Ce
moi bien à soi qui peut vivre con, centré sur lui-même et parfois trop se replier, ou
s’élever et bien souvent, s’égosiller…
L’intro, cette version à l’introduire, n’affirme-t-elle pas, là, qu'il se détourne du monde extérieur alors que l’extra - à naître, son l'ego - complimenterait à l’évidence, la supposée belle déviance en son centre…
L’harmonie d’un, l’unique à poser bien humanisé, je :
- ne doit pas être seul même s’il est et restera toujours un, l’isolé…
- ne doit jamais se centrer ni se redresser et moins encore, se cintrer…
- doit se gommer pour devenir, ou ce juste vous, peut-être un gentil nous
et certainement leurre eux…
- se doit d’être mais sans y être…
- ne peut exister et donc, certainement non plus, son humanité tant
vivifiée…
Je trouve toutes ces intellections intro-versées à s’extravertir, ou serait-ce l’inverse, un peu trop à géométrie figurée par son carré emmuré et exposé, en démesure, centré…
J’aime belle la contradiction, son ton abscons, ce son qui repousse tous les nés "on"... alors, je façonnerais autrement et bien plus jolie la théorie : oublions cette humanité, si… , sublimée, bien trop égocentrée pour en redevenir l'animal simplement banal mais tellement génial ;o)