dimanche 14 juin 2009

Temporalité alliée née…

Je n'ai rien à dire…

Rien ! Ce tout, tout petit ne m'affectera aucunement à une future cérébro-célébrité post-l'après pour n'avoir aucun talentueux talent per-présent à présenter influé et influencé pré-antant génétique ni après générique, eux se cédant autant, non pas plus ainsi disposés, et qui découvriraient autre ce juste moment intelligent sauf celui d'abandonner belle complétude mon attitude, ou à côté, ou ailleurs, et en dedans, et d'ailleurs…

Mais où exactement ?

Ni ailleurs ni ici, d'ailleurs pour rien et tout, toujours et à jamais autre part alors que tout est là et ici lorsque rien y est…

Je dévide simplement le fil débrouillé d'autres prétextes à la sentence balancée et liée à être destinée pour présenter le bon et vrai chemin en ce labyrinthe très ou trop ego centré…

Égosiller, ce vent fatigué…

Je dis tout et n'importe quoi pour exprimer par écrit mes pensées en folie juste et définie afin de rassurer, rassurant l'être las mais rassuré et là,  commun, familier, normal, traditionnel, honnête et classique de sa condition et sur sa situation… L'apaisée apaisante pensée réplique endogène endorphinique. Ya toujours pire que soi, n'est-ce pas ! Et là, déjà, est le pas vers la grande joie…

Rallier, oups ! Railler, l'assemblée attristée…

Je ne dis rien de bien important et qui pourrait, déjà, justifier le temps, lui, ici, dédié arrêté le troupeau vraiment perdu…

Vrai ment ? Faut dire vrai ! Même sans connaître le verbe qui exprimerait cette action véritablement et assurément sincère…

Faux ! Me direz-vous.

Et pourtant...

Le temps, lui, est toujours honnête, simple et tout nu pour, sans autre choix, ne s'habiller que du vouloir voulu en ses instants arrêtés éperdument étendus par seul désir congru et peut-être, farfelu, signé, voie là long temps parvenu ou ne s'entortiller que de ces accordés refus en moments lacés démesurément déçus par les regrets diffus et sans doute, vaincus, cités las, pour temps, j'eus pu…

Suspendue, je suis la fuite émue et ombre le pas suspendu, nature saisie à veiller la foulée et y dérober l'étrange sa félicité, son infinie lumière à elle, même en sachant très pertinemment être pensée en être l'éternelle écartée. Écart temporel allié, né tempo décalé mais bien arrêté et donc éclairé…

Mais que décèlera réellement, qui percevra vraiment la nature de mon état en ce brisant là ?

Rien ni personne...