
Ne rien dire, peut signifier aller mieux, guérir, se rétablir… ses mots me semblent absence cette reconnaissance… sa prière m'accompagne pour simplement son mieux être à elle… je le souhaite, je le veux profondément pour elle…
L'étrange notre pouvoir, cette faculté à tous, de penser si fort et de rendre possible par ce souffle âme la vie, la magie d'un allé mieux, offrande d'une chance, du hasard l'existence à se composer tout beau, immensément bleu…
D'aucuns s'imagineront là, une lubie manie ésotérique ! Je crois au naturel, en l'instinct de ce qui vit, à la force incommensurable de notre esprit pourvu qu'il ne soit pas dévié le soi, le calcul son propre intérêt… le chemin vers, le laisser venir le seul mouvement existant, l'emmêlée notre logique l'Univers qui pourtant s'étend toujours et à jamais harmonie vraie la vie… ce pensé rien qui est tout, ce Tout éternité, l'équilibre consonance arrondi balance unique existence !
Avoir conscience de sa petitesse affectée cependant nécessité, hors le singulier, ouvre le regard, l'éloigne petit notre monde et nous permet de voir… au-delà, tant et plus, tendre le temps, l'étendre à se composer tout autre importance…
Et je n'ai rien bu, ni avalé, non plus fumé ou snifé… relativité, l'au-delà autrement signifié !
Pause d'une vérité tellement simple qu'elle ne peut que sembler d'ailleurs, notre si belle et douce erreur…
Le curieux des mots déposés, ces billets, ou de matins, ou de ses contraires… écrire, se dire, un rien se dévoiler ou encore simplement informer… s'épanouissent souvent, pas toujours, mais fréquemment d'une peine, d'un mal quelque chose… l'être… même sous le couvert de sourires, de blagues à rire, ou le peu à se dire, ou l'information à commenter… une sorte de recherche le graal intime, intimé à s'exposer belle face pour mieux gommer, effacer le vilain pile d'elle… non pas l'absolu le taire, se fausser mais reprendre, dire, redire… fixer l'information pour s'égarer à jamais l'autre vérité… s'épurer à force l'effort semblé si facile, si aisé et rejoindre l'image le groupé bien heureux…
Le dessein est finalement beau… oui, geste probe qui pourtant, me trouble non pas dans le but de cet autre mais dans son mal inconscient à parfois faire… sans n'avoir une solution à proposer, je suis tout aussi de cette humanité !
Ce jour s'ouvre pause à dessiner plus encore un destin… l'aider à tendre une belle réalité…
Je la sens sur le chemin !