Il était une fois une cendre à s’en défendre… cendrée étoilée qui d’évènements s’est imaginée, s’est animée à croire ce possible pouvoir à se voir juste lumière enfin illuminée, en faim l’affecté légitime à la normalité, sans doute, peut-être…
Consumer et pétiller, embraser et pénétrer, toucher si simplement, ce brasier pour s’incendier, lui composé l’unique autre à rêver, né et lentement élaboré d’une rêverie gamine à se vouloir absolue réalité, à vivifier… l’inspirée exaltée, le feu d’un vœu à exister…
Et je suis, j’être poussière de l’univers, particule à lentement s’alléger, à doucement s’effacer d’avoir trop pensé pouvoir se consteller…
Pour ne plus penser et me laisser porter sans plus me questionner… l’ère, j’erre si vagues ardeurs est bien ma seule heure, traçant l’humanité, l’éloignant en zigzag pour suivre la route figée toute droite fidèle à mon cœur pour préférer la torpeur à ne jamais à avoir peur : lune si pleine d’un seul au monde…
Fil d’un conte destiné lunule si fragile et tellement labile…
Bleu, l’étincelle, est sa couleur, découvrant pourtant étrange sa chaleur, définie en cette planète terre, indésirable froideur… terre la terre à se glacer, sans teint, qui miroite et toujours éteint celle à n’être rougie d’envie…