résolutions ni mauvaises intentions à pouvoir, ce, renoncer !
Finalement, tout est bien car ne s’impose rien… le droit à être, tout comme le choix de l’être.
Mon élection a toujours été détermination à ne pas me perdre, m’égarer l’être paillettes à flammette l’incomplète ! A tort et pour toutes mes raisons les plus bonnes, à se dire bien parlées, meilleures, j’incline postulat bien fondé, le façonné d’elle. Griffé la logique impassible ou écorché l’instinct irrésistible et qui toujours me guide…
Et me voici donc à signer fin le cycle – foule normalité l’imagine à s’imaginer tant attendu - celui à me combler l’aise bellissime l'ultime et à toujours, quelle qu’il puisse être, abondé rebattu magnifié. L’été ou l’hiver, et le printemps, ou la nuit et son jour, le soleil sué cet été, gentille pluie, le faire, son non faire à défaire ou encore tout et n’importe quoi m’ont en tout temps portée bonheur tellement ordinaire la banalité à pourtant ne pas se vanter. Se taire, n’exhaler que l’autre habituel cliché afin de ne pas trop déranger…
Ce morceau phase à durée subsiste bon temps hors conditionnel objectif fermé par un calendrier, découlé bio ma génétique, adoucit tendre ma pensée, viscéral bien atavique… coulé tout aussi, par quelques belles découvertes à m’emmener mots soufflants et si détonants… agité par d’autres astucieuses bricoles si gentil bricolage à se créer petites mains… pénétré belles retrouvailles livres délectés à se lire, ben oui mais allongée sans faim dans mon lit… hébété l’alanguie ces séries américanisées et avouées trop bien aimées à se suivre… pétillé pourtant d’un accompagnement la terre, à bulles et l’à feu cet artifice à s’éclairer ciel l’instant, moment terre le ciel ou ciel la terre, à bon gré…
Rien qui ne se porte extraordinaire non plus qui se dit ordinaire. L’étrange étrangeté, l’étrangère…
Tout est bien qui s’accomplit mon bien, le seul mien à pourtant me délecter belle dérision déraison, lèches d’un pépé, lui extra mon ordinaire !
La vie est cadeau, accablée parfois lourds présents mais toujours emmenée justes pressants. Du temps s’ouvre le temps, tout simplement…
Tout va et rien naît toujours bel alinéa !