Le reste ce que tu as créé, tu t'es faite, tu t'es créée et l'encore malade, deux exprimés si banale l'expression… des mots posés, déposés sans et malgré tout, en conscience, sans mal à dire, à vouloir énoncer mais qui s'ouvrent mal quelque part… L'aussi d'un état, l'air, l'attitude toujours et encore négative, sa mine non positive et puis le mal d'elle, celui pour les heures à venir… l'infirmé affirmé sa couleur grisée en mon petit monde…
A me troubler, à souffler, à égarer, à ne pas garder… les dire, finalité écrire pour m'évacuer, m'éloigner un peu plus, tendre l'ailleurs, m'y étendre et me détacher…
L'être par trop sensitive…
Le drôle pourtant d'un droit, celui de la perception, celle non mienne mais généré par l'être mien, la leur… la priorité aux droits leurs et briller le non leurre de ma petite vie à côté, ratée, effleurée en seules mes pensées, ma si belle imagine, pauvre crétine !
Et je voudrais ressentir de la colère, même frôler la haine et griser si gris et tellement dense le ciel mais je suis fatiguée, épuisée maintenant de découvrir l'impression qui semble transpirer de mon être, vidée de cette force tendre qui m'avançait, un pas et puis l'autre… et puis le ciel, hein, arrête d'encore rêver !
Et me vient la belle ritournelle, la phrase type qui interpelle : je suis seule responsable de mon bonheur… oui, je suis la seule… et ce si qui vient s'ajouter pour compléter le beau phrasé : si je le suis, tous vous l'êtes tout aussi et je n'ai plus à m'en mêler ou m'emmêler…
Prout, vous dit-elle, je quitte discrètement la joute avant d'être complètement knock-out pour encore suivre ma route !
