mercredi 29 novembre 2006

Là-bas...

Là-bas...

Juste là, poser un ou deux, déterminés, ces pas…

Seulement dire, me dire, l'heureux, ma joie, tu y vas…

Et vous souffler l'évidence tendresse, pour n'y voir là,

que seule, promesse ego, l'unique pensé à moi…

Mais avant,

et si affectueusement…

Te dire, vous dire, à toi et toi,

comptés nous, magie si infinie, ce trois…

L'Amour,

son chant l'éternel toujours…

Sans pas chagriné, le jamais,

ni non plus bruissé, je vous aimais…

Un présent,

arrêté, hors le temps…

Dessiné défini absolu tout simplement,

l'avoir cadeau, l'être si belle maman…

L'unique harmonie immensité ma dite petite vie… sans gestes fabuleux, ni voyages prodigieux à pouvoir me reconnaître, non plus richesses regards à apparaître, rien qui ne se dise, qui se vante ou pourrait me complimenter… non, seul cet infini incommensurable ma vie, le jour d'être née par vous, maman… un instant dessiné intense tremblement, de tant de beaux moments, composés extra l'ordinaire, faits de votre douceur lumière… m'offrir l'authentique possible, m'ouvrir le cœur clos l'effacée, protégé, et pouvoir en faim, ce tendre, me répandre, son éther s'étendre… donner ce tout l'essentiel ce vous l'essence mon ciel…

Sans jamais un regret, sans jamais le cœur secoué rancœur d'un manqué l'imaginé bien autre, sans jamais une dette, ce retour l'égalité à m'inventer et à vous léguer… simplement, naturellement, la vie m'a offert mon cadeau, un présent pour tout le temps, pour chacun de mes moments, mouillés larmes ou étirés sourires, l'émoi le moi, à moi par toi, et toi…

Je n'ai pas de peine, je suis bien, heureuse d'être et de suivre la préférence prédilection mon chemin… enfin et malgré mon savoir votre chagrin.

Je vous aime pour toujours, je vous aime infiniment fort, immensément grand, je vous aime liberté vôtre, je vous aime hors le temps… ni au passé, ni en promesses fragiles conjuguées son futur à venir… au présent, là, maintenant… en cette dimension prescrite, hier, aujourd'hui et tous ces demain votre avenir…

Votre sourire s'emmêlera, affirmera belle ma toujours présence, revivifiera la vibrance douce folie si mienne déposée plus précieuse encore en vos cœurs… toujours… je serai là, je suis là en dedans et autour de Vous…

Et si la peine se fait trop intense, si elle semble par trop immense, abandonnez-la par l'autre regard, au-delà, en l'espace que seul le ciel son éloignée à toucher peut, et retrouvez-y mon seul vœu, vous voir, vous savoir heureux.

mardi 28 novembre 2006

L'absence...

L'absence...

Ne rien dire, peut signifier aller mieux, guérir, se rétablir… ses mots me semblent absence cette reconnaissance… sa prière m'accompagne pour simplement son mieux être à elle… je le souhaite, je le veux profondément pour elle…

L'étrange notre pouvoir, cette faculté à tous, de penser si fort et de rendre possible par ce souffle âme la vie, la magie d'un allé mieux, offrande d'une chance, du hasard l'existence à se composer tout beau, immensément bleu…

D'aucuns s'imagineront là, une lubie manie ésotérique ! Je crois au naturel, en l'instinct de ce qui vit, à la force incommensurable de notre esprit pourvu qu'il ne soit pas dévié le soi, le calcul son propre intérêt… le chemin vers, le laisser venir le seul mouvement existant, l'emmêlée notre logique l'Univers qui pourtant s'étend toujours et à jamais harmonie vraie la vie… ce pensé rien qui est tout, ce Tout éternité, l'équilibre consonance arrondi balance unique existence !

Avoir conscience de sa petitesse affectée cependant nécessité, hors le singulier, ouvre le regard, l'éloigne petit notre monde et nous permet de voir… au-delà, tant et plus, tendre le temps, l'étendre à se composer tout autre importance…

Et je n'ai rien bu, ni avalé, non plus fumé ou snifé… relativité, l'au-delà autrement signifié !

Pause d'une vérité tellement simple qu'elle ne peut que sembler d'ailleurs, notre si belle et douce erreur…

Le curieux des mots déposés, ces billets, ou de matins, ou de ses contraires… écrire, se dire, un rien se dévoiler ou encore simplement informer… s'épanouissent souvent, pas toujours, mais fréquemment d'une peine, d'un mal quelque chose… l'être… même sous le couvert de sourires, de blagues à rire, ou le peu à se dire, ou l'information à commenter… une sorte de recherche le graal intime, intimé à s'exposer belle face pour mieux gommer, effacer le vilain pile d'elle… non pas l'absolu le taire, se fausser mais  reprendre, dire, redire… fixer l'information pour s'égarer à jamais l'autre vérité… s'épurer à force l'effort semblé si facile, si aisé et rejoindre l'image le groupé bien heureux…

Le dessein est finalement beau… oui, geste probe qui pourtant, me trouble non pas dans le but de cet autre mais dans son mal inconscient à parfois faire… sans n'avoir une solution à proposer, je suis tout aussi de cette humanité !

Ce jour s'ouvre pause à dessiner plus encore un destin… l'aider à tendre une belle réalité…

Je la sens sur le chemin !

lundi 27 novembre 2006

Et si !

Le travail m'emmène, m'entraîne le temps non arrêté pour me poser le vide… l'espoir quelque peu déçu de n'avoir ego rien eu, de cette lecture qui me concernerait, un écho, une résonance, une belle vibrance qui se déposerait son attention bienveillance… d'un mot ou deux, même trois que j'aurais reçus…

Conditionnels d'un si sans doute, peut-être...

et si...

je m'en fous ...

ou bien non !

Qu'importe finalement, la télévision pourrait aussi m'offrir l'illusion d'être… suspendue ailleurs mais devant elle, à la regarder sans pas vraiment la voir, d'entendre, d'écouter son bruissement pour mieux encore l'oublier… m'envoler ailleurs, me promener d'ailleurs… et puis, certains blogs s'ouvrent belle balade !!

Je préfère le ciel...

L'essence son bleu qui s'éparpille mon vœu, m'apaise, m'égare le monde et me fige les étoiles si miennes... hors le temps, hors le vide lui, hors les pleurs, hors ces cris à hausser et fendre morcelés si moches la vie... en dedans le beau tout simplement...

Son lointain à me toucher, tendre la main et m'effleurer ses vibrés... seul à accrocher vrai mon regard, à pouvoir le soutenir, lui convenir... un silence né mots son bruissement si doux chuchotements...

Un jour, un autre, toujours et tout différent qui m'a pourtant secouée d'une joie non originale… seulement le grand d'y arriver, la liberté à le fermer là, douceur d'un bonheur l'être, d'avoir été de cette belle journée passée… de sembler normale, banale, de sourires ma normalité, ceux l'exécuté bêtement, naturellement, ou sous l'effet d'une pulsion donnée d'évènements, ces aubes le rire, ou d'une pensée contenue délire, ou peut-être folie bien pire…

Je suis heureuse de ces derniers jours, heureuse du moment enfin trouvé, le mien, le tout mien, mon jour à moi !

Et des faits passés, de l'immense boulot là, accompli, l'avancée... du repos tout aussi pris, le cœur son déposé... sans crises, sans mal si ce ne sont que ces égarements étranges tout en conscience à la frontière de la perte de connaissance… sans mal, sans plus l'angoisse d'y rester, sans plus cette peur tellement frayeur par cette supposée à peiner les autres, je pose alors l'instant, m'arrête, souffle vie l'écoute et simplement l'attends... la vie est deçà très géniale !

Je m'amuse à décompter les jours qui me retiendront la lutte… un pas de plus, un pas l'humanité vers la finalité, entre coupée de petits congés à m'évader, à me laisser sans honte, plus encore à rêver, seule, toute seule à partir en dedans le songe, en son éveil, ou par le sommeil… le si, le trop rigolo… je me souris déjà toute seule !

Et si la profondeur n'était qu'un leurre, un truc machin chose auquel j'ai toujours cru mais qui n'existe pas, n'est plus…

Et si la douceur n'était que couleur sa propre pensée douleur, son contre l'à coup, l'envers son droit, l'autre truc chose auquel la force je puise, et qui  s'étire, s'épuise à s'étaler… celle si tendre mais qui semble ne jamais l'être se contenir…

Et si mon esprit avait tout inventé…

Et si…

Et si j'allais dormir, le sourire là, est toujours si vrai dessiné…

samedi 25 novembre 2006

Un pas, l'alunée...

Un pas, l'alunée...

Un pas, un si petit banal avancé… une journée belle simplement car accordée l'accomplie… un si petit pas… et une date s'est posée l'illuminée… elle sera le total d'un sept, tant mélangé âge que nombre dessiné jour, elle est l'image cette Elle, le rond d'un détour arrondi, une petite vie définie… j'en suis infiniment heureuse malgré, même si son jour n'est pas l'immédiat soulagement demain et qu'il me faudra encore prendre sur moi et ne rêver que ce lointain, quelques mois, un rien …

Cette aube sans commémoration à célébrer et non plus punition à y trouver. Elle est, sera l'harmonie ultime accord ma vie ! Elle m'offrira le partir allégresse d'un sourire qui toujours sera mon reste… l'Ariane soufflée fragrance définie l'Autour… souvenirs d'elle… qu'il n'en reste que ce particulier, ces particuliers étirés du cœur…

Le toujours d'un là, qui do, re mi-nimise, relativise et pose le temps tout autrement…

J'en voudrais tant une belle fête à ne penser qu'à ce que j'ai aimé - le jour d'elle, les moments pour elle - ce que j'aime et qui me fait tant vibrer… mes fils, les chats qui m'ont découvert l'apprivoisé, toi, vous, elle ou lui…, et tous ces mots, et les imagées le ciel, le son ce R et Vanillé qui m'ont tremblée, m'ont donné le sens de tous les miens, mon corps matière, mon esprit éther, mon âme infinie lumière… le sourire qui pétille intense le regard si mien au-delà, perdue là-bas, balancée depuis la nuit des temps, en, par, en dedans la lune… l'innocence d'un seul élan éclat par trop bleu, bien trop entier, pas assez maquillé…

Ce laps dira les mots mes pensées, osera se léguer l'idée, celle d'elle si façonnée, un amour de l'autre sans jamais rien demander, l'Amour sans autre mot à en définir, mais le laisser s'en devenir, l'offrir sans autre plaisir que le regard, la perception, le don vie d'un sentiment qui naît en soi sans quête l'autre absolu l'idem, sans teint le miroir, au travers, au-delà… et qu'importe le sens normalisé, je sais qu'il est cet à côté, et toujours leurs faims, recommencé… liberté d'êtres si belle l'humanité !

Un samedi soir alunée qui me soutient à dire, le plaisir, le bonheur à te lire, toi Loubabylou, toi qui transposes, composes le sens… toi qui ouvres l'autre à n'être que ce qu'il est, qui admets, acceptes toutes les différences sans jamais porter un jugement, qui nous abandonnes ton monde sans le définir exclusif de quelques valeurs justes ou autres angéliques tellement belles à dire, à se dire…

Je veux m'écrire sans influence les commentaires, sans devoir l'être semblé gentil, m'ôter la naturelle courtoisie pour ne dire que ce qui me naît l'esprit, ce qu'est mon rêve, cette fin trop longtemps reportée, postposée, attendue, voulue et désirée bonheur réalité à me réaliser…

Faire comprendre que là n'est pas un choix, mais le chemin…

Qu'il n'est ni aigre ni rance le cœur mais qu'il m'est simplement dû…

Qu'il est temps, qu'il est de mon droit, ce vouloir là…

Qu'il n'est ni châtiment ni pénitence mais liberté ma délivrance… et que le savoir là, si proche, presque là, me comble d'une joie à m'apaiser, à ne plus lutter, à ne plus me sentir en devoir à dire l'évidence la vie si belle. Elle saura seule, se découvrir sa beauté le monde…

Un samedi soir à me rêver, à m'envoler, me poser et me reposer douceur la tendresse lune !

vendredi 24 novembre 2006

Être...

Le hasard d'un click, des mots qui prennent, m'entraînent dans une autre vie, l'étrange de lire la mienne… pourtant parsemée ici ou là, différences sa cadence, ses besoins mais si profondément, trop même…

Une vérité qui me claque la gifle, m'étourdit la mienne… me dire, oser exprimer simplement écrire pour soi, non pas pour l'ego pensée plaisir aux autres à donner, à quelque part se valoriser…

Je ne veux pas me cacher et surtout, surtout ne plus me leurrer… je sais, je me sais et mes réactions sont emphatiques, dans une habitude, en l'us l'usure de toute une vie.

Je sais le bonheur, le ressens réellement intensément par les autres, tout autour et il me comble, m'a toujours émerveillée… éloignée, détachée, ailleurs, observant, avide d'apprendre, de combler un vide à nourrir uniquement la pensée, pour se désemplir trop plein, le rêve… à croire, à immensément croire…

Je sais mon désir, cette faim la fin et qui se voit, à chaque fois repoussée pour un quelqu'un, un enfant, un homme, une femme, un chat… un cœur qui simplement bât…

M'accomplir et oser offrir ce chagrin, me penser, me suivre l'idée, y aller, clôturer beau ce qui est présent, l'instant…

Si je me moque d'être aimée, repoussant même le sentiment qui me distancerait encore, et encore, m'éloignerait mon intime projet, je ne peux que prendre soin, me sentir non pas obligée mais liée au destin des êtres qui ont croisé le mien… impliquée dans leur bonheur qui est au fond le seul bien mien, le souffle l'éther, le leur garder et préserver le sourire étiré mon vide si plein…

Une étrange idée aussi de n'être là que pour ce petit rien là… d'aussi vouloir trop protéger, défendre corps et âme cet autre dont je ressens l'avant sa peine…

Trouver si injuste que l'éclat lumière illumine une âme grisée, qui manipule, qui se dit et use les mots l'expression… savoir là, l'immédiat, dans la seconde de l'instant où naît la pensée que ce n'est pas beau, si laid que je me hais…

Je ne sais pas exprimer ce qui m'ouvre la vie, cette heure heureuse de lire de la joie, du simple à vivre, du vrai, du vrai de vrai, du tellement vrai…

Je ne demande pas, je ne quémande pas mais pensais, la belle l'imagine… au possible d'un partage, d'un réel, d'un vrai échange, non balancé juste mais déposé harmonie… mon regard, le seul mien m'embrume cet espoir désespoir.

Une date, un jour s'étaient dessinés pour me soulager le temps, et son contre s'offre une fois encore à m'en découvrir l'autre d'un moment… pourvu qu'il soit rondeur, ajusté entier pour terminer et me ressembler… je vais m'en aller, je veux m'en aller et le plus rigolo est que ce départ doit l'être tout bleu… ma vie, le seul vrai son vœu !

Et j'écrirai encore, poserai les mots souffle pour alimenter le vent… dire est pour moi important pour mieux m'éparpiller, m'abandonner souvenir et penser mon existé l'unique lecture d'un passant passant et s'en foutant !

Cette couleur l'indifférence est finalement ma recherche, ma quête pour m'envoler l'esprit tranquille… l'intelligence émotionnelle à se nourrir infini…T

Le rêve m'appelle, quelques heures le sommeil pour bientôt, le sourire d'éternels !

dimanche 19 novembre 2006

Beau manipulé...

La soirée s'est offerte toute belle, glissée harmonie juste à ses côtés, enivrée valeurs sa lumière pourtant si éclairée lueurs réalité la terre…

Le monde d'ici tant, tellement petit, minimalisé alors que je l'ai imaginé par trop élargi, démesuré… Mesure l'unique ma démesure le rêve si grand, si beau en ces déposes né lieu à l'image rêvée… douce folie…

Le là où s'écrit unique la souffrance, d'où mot s'autorise à centrer le monde pour en faire le seul sien, où la peine d'autres et même des propres siens secondent, finalisent, se classent après, s'alignent la fin, cette faim l'encore, le toujours, l'à jamais l'intime ce personnel je l'élevé, le haussé magnifié…

Les maux manipulés…

Et la foule qui se défoule de peur d'égarer la semblée tendresse, l'idéalisé sens qui n'est que vide si vide et miroir belle l'alouette oubliant l'essence, gommant l'essentiel, l'importance vitale qu'est l'aube d'un cœur qui bât, qui se bât ce monde d'adultes à se dire mais à ne pas s'accomplir... l'on indéfini si défini, qui accuse maux détournés l'enfant de peines à se pleurer, sans penser la seconde, le bruit qui ouvre l'instant que l'écart ce n'est que lui, le grand qui l'a dessiné, offrant encore l'ajoute ce supplément tracas au chemin qui seulement s'esquisse, qui n'est que son aurore et qui devrait par lui, ce géant, n'être que fleuri…

Si l'erreur naît humanité, la reconnaître est sa plus belle qualité et présent immense liberté pour l'autre et particulièrement le petit, à s'éclore la force pour se construire beau, pour ne pas lui léguer son chemin de travers…

J'en suis soufflée, tellement profondément touchée que je ne peux que me retourner, fuir ce monde l'ici, fait d'ego sens la seule et trop centrée sa propre vie !

Une promesse à me faire, à m'offrir sérénité… ne plus en ce lieu ne fut ce que déposer un regard, m'enfuir, fuir à jamais ce gris dépêché brouillard…

Il m'a dit si simplement que le monde n'est pas que ça, qu'il ne naît pas deçà, qu'il existe des êtres tel le songe si bleu qui depuis toujours me vibre l'être, me vit, m'existe sur terre…

Ce rien que ça m'offre la lune, celle qui planète élève infini le rêve, le touche magie simplement douce réalité…

vendredi 17 novembre 2006

Petit infini...

Petit Infini...

Et ce jour s'ouvre si beau, tellement éclairé… lueurs ses bonheurs simplement déposés, ici ou là, à s'en frôler pour y trouver un sourire arrondi la vie…

Une paix sérénité des cœurs, une tendresse l'aube début premier, l'envol aussi félicité, amour toujours ou vocables couleur le jour… des mots tant, tant et plus naissant mille, millier sourires à retrouver, à se détacher torpeur ego, à gommer douceur ses maux…

Va belle la vie !

Et belle elle sera à se laisser porter par ce rien que ça !

Je suis brume douce torpeur…

Je flotte instants bonheurs…

Effleurer délicatesse le temps,

Souffler doucement son comptant…

Me libérer cage,

Ne plus être si sage…

Simplement me laisser venir

D'elle ne plus me retenir…

Aimer, la vibrer si intense…

Me laisser exhaler sens…

Et l'être d'encore, plus libre, pour frémir l’en fin d'exister, naître non pas l'ombre ou sa chose, ni le pressant effluve d’un seul souvenir moment déjà passé…

Aimer si fort, intensément grand, tant et plus encore… infiniment…

Et que naisse son manque pour m’enivrer, oser son partir…

Et découvrir l'hors carence, pénétrer l’après… sublime délivrance… simple joie d’être renouveau, l'essence…

Plume la frôler, tendre, étendre l’aspiré…

Toucher, beau à jamais inspirer…

Et chanceler la déraison, me frissonner sa sensation… suspendre seconde l’émotion, palpiter intense, perceptions…

Aimer… aimer et tendre folie, la passion infinie, aimer douceur sucrée ou ardeur salée, t’aimer la différence…

dimanche 12 novembre 2006

Justesse vérité...

Justesse vérité...

Il est un monde,

Où n'est besoin à dire l'estime beau son ton…

Où naît instinct à venir sublime l'abandon…

Et éclairé lune,

D'éternels sourires magiques, l'étiré son bonheur...

Perpétuels soupirs rythmiques, l'intimé sa candeur…

Et brillé soleil,

Tendresse aérée l'azuré ciel, sa fraîcheur…

Ivresse éthérée le sucré miel, sa chaleur…

Un monde juste là,

Caché précieux le chacun, vibrance ce creux…

Lové heureux le commun, intense le bleu…

En dedans, là…

Et vit… danse, l'être soie…

mardi 7 novembre 2006

Bleu... l'eau !

Vague l'onde,  tendre coquine vagabonde…

Son bruit pastel s'étincelle ; gamine l'oh qui danse ; et s'éparpille haut l'emporté immense le ciel…

Senteur liberté effluve absolu l'essentiel… tremblé unique ma vibrance… à sa cadence, aimer fort, aimer grand, immensément…

Ma dépendance…

Se poser, s'envoler le sourire et vaciller infiniment… aimer silence… se taire, se défaire, se révéler bruissements à souffler doucement…

L'imagine ciel, si grand, promené d'ici, delà, le blanc… se rejoint sans fin, en fin le bleu…

Aube l'aboutement aboutissement, l'uni relié enfin, bientôt mien… mousseux d'écumes, brumeux mes brumes…

Ton image est tellement belle mêlée à ce goût si salé…

Mon vœu serait… t'offrir le beau d'un texte, né mon esprit son tout ravi, ouvert mon cœur ton sans pleurs… le talent n'est pas existé, ne l'a jamais été et n'est qu'aube Infini…T

Les mots me semblent -instant- volés et je ne t'offrirai que la dimension de mon temps, arrêtée langueur, aux pétillements d’un regard, ce mien l'en dedans…

dimanche 5 novembre 2006

Mots, l'autrui...

Mot, l'autrui...

L'origine de toute joie en ce monde est la quête du bonheur d'autrui. L'origine de toute souffrance en ce monde est la quête de mon propre bonheur.

Shantideva

Et là ne sont pas les mots miens, à moi, nés ma main...

ils seraient d'ailleurs, bien moins malins !