
Vague l'onde, tendre coquine vagabonde…
Son bruit pastel s'étincelle ; gamine l'oh qui danse ; et s'éparpille haut l'emporté immense le ciel…
Senteur liberté effluve absolu l'essentiel… tremblé unique ma vibrance… à sa cadence, aimer fort, aimer grand, immensément…
Ma dépendance…
Se poser, s'envoler le sourire et vaciller infiniment… aimer silence… se taire, se défaire, se révéler bruissements à souffler doucement…
L'imagine ciel, si grand, promené d'ici, delà, le blanc… se rejoint sans fin, en fin le bleu…
Aube l'aboutement aboutissement, l'uni relié enfin, bientôt mien… mousseux d'écumes, brumeux mes brumes…
Ton image est tellement belle mêlée à ce goût si salé…
Mon vœu serait… t'offrir le beau d'un texte, né mon esprit son tout ravi, ouvert mon cœur ton sans pleurs… le talent n'est pas existé, ne l'a jamais été et n'est qu'aube Infini…T
Les mots me semblent -instant- volés et je ne t'offrirai que la dimension de mon temps, arrêtée langueur, aux pétillements d’un regard, ce mien l'en dedans…