samedi 22 septembre 2007

Libérer l'inutile repassage en l'arrêté si subtil re-postage...

Je repose... re-post-pause instants si étrange ma prose.
Réfléchies maintenant closes, le rêve tant souffleté se dépose,
Bien trop exposé gnose, couleur fragile mon ecchymose...

Influée immesuré l'extra son ordinaire, Infini...T s'en nécrose !
Eloignée, d'ailleurs, alunée virtuose d'autres délices à symbiose...

Psychose limitée en banal dé-lire exhalé, seule une réalité s'impose...
Figée deçà, se fixe ici douce l'apothéose de ma curieuse névrose...
En satiété le sucré, l'assez ces doses emmiellées épines les roses...

Pause...
Si belle l'entre ligne glose,
Qui aliène déteinte chlorose,
et me pose fin l'ose !

It's now closed...

samedi 15 septembre 2007

Larmes à naître chagrin...

Si la solitude est seule liberté d’être, l’isolement en est son rejet absolu, en devenir si plaisante et commune négation. Je ne suis ni existe, ni alliée ou reliée aux autres et plus rien ne peut être donné…

Rien, ce rien…

Un seul et pourtant si petit bonheur à partager, une joie naturelle à grandir d’autres sourires, une félicité à éparpiller pour vraiment m’en réjouir. Simplement me sentir en vie, exister. D’un défi réussi, par un chalenge emporté m’être imaginée pouvoir joyeusement fêter cet évènement et tout simplement, déjà en l’exprimant. Seulement, la dimension de son importance n’a pas été réellement appréhendée mais recadrée par l’autre en la propre sienne. Elle saisie, là, arrêtée d’une norme générée de pensées imaginées communes, normales à se rassurer personnellement et intimement d’être du groupe, d’en faire partie… d’inconsciemment se hausser mais aussi de diminuer celui hors cette limite.

Cette réussite, mon succès à me dépasser découvre maintenant une réelle tristesse. Celle de n’être pas admise, reconnue et acceptée ou plus simplement, bien entendue, vraiment écoutée et véritablement crue. Je suis interprétée, perçue reflet et deçà, déniée… Retombée sur terre, sa force m’amène étrangement à devoir encore et encore, l’abandonner !

« Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui… »
Emmanuel Mounier

Je ne peux me taire, exprimer est me garder ce peu de vie, alors encore je dis ! Écrire mots est tout simplement m'en dégager maux...

dimanche 9 septembre 2007

Enclore encore confiteor...

Sens et son l’s susurré à bien prononcer, le sens d'une page toute blanche, lactescence pourtant irisée bleuté… penchant attirance ma demande en ce moment, là, tout maintenant… laisser ce vide venir, l’aspirer, en réalité le languir. Et qu’il me résonne, lentement m’emplisse pour s’en devenir enfin, pertinence à gifler si belle imaginée ma confiance !

L’aveu si peu l’à rien envers ce bleu pour en mieux appuyer, montrer visible l’autre petit côté, non pas à être tout gris mais plutôt bleu nuit…

Créer, générer le vide, écrire ce veut l’infini maintenant néant, tout blanc et non plus détonner vœu à sourires pour ne rien dire…

Si j’aime les mots, l’envie équivaut maux en leur révélé l’après mon rédigé, lecture à me frapper non pas par l’étrange tournure ; faut-il encore le confesser ; mais plutôt de cet entre ligne que j’ai tant et plus, tellement surligné et qui semble manquer, me manquer…

Je peux écrire tout droit, composer une phrase non équivoque et qui naturellement acquis le sens, évoque. Poser un sujet, l’actionner d’un mouvement à se verbaliser et le compléter de divers compléments, si grands et encore plus charmants, ou encore le qualifier d’autres qualificatifs un rien abusifs ou un peu allusifs… Je peux mais ne veux !!! Simplement pour ne pas en perdre la perception qui n’est jamais découverte par le mot, les termes, ne donnant quant à eux, juste le son, le bruit et la signification. Poser deçà normalité à en oublier la respiration, la vibration et sa vivance évidence, l’exalté qui extraordinairement nous réunis sans à devoir absolument comprendre… Écouter et s'ouvrir, cueillir la portée, la discerner… Bêtement entendre ? Non, ouïr, saisir, se laisser sensitivité guider, s'abandonner hors soi, gommer le naturel a priori, s'effacer, défaire l'ombre jugement, oublier ses propres valeurs, s’étendre au-delà, bien au-delà…

Se confondre, par l'autre penser, de l'autre vibrer… et dire, ou écrire, mots utiliser, non pas les user, les manier ou les traiter belle convenance… sentir, ressentir, percevoir l'âme autour… l'entre-ligne qui doucement se dessine…

Une alternative instinctivement choisie, la trace à tisser fil d’elle en ce but premier d’exprimer, non pas concis l’avis à donner ou un quelconque juste pensé à déposer, ces entendus et bien trop souvent reçus ici ou là, jugements, prononcés nés de nos seuls et intimes regards. Seulement et vraiment m’abandonner divagué l’aparté à se vouloir léger mais toujours né de vérités, d’élans à réagir, simples dégagés à dévouer pour en laisser bleu éclairé m’en jaillir et m’éparpiller…

Juste justesse l'empathie, ce naturel et si aisé transfert, le premier perçu sans mots à se dire, sans à devoir se regarder, en s'imprégnant simplement cet autour aéré tout autour… sans besoin de reconnaissances, de connaissances, d’une once d’intelligence, sans gratitude amour à rechercher, sans retour à viser… aimer simplement, aimer comme un ange…

Ma fragrance, si limitée et tant désaxée en cette frontière vérité et pourtant à toujours naître trait spontané…

N'être qu'elle, cette chose curieuse, cette bête, l’animal emmêlé le peu de son intelligence, ni belle et pas même répugnante, sensitive et extrêmement sensible, qu'un souffle peut fermer mais tout aussi briser…

Je repousse la sensation négative, j’atomise plus ionisé sans jamais neutraliser en néon l’éclairé neutron. Mais je ne veux m’ouvrir nuit le bleu et toute seule me nuire. Alors tout simplement, tout bêtement, je dépose ou repose tout autres mes plumes, les déploie liberté d’ailleurs, porte à taire la terre, m’envole et d’elle m’enfuis !

dimanche 2 septembre 2007

Pontuels le providentiel...

La beauté de l’ordinaire… une affiche, deux mots qui portent une vérité à arrêter l’intelligence, à  y prêter une certaine audience sans pourtant être, ou singulièrement extravagants, ou même spécialement mirobolants ni non plus particulièrement élégants. Simples, ils nous soufflètent cette recherche constante devenue de nos jours, usuelle l’humanité…

La quête de l’impossible étoile !

Les faveurs de notre société nous oublient l’essentiel, ces sourires du ciel, la belle éternelle, la vie non conditionnelle…

... Ce matin, je suis allé au marché où j'ai fait moisson de bons fruits (ah, ces pêches plates !), d'olives de Nice (et tant pis pour l'interdiction !), de fromages divers et d'un poulet rôti (comme chez nous). Rentré à la maison, j'ai déballé ces précieuses victuailles, et ça m'a fait un effet de bonheur rare...

L’événement banalité à crier vérité le bonheur tout plat et j’aime simplement ça !!!

Ces quelques mots m’ont offert du vrai bonheur et ont arrêté le temps beaux leurres. Félicité à ne pas même s’en vanter, à difficilement pouvoir exprimer, l’extra qui naît si simplement de l’ordinaire… J’étais charmée rien qu’à deviner ton regard, j’étais enchantée rien qu’à te percevoir, j’étais naturellement heureuse, délectée d’instants partagés et à recevoir…

Tu es mon ami, mon plus bel ami, le seul, l'unique qui toujours donne sans jamais rien prendre, qui ose se permettre de me secouer de vérités, non pas en voulant me blesser ou tendre si belle ressemblance mais seulement et tellement délicatement pour me protéger, m’ouvrir le monde, m’en donner la clé…

Par toi, grâce à toi, je ressens si fort ce temps perdu, venu là, panser un chagrin tellement absolu…  la copie alléguée pour plaire, à encore me taire et ainsi aux autres, détachés à se complaire, l’à suivre ce qu’on dit, oubliant quelque peu mes valeurs, mes désirs, mes véritables souhaits… et m’en créer comme un besoin, l’idéal inconditionné d’être accompagnée, découvrir le net et tout mélanger, me perdre en pourtant y découvrant une réelle richesse, tu es et restera le plus bel exemple…

Le ciel n'est pas orange ni tissé toile si compliquée. Il est bleu et merveilleux, m'offre l'essence délivrance. Je suis heureuse d’instants et cela est déjà si grand !

Le bonheur est toujours à partager. En ce bleu, je l’éparpille et profondément le pétille. Qu’à vous aussi, tout simplement il vous sourie si belle la vie !

samedi 1 septembre 2007

Turpitude infinitude...

Finalement je me demande pour qui te prends-tu ?

Le manque de quoi, j'écris ce que je ressens, ce que je pense, quand à toi, qui décide du bon ou du mauvais, je trouve que tu juges de trop.

Ton jugement, tes pensées, ta raison... merci de m'avoir totalement libéré par tes derniers mots

Bon vent à toi

Le destin est étrange, curieux à toujours se découvrir sens… qui serais-je si ce n’est qu’une basse petitesse à se placer nuée l’élevée, à se penser lumière fondée, à se panser juste l’exhaussée, à asseoir si lourdement, belle mais unique son intelligence, née finalement raison à découvrir ses idées très centrées et seulement portées absolu à juger…

Tu as raison beau KÂ, j’ai porté un jugement, je n’écris, ne dépose que sentences alors que je laisse le lecteur imaginer être toute belle et si pure, être un ange d’ailleurs… je joue des mots et m’invente une gentille vie, colorie tout bleu mon être à être si gris… et j’en vole aussi ! Pour preuve son appui, un seul click suffit : click