Nivelé à descendre ou à monter, n'être que premier degré et ne pas viser la
seconde, minutie, à grimper d'autres marches…
Originel instinctif propre au sensitif primaire, ce sens initial sans devoirs à connaître absolument et réellement le signifié : ne pas savoir, ne pas posséder la connaissance spécifique, juste et acquise ou apprise de ce que mot veut dire en réalité ni quel en est l'appelé son mieux, son usage préconisé, intelligemment conseillé.
L'entendement cheminant seulement spontanément le sens inné du code. Ce dernier donné, posé, un beau jour, native entité découlée très logique ou accessibilité bien explicite. Et ceci, sans obligations d'en connaître la définition bien arrêtée plus tard par la langue, elle-même bien fixée par l'Académie.
Simplement, le mot se dépose naturellement nature en cette évidence cadencée et non immobilisée, ne tendant que très rarement vers la jolie convenance mais approchant toujours ou presque, sa première signification.
Je pense, je crois pourtant être et avoir été aussi influencée tant par l'usage parental ou social entendu que l'affecté viscéral vécu ou encore l'emprunté banal perçu. Je ne suis donc pas exception sauf sans doute par ce goût formé extrême fondamental…
Basique est le bon terme. Le derme appauvri… mais cependant, éveillé, un autre beau jour, au bruit qui court, le son sonnant, résonnant le mot et étrangement affirmant ses rudiments…
Ce long et délié discours pour dire simplement que je ne veux en aucun cas porter un jugement, répliquer en arguant détenir l'unique vérité même si quelques uns de mes textes tentent ce chemin ténébreux. J'erre au travers d'autres écritures et ne dépose ici que mon entendement, la sensation née par ces lectures parfois en cet écorché secoué de l'esprit accroché au sentiment désespéré rencontré, ou en l'éveil pétillé de l'âme animée pour avoir croisé de vivifiés sourires, ou encore en ce désaccordé imprécisé créé, uniquement né, par un ressenti lui bien précis et qui me dit sans pas une notion de raisons ou déraisons…
Alors la cérébralité résonne. Alors la mentalité s'écrie. Alors l'esprit prend corps…