Un
clin d'œil, juste la petite réplique dégagée pensée, là, gentiment réveillée, un
simple écho au terrifiant pouvoir de Victoire, voisine plus qu'appréciée de cet
étrange univers azuré blogosphère…
Si une qualité devait m'être affectée, elle serait unique en cette faculté d'aimer. Et tant sous sa forme non usuelle, et tant par son style plus qu'éthéré…
Car j'aime simplement aimer.
J'aime cet éveil particulier fait de fragments d'êtres à vivre, composé bien souvent d'un seul instant exprimé, à expirer et qui transpire, inspire mon rêve à se construire.
Non pas que j'aime le monde entier ou toutes les personnes connues, inconnues ou perdues de vue, ou encore tutti quanti et n'importe qui, non. J'aime l'être qui souligne, avive mon étonnante sensitivité.
Il ne peut que passer ou s'ancrer dans le quotidien, être présent ou distant, réel ou virtuel, il est simplement vivant par cette singulière vivance à s'inventer, survivance à m'irradier, l'assonance illuminée pour me faire, m'être, être…
Nitescence, si belle cadence cœur, là, arrêté et qui pourtant, encore, danse…
Et sans jamais générer le besoin de voir ou de savoir sa matérialité ou de toucher sa réalité car l'amour pour moi, réellement, objectivement vers moi, n'importe pas et n'existe pas. Tandis que mon sentiment, mon penchant ni humaniste ni altruiste est une vraie vérité…
Je suis animal, animée par ce qui me tient éveillée…