L'aube ce début l'innocence... |
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Un présent son éternité... |
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Un cadeau Vanillé... |
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Le partage d'une grande Dame... |
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Last but not least... |
Merci, Just… réellement, tout vraiment, merci…
Je sens ce que tu veux dire, me dire, je le sens tout aussi réellement… et je comprends… J'écris véritablement en tout premier, pour mon plaisir, ensuite vient la seconde raison ma déraison qui est oui, encore pour moi, j'imagine le plaisir de l'autre, je l'imagine et ce rêve me fait plaisir, et puis seulement pour le bonheur du lecteur… Aussi, j'étends le temps à découvrir l'image qui me convienne, à la chipoter et finalement, je formate ma page, la rends à mes yeux si belle... une bêtise qui ne peut esquisser l'adulte... J'ai toujours pensé offrir un quelque chose, une vérité, la si vraie mienne, j'étais persuadée de pouvoir coucher mes émotions, de les faire partager dans le premier du sens et de sa signification, le mot, son prononcé qui dit un son, son bruit, sa résonance dans l'esprit, et la vie des phrases, la vie... les arrêts, le repartir, la respiration, le haut, le bas, et le si plat, mon expiré qui vous inspirerait la respiration, une sensation, un perçu, le véritable d'un ressenti... le bleu… et je reconnais m'être complètement trompée… je croyais même si tout n'était pas compris, que la sensation serait perçue, quelque soit le niveau, la culture, l'érudition, je m'imaginais qu'il ne fallait que cette seule ouverture, celle de son cœur qui lui, ouvrirait alors la porte de l'esprit, et ce dernier découvrirait le ressenti… et j'essaie, oui, j'essaie cette dernière fois d'utiliser tout ce qui est à disposition pour construire une phrase… et je serai obligée de bien relire, d'imprimer ces choses qui gênent le chemin de ma pensée, et de retirer maintes fois mes lunettes embuées ces décidément larmes de trop… ça me fait chier ! Je sais que par réelle gentillesse, certains disent mes textes beaux, riches, étranges… et qu'ils ne comprennent rien… j'ai essayé, oui, j'ai vraiment essayé mais nul n'est tenu à l'impossible… Tu sais, comme je peux t'apprécier, beaucoup le savent, là aussi, tu vois, je ne suis qu'elle… j'ai beaucoup trop d'imagination, tant et plus, et ici ou dans le réel, rien n'est simple… ne pense pas que je sois amoureuse de toi, non, tu es un frère, un fils, un père, un ami, un copain, souris… oui, souris… un être plus que cher, un quelqu'un dont je suis si fière d'avoir croisé, comme ça, simplement, rien que pour mon détestable ego mien, à moi, je me… Je ne veux plus écrire, je ne veux plus être, je ne veux plus aimer, je ne veux plus m'impliquer… et cette nuit, je peux dire un tas de bêtises, c'est la dernière, le dernier texte… je me fous de plaire ou pas, de me faire un public qui me dira, me criera, reviens nous ou m'évitera et se crachera de moi… je n'ai jamais imaginé, pensé être un écrivain ou une poétesse, ou un trucmachinchose à talents, jamais… qu'importe, je ne peux, non, je ne veux blesser personne, je prends sur moi, la différence, l'indifférence, la non compréhension, la douce folie, ben oui… souris encore… Et surtout, je ne demande rien, ni aide, ni pitié, seulement cette paix indifférence, et particulièrement la quiétude vôtre… Vous dire à tous, que je sais certaines personnes en attente d'un mot, le comment needed to be alive, because elles sont toutes seules dans leur tête et leur âme souffre, elles se rattachent à vous, à toi, à elle, à eux…. Un copinage, un passage quand bon vous semble, quand la vie, votre vraie vie le permet sont à noter danger pour elles… et puis, hein, de quoi elle se mêle… toujours elle s'emmêle, elle quitte ce monde d'un sourire gratuit à vous encore donner ! Et que ce sourire s'étire aube votre éternelle infinité… Kiss all of you… et va la vie belle ! |
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Merci... |
Ange - Dou - Gérald - Just - Loubabylou - Pascal - Pater Vanille A tous merci ! |
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Suspendue Infini...T, d'un ailleurs se poser, le paisible à l'effleurer et encore folies, se dire... |
Au fond, c'est ça la solitude : s'envelopper dans le cocon de son âme, se faire chrysalide et attendre la métamorphose, car elle arrive toujours. August Strindberg. |
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