vendredi 6 octobre 2006

Di à vendre tout embrouillé...

Le soir étiré, le bel et di, vendre à s'emmêler… la belle sa soirée, se donner d'elle ou s'en laisser vers lui…

L'éclairer petite bougie reflets tout l'arrondi, résonner la bruissée son, présent vanillé et l'étendre, tendre et perpétrer l'attendre cette patience pertinence le jour ou sa nuit, visée toutes nos croyances…, et perdurer l'illusion, ce rêve qui naît rien délice sucrée l'attention, ce rien qui mène, emmène et dessine sur Tout, s'écrié pointé beauté la majuscule, secoué fin son importance !

J'aime ce moment fait d'instants, la suspension élevée passion, ce juste avant, le désir pressant, et à faire durer, et d'y arriver… l'or attente, frôler la délivrance… l'être vivant…

L'illusion, petit papillon est fraction minime la seconde, l'oubli mémoire le regard, l'intime et particulier sien, à soi… le ressenti ce moment ouvert la vie et qui cadeau présent se fait doux souvenir pour gonfler, s'enfler et se répandre tout entier battements le cœur !

Elle sourit unique et n'est jamais pluriel ce des... nourrit l'âme dans son singulier croire, la vraie croyance, l'enfantine conscience… pensée pourtant glacée l'autre innocence, jugée souvent gelée par trop naïveté, l'illusion n'est que matière, le touché au rêve l'éther… sa profondeur dévoilée, sa douceur caressée… la grandeur de ton cœur, sa tendresse candeur, l'immensité qui fait si belle ton infinité…