Voilà deux soirs de suite que le destin m'offre à voir, à visionner deux
histoires merveilleusement magnifiques, intensément magiques ! Deux récits de
genres pourtant très peu ressemblants mais qui découvrent l'amour
irradiant et tout grand.
D'aucuns les définiraient sans doute de belles fables à fondre les cœurs tout délayés et à les amener excessivement ramollis, jugeant là, le conte bien trop romantique pour en la réalité ne pas être simplement pour eux, existé. Fait d'ailleurs, déjà extrêmement difficile à réaliser au vu de leur propre idéologie par trop cynique…
Eh bien, moi, je leur dis et sans façon, ceci : l'imaginaire invente peut-être quelques fois de petits hommes tout verts ou de troublantes envies de chair mais se compose toujours de faits bien réels et très divers. Alors douter, critiquer même et seulement car ce qui en découle ne s'est pas vérifié par et pour eux est bêtement bien prétentieux…
Bien sûr tant nos aperceptions que nos perceptions mêmes sont généralement non identiques ni émergées dans le même laps de temps. Mais tout de même, si l'exposé bel et bien existe, alors la réalité peut l'être tout aussi et sans nécessiter absolument une démarche froidement pragmatique. D'ailleurs sans doux rêveurs, nous serions encore en cet espace d'il y a longtemps, sans temps, ni montre d'ailleurs, pour s'inquiéter de l'heure…
Et puis, quand bien même, je me réjouis déjà de savoir ce possible même si jamais il ne me serait offert car ce qui m'importe est que le cœur est toujours porteur…
Un guide m'assure depuis toujours cette particulière attention. Un Ange me rappelle ces derniers jours le magnifié d'une chance lors de ma naissance : ce toujours de lui accompagnée pour me chuchoter encore qu'aimer est simplement la clé…