Éclairé safrané est cet endroit, ni trop froid ou peu chaud à tendre seule sa loi, tempérée juste milieu leurre eux… Espace à l’imagine sinueuse où s’ouvre immense l’orgueil prétentieux à persuader avoir le droit à la place… s’en convaincre, en être tellement déterminé… Cordage très accordé par ses nœuds indiquant haut l’acquis bêtement étudié sur les bancs de l’un ou l’autre poulailler à briller université ou à défaut, astucieusement emprunté d’illustres auteurs barbants bien souvent à lire et à ne pas toujours citer… Cordelle la belle jugée le plus souvent tel l’adage qui, selon lignées illuminées ou hébétées, tresse à se carrer serré le rang ou tisse à s’arrondir pour, à tout prix, le séduire…
Et j’en lis des choses hors prose, cachées de tant d’agressivité… subtilités à dire, à médire, et dénigrer, ou se fausser, se hausser et se moquer pour blesser… l’indifférence belle ambiance composée de vrais faux gentils, de semblés vrais méchants, de si beaux sourires tout grinçants à m’effleurer ce savoir lumière née on qui édifie et toujours me stupéfie !
Aujourd’hui à se vanter le non possible à être, et vrai, et gentil car selon le bien noté là, de sérieuses études psycho-chocolatées ou philo-biscuitées, rien ne l’est moins que de l’être ! Bienveillance la grâce serait grasse la condescendance. Une apparence en devenir l’appartenance, seul calcul d’une absolue et unique vibrance…
À cadré d’or cette vérité à naître l’hors vrai d’être simplement gentil !
Quelle curieuse idée !!!!
Je suis persuadée et non séduite par une si belle pensée, convaincue que cette union existe véritablement, authentiquement pour l’avoir rencontrée malgré ma petite expérience, mon si petit chemin de vie mais surtout par mon étrange sensitivé à toujours la ressentir même si la ritournelle mienne est de dire, il ou elle sont gentils...
La paire fait beau ménage mais est seulement mal perçue, n’est malheureusement pas un ensemble éléments de notre société pour en son décor illuminer… La gentillesse ne semble pas cadrer avec la nature profonde de l’homme, l’inné vrai nommé humanité et est trop souvent assimilée à une sorte de sottise simplette ou encore à une judicieuse mise en scène pour plaire.
Être vrai est être gentil, ne plus retenir son animalité par une semblée intelligence estimée maintenant primordiale. La gentillesse est une perception que n’ont pas les animaux, un jugement humain construit de concepts et qui oublie son origine naturelle envers les siens…
Alors sortons du cadre bordé d’or pour être simplement et véritablement. Son contour borduré naît éclat lumière du dehors…