dimanche 13 janvier 2008

L'autre monde...

Si l’œil voit, aussi et bien au-delà, il perçoit immédiat… ou plutôt, il reçoit immanente ondée de l’âme autre, croisée ou rencontrée sans avoir à regarder…

La conscience, alors inhérente, jamais absente, image une composition hors ces lignes ou courbes bien prédéfinies pour se permettre à naître surprenante substance… l’imagine s’esquisse éprouvé comme à toucher, énonçant seulement là, le matériau pourtant sans formes ni dimensions spécifiques, offrant simplement une assise à cette lumière si particulière telle une couleur non pas à signifier l’humeur mais à révéler exhalé le souffle éther devenu, pressants, juste matière : l’orbe soie qui prend place en son espace pour découvrir le sens…

Naturellement, inconscient primaire, l’onde soi se dégage instinctivement en l’instant, sans jamais y pouvoir faire quoi que ce soit et toujours, se génère en vis-à-vis, ressenti…

L’air inspiré atmosphère, qui elle se respire d’êtres, entités animées et s’emmêlant en cette singulière temporalité sans temps abat le masque sans préjuger…

La seconde d’une autre nature égarée à l’égard du regard à sentir… ce creux majeur qui exprime si vite que souvent rien est ce qu'on entend, ressent… l’évidé non vide exposé et explosé arrondi à relier bulles dessinées enfin bel infini…

J’émets, tu dégages, ils diffusent… nous, émetteurs et récepteurs, nous nous télé-regard-diffusons à profusion d’humeurs à sensation…

S’en vient, bien après, cadré par notre temps aux heures coulées selon nos faveurs, l’ensuite ajustement en belle anagogie interprétée… l’exégèse travestie car née par l’acquis profondément inscrit de passés récents ou plus éloignés, non plus la perception pure mais notre simple et intime conception, elle parfaite loyale, royale association…

’adonner idéale l’union rapprochée bon ton et se dévouer corps absolu la terre et inégalé capital pour le nombre s'associer en la seule et indispensable composition s’oublie l’unique original... l’authentique poussière d’étoile doucement, si lentement s'égare…

Et tout se complique…