Présent ce temps, se tend et s'affleure l’évidence mon non sens, ce sens à fleur la destinée mon contresens…
J’encense !
Façonnée, semblée instinctive et pourtant à ne pouvoir s’avérer que damnée, condamnée et forcée, à force…
Et si mal en réalité - le bien - ou par trop imaginé bien - le mal - conquise l’acquise à se magnifier si belle son assise…
Censés bruissés bon ton, sens !
À détonner ultime pas vraiment étonné mais plus tôt, destiné… à festonner vue toujours mes œufs brouillés… la vision dérision à s'envoler trop intime mon intuition… le bagage, oh si fluet, ce pendant conflué persiflages, tendre badinage si douce folie à tendre, à s’étendre mon inutile et infertile babillage… misérable chinage très certainement lié apanage si bel âge, à seul verser, version condition convention et disposition qu’aime tant à s’écrier, non, se décrier ce dit on…
Recensés, nés « on » !
Il est si facile d’écrire pour ne rien dire, tellement vain d'aligner maux et pourtant sain d'éventer mots... babil nichoir à subtil déversoir, moire satinée soie à savoirs...
Décence le bon sens susurre, censure maintenant silence, le sens et sous, en tombe gentil le sourire...