Et la porte semble s'être close,
pour cette raison façonnée prose…
Elle, coincée virtuel imaginé, ailleurs se pose,
bée l'éternité bleu, là, pensé bien trop rose…
Éventée, ébranlée si force leurre réalité…
Elle ne peut que se défaire,
de tous ces courants d'air…
Se figer, condamner bel
leur éthéré…
L'écarter, en créer l'autre vie, sa matière…
Ce rêvé à s'éclore toujours Infini...T
Le tisser à s'enivrer seule, sa vérité…
Cet été, l'en devenir pressants, mon
univers…
Mon Ange veille à jamais, mon bonheur,
Pose bleu couleur toujours, mes pleurs,
Dessine instants battements mon cœur,
Protège ardeur l'infini vie, sa candeur…
Alors va la vie aquarelle, et vient ce moi à exploser l'émoi…
Chuchoter, chipoter, bruisser mon
cœur,
lui murmurer son unique douceur, susurrer sucré miel
le bonheur… déposer, oser l'autre chose… l'ouvre moi…
Souffler
loi l'étrange ma foi… dérider l'onde et que je vibre seule au monde, inonde amour,
isolée
pourtant, cette terre si ronde…
Délivrer, délier l'hésite, dénoncer l'instant,
l'offrir présent
l'essence mon doux sentiment…
L'attente ce pressant à vivre tout autrement... et tendre élan, lier amour l'arrêté d'un temps…
L'aube ritournelle sera là figée, éternelle Infini…T