"Tout
bien pesé, c'est à cause des autres qu'on se sent seul."
(contexte)
Quelques mots à s'ouvrir inhérente réfléchie - si gentille ma petite lubie fondée mais parfois interprétée douce folie - et à découvrir cette réflexion errante et pourtant tellement enivrante à méditer en ce que je crois. Pensées souvent non justifiées ou justes en vérité mais spontanément ébauchées et immanquablement assurées cadence seule leur présence évidence.
J'avoue n'avoir jamais examiné l'équation sous cet angle très particulier imaginant cette causalité mienne, affectée nature, même si certainement, l'option s'assigne plus précise en rapport aux évènements qui jalonnent la vie…
Sans doute parce que je ne vois là ni fautes à se devoir ou décidés délits initiés. Plutôt un cheminement évident pour être et naître accordé en ce qui s'offre être la destinée, et donc, la mienne en particulier. Même si cet alibi semble être bien mis pour bruisser tendrement, et trop simplement, en cette douce tonalité à me rassurer ou rasséréner tout aussi, la terre et pourquoi pas, elle toute entière…
Je n'ai pas l'esprit en guerre pour n'avoir jamais été guerrière à se fendre morcelée et se défendre d'autres vérités. J'accède seulement à l'idée, l'accueille telle une générosité sans pour autant et précisément l'adopter.
Pourtant, cette portée est toujours d'influence inconsciente et souligne souvent la matière à l'être soi pour façonner la manière d'être face à l'autre, aux autres.
Ils ne sont donc pas innocents mais je ne suis non plus l'angélique à s'en vanter pour autant...
Aucune faute n'est donc à pointer puisque là est la nature même de notre profonde individualité, cet ensemble de caractères qui constituent la particularité de l'humanité.
Je crois vraiment que ma solitude ne découle ni d'un choix précis, conscient et individuel ni d'une injonction inconséquente au commun des autres mortels mais résulte seulement de l'éclosion d'une naturelle déviance déclarée socialement telle et qui bien plus primairement s'est exprimée donne mienne lorsque je suis née.
Ainsi le chemin était écrit :o)
Et puis, né "on" ne s'écrie-t-il pas en son indéfini collectif pourtant insécable et afin de libérer toute belle sa vie cette formule bien plus précise, hors lui : "nous sommes seuls responsables de notre bonheur"…