lundi 25 février 2008

Familiarité familière…

Il est étrange ce sens à ne pas savoir mais à toujours être poussée à découvrir pour enfin voir. Sorte d’éveil réveil, façonné appel à définir si particulier mon rituel ou encore à montrer lune sa phase qui hoquette son l’éclipse simplette, liée au temps, donnant ton, coloriant idem le ciel… il s’ouvre instinct, se découvre à secouer ce cœur, oh si petit mien...

Discerner et me troubler de ces petites méchancetés, de ces jugements, ces manques d’égard rencontrés au hasard de lectures à bêtises si Net à déborder mon regard. Mais encore, toujours, je m’égare…

Le printemps s’annonce et se fait… à naître, renaître ces étranges envies appelées souvent même curieuses lubies…  à se vouloir absolu vœu, je veux… et ranger, ordonner pour nettoyer, ou polir, ou assainir pour parvenir, faut il le dire, à ce blanc seul pur désir…

Et sonne leurre vérité en devenir, avenir… instant pourtant non inquiétant : l’heure à vérité… délivrant nos arrêtés voulus détenus  respectifs d’un souci l'or apriori tout affectif !

La vérité à se montrer et à avouer. Admettre et confesser. Et dire, écrire, demander, presque quémander l’hors fausseté. Envoyer une sotte missive à tous mes chers contacts bloqués me bloquant parallèlement à l'image le prouvant et les autres, tout autant. Demander que leurre s’achève en osant tout simplement me supprimer carrément.

Non pas, m’assassiner ou m’invalider. Que nenni ! Mais user sans abuser de ce fameux click tellement magique, qui adroitement à droite, se déroulera menu à oser enfin vraiment s’afficher liste réelle de familiers !

Un simple geste qui m’ouvrira à assouvir cette douce folie à avoir ce blanc composé toute petite liste de contacts qui sont proches tout vraiment, en virtuelle ou réelle réalité…

Et même si je n’ai pas envie de sa compagnie, de m’en faire seule mon unique amie, la tristesse se presse, m’empresse de son regard à ce voir...

Hélas, je suis si lasse...

dimanche 24 février 2008

Prononcé chuchoté…

Si lentement, je m’en détache pour m’accrocher à d’autres futilités. Petites choses, petits riens qui, je le sais, empliront doucement sans pourtant combler le chemin…

J’accuse, je me dénonce afin d’encore mieux renoncer et ne plus croire… et perdre l’étincelle, avec force, souffler poussière l’étoile, embrumer lune la lumière, autrement bien mieux la diffuser, l’éclipser en dedans sans plus l’enchanter… ou ne plus croire en si belle l’humanité, ne plus m’en frôler empathie bien trop bée, ou la laisser se lasser à si merveilleusement se vanter… et perdre, égarer le mensonge, ne plus me leurrer…

Si douce folie établie…

J’accuse pourtant faiblesse ma volonté et m’incrimine ce qui toujours me mine, me consume mais j’assume en fin les mensonges rencontrés et en déporte maintenant la vérité d’un sourire simplement, tout naturellement à s’échapper, élancé instinctivement, élans irrépressibles qui dessinent la vie tellement cessible…

Si douce mélancolie abêtie…

J’accuse l’âge, sans doute, peut-être… toutes ces années et tout ce temps sont là devant pour attendre l’instant, le moment à naître authenticité, un rêve à toujours pouvoir rêver…

Et l’ange, mon Ange, celui qu’il me plaît à penser être là, juste à côté, lui qui depuis toujours veille, surveille et m’offre à vivre autrement ; d’ailleurs alunée ; s’est, présent, révélé pour me donner ces mots si, tellement divine l’entre-ligne pour à nouveau  à travers, inter-le-net me réveiller…

Si douce me colle la vie infinie…

samedi 16 février 2008

L'hors cadré l'or…

Éclairé safrané est cet endroit, ni trop froid ou peu chaud à tendre seule sa loi, tempérée juste milieu leurre eux… Espace à l’imagine sinueuse où s’ouvre immense l’orgueil prétentieux à persuader avoir le droit à la place… s’en convaincre, en être tellement déterminé… Cordage très accordé par ses nœuds indiquant haut l’acquis bêtement étudié sur les bancs de l’un ou l’autre poulailler à briller université ou à défaut, astucieusement emprunté d’illustres auteurs barbants bien souvent à lire et à ne pas toujours citer… Cordelle la belle jugée le plus souvent tel l’adage qui, selon lignées illuminées ou hébétées, tresse à se carrer serré le rang ou tisse à s’arrondir pour, à tout prix, le séduire…

Et j’en lis des choses hors prose, cachées de tant d’agressivité… subtilités à dire, à médire, et dénigrer, ou se fausser, se hausser et se moquer pour blesser… l’indifférence belle ambiance composée de vrais faux gentils, de semblés vrais méchants, de si beaux sourires tout grinçants à m’effleurer ce savoir lumière née on qui édifie et toujours me stupéfie !

Aujourd’hui à se vanter le non possible à être, et vrai, et gentil car selon le bien noté là, de sérieuses études psycho-chocolatées ou philo-biscuitées, rien ne l’est moins que de l’être ! Bienveillance la grâce serait grasse la condescendance. Une apparence en devenir l’appartenance, seul calcul d’une absolue et unique vibrance…

À cadré d’or cette vérité à naître l’hors vrai d’être simplement gentil !

Quelle curieuse idée !!!!

Je suis persuadée et non séduite par une si belle pensée, convaincue que cette union existe véritablement, authentiquement pour l’avoir rencontrée malgré ma petite expérience, mon si petit chemin de vie mais surtout par mon étrange sensitivé à toujours la ressentir même si la ritournelle mienne est de dire, il ou elle sont gentils...

La paire fait beau ménage mais est seulement mal perçue, n’est malheureusement pas un ensemble éléments de notre société pour en son décor illuminer… La gentillesse ne semble pas cadrer avec la nature profonde de l’homme, l’inné vrai nommé humanité et est trop souvent assimilée à une sorte de sottise simplette ou encore à une judicieuse mise en scène pour plaire.

Être vrai est être gentil, ne plus retenir son animalité par une semblée intelligence estimée maintenant primordiale. La gentillesse est une perception que n’ont pas les animaux, un jugement humain construit de concepts et qui oublie son origine naturelle envers les siens…

Alors sortons du cadre bordé d’or pour être simplement et véritablement. Son contour borduré naît éclat lumière du dehors…

vendredi 15 février 2008

jeudi 14 février 2008

Rouge amour toujours en ce jour...

Imaginer, penser, supposer qu’aimer ne devait pas de ces devoirs à être dits, que l’amour profondément se perçoit, infiniment se voit, astucieusement s’entend tout autrement…

Il est geste effacé de caresses anodines pourtant tellement divines… il naît matière la terre son rêve à la tendresse banalisée alors exhaussée… il enlumine le jour, illumine ses nuits et toujours s’offre à se donner, se révèle exprimés intimes secoués par de si petites choses…

L’élan d’une seule nature, profonde et dense, qui ne se leurre ni ne trompe, qui affecte l’air de riens et qui n’a pas ce besoin de s’enivrer pour gommer le quotidien.

Je t’aime est si facile à dire et si souvent ne signifie plus rien…
Aimer est simplement être et non si facilement paraître, aimer est ressentir et non discourir…

Cette ardeur naturelle pourrait être tout, aussi longtemps que son expression n’en devienne pas usuelle convention plutôt que véritable affection… locution maintenant par trop établie… trop souvent détachée, usée, comme chiffonnée par ce réflexe d’une manie à s’écrier envie…

Absolu à se dire et s’en convaincre pour se persuader d’exister…
ou
Dévolu à se donner sans jamais avoir à compter…

Je pense qu’aimer n’est rien d’autre qu’être en vérité… simplement en se laissant porter par cette magie infinie en dedans, en chacun d’entre nous… quelque chose d’immensément grand, d’incommensurablement fort… un rien pourtant, un rien à faire tout…

L’amour est foi et loyauté.
L’amour est partage, l’amour est croire.
Et beaucoup plus car il est profondeur dédié essence du cœur…

L’amour rend heureux et si être aimé peut rendre triste, peut sembler briser le cœur, il exalte pour toujours l’âme, l’emplit de vrai bonheur et jamais ne meurt…

J’aime à ne plus devoir dire aimer, à pouvoir simplement pétiller d’étoiles en cette lune, l’isolée dédiée ma seule destinée…

dimanche 3 février 2008

Mécompte le conte...

Il était une fois une cendre à s’en défendre… cendrée étoilée qui d’évènements s’est imaginée, s’est animée à croire ce possible pouvoir à se voir juste lumière enfin illuminée, en faim l’affecté légitime à la normalité, sans doute, peut-être…

Consumer et pétiller, embraser et pénétrer, toucher si simplement, ce brasier pour s’incendier, lui composé l’unique autre à rêver, né et lentement élaboré d’une rêverie gamine à se vouloir absolue réalité, à vivifier… l’inspirée exaltée, le feu d’un vœu à exister…

Et je suis, j’être poussière de l’univers, particule à lentement s’alléger, à doucement s’effacer d’avoir trop pensé pouvoir se consteller…

Pour ne plus penser et me laisser porter sans plus me questionner… l’ère, j’erre si vagues ardeurs est bien ma seule heure, traçant l’humanité, l’éloignant en zigzag pour suivre la route figée toute droite fidèle à mon cœur pour préférer la torpeur à ne jamais à avoir peur : lune si pleine d’un seul au monde…

Fil d’un conte destiné lunule si fragile et tellement labile…

Bleu, l’étincelle, est sa couleur, découvrant pourtant étrange sa chaleur, définie en cette planète terre, indésirable froideur… terre la terre à se glacer, sans teint, qui miroite et toujours éteint celle à n’être rougie d’envie…