Il
est des jours… rapprochés ressemblances, déliés dépendances, destinés
récurrences… et tant logique l'observé raisonnée… ce qu'est finalement la vie !
La portée d'un cœur n'est sans doute jamais ce que peut un autre à ce pouvoir l'être. Il est simplement, il bat, se bat, désire et se désire, veut… ce vœu… rêver terre la planète, combler éther sa disette… tendre, toucher, atteindre l'inaccessible, et si personnelle, tellement intime et par trop unique son étoile…
La lune n'en est pas une.
Née satellite, elle s'existe l'isolée, se creuse arrondi belle la vie, esseulée l'observé orbite… complet curieuse image mystérieuse et s'achève tentante l'imagine fascinante… et pourtant se sème terre sa terre vérités l'inhospitalière…
A combler force le vide cet entre deux… elle et eux, eux et elle… doucement se meurt le rêve… lentement s'épuise la sève… paisiblement s'en vient la brève, l'infinie désirée trêve…
L'étrange étrangeté…
Née lune semblée planète…
Filée envers droit la comète…
Végéter circulaire vie désuète…
Et déposer sept fin la complète…
Ce jour me grise tristesse son gris… je m'en vais l'enivrer bleu ce vœu... m'allier solitude et l'éprouver étrange Infini...T