Il est étrange ce sens à ne pas savoir mais à toujours être poussée à découvrir pour enfin voir. Sorte d’éveil réveil, façonné appel à définir si particulier mon rituel ou encore à montrer lune sa phase qui hoquette son l’éclipse simplette, liée au temps, donnant ton, coloriant idem le ciel… il s’ouvre instinct, se découvre à secouer ce cœur, oh si petit mien...
Discerner et me troubler de ces petites méchancetés, de ces jugements, ces manques d’égard rencontrés au hasard de lectures à bêtises si Net à déborder mon regard. Mais encore, toujours, je m’égare…
Le printemps s’annonce et se fait… à naître, renaître ces étranges envies appelées souvent même curieuses lubies… à se vouloir absolu vœu, je veux… et ranger, ordonner pour nettoyer, ou polir, ou assainir pour parvenir, faut il le dire, à ce blanc seul pur désir…
Et sonne leurre vérité en devenir, avenir… instant pourtant non inquiétant : l’heure à vérité… délivrant nos arrêtés voulus détenus respectifs d’un souci l'or apriori tout affectif !
La vérité à se montrer et à avouer. Admettre et confesser. Et dire, écrire, demander, presque quémander l’hors fausseté. Envoyer une sotte missive à tous mes chers contacts bloqués me bloquant parallèlement à l'image le prouvant et les autres, tout autant. Demander que leurre s’achève en osant tout simplement me supprimer carrément.
Non pas, m’assassiner ou m’invalider. Que nenni ! Mais user sans abuser de ce fameux click tellement magique, qui adroitement à droite, se déroulera menu à oser enfin vraiment s’afficher liste réelle de familiers !
Un simple geste qui m’ouvrira à assouvir cette douce folie à avoir ce blanc composé toute petite liste de contacts qui sont proches tout vraiment, en virtuelle ou réelle réalité…
Et même si je n’ai pas envie de sa compagnie, de m’en faire seule mon unique amie, la tristesse se presse, m’empresse de son regard à ce voir...
Hélas, je suis si lasse...